Le Castillet (C) Dominique BAILLIEUX
Comment les étrangers perçoivent-ils notre cadre de vie et nos cultures…? Il faut essayer de se mettre dans leur position d'observateur afin d'avoir du recul, être plus objectif et apprécier ce qui va et ne va pas…
Le journal L'Indépendant (sur son site) a publié l'opinion d'une touriste américaine, qui est enchantée par notre territoire et nos traditions !!
La théorie du maire de Perpignan, c'est que la presse, ne montrant que l'aspect négatif des événements,de la gestion d'une ville... qui fait le jeu du Front national et le perpétue…
Je pense au contraire de J.Marc PUJOL qu'il y a d'autres causes, plus profondes, au succès du FN…
Mais, pour une fois, faisons comme si tout allait bien : ne montrons que le positif ! C'est vrai que les médias diffusent surtout les malheurs, car c'est ce qui a du succès, qui se vend, qui plaît aux gens; ceux-ci s'émeuvent face aux misères du monde, mais ils en redemandent : voyez le succès des journaux "scandaleux" (Détective…) ou du festival "Visa pour l'image" !
Extrait : "Judy Moore définit son lieu de villégiature préféré depuis des années : Perpignan, et sa région Languedoc-Roussillon. En véritable fan de notre ville et ses environs, la touriste a pris sa plume de journaliste et consacré un long article élogieux à notre région dans son quotidien californien : Orange County Register.
Visiblement, Judy et Walter Moore, Américains orginaires de Californie, sont tombés sous le charme croisé du Castillet et du Canigou. Pas moins de 14 séjours dans notre région figurent déjà au compteur de ce couple de voyageurs invétérés.
Résultat, un article digne d'une brochure touristique à grand budget : elle n'omet rien, les chalets de Noël sur le quai "Vaubaun" (qui ne pourraient pas être plus magiques), la descente au flambeau de la Saint-Jean, les Jeudis de Perpignan, la lumière de Collioure, si fidèle à la réputation que lui ont taillée les Matisse et autre Picasso, les cerises de Céret, le Canigou enneigé qui domine les plages et les quais de la "Bassa"... rien ne manque au panorama. "
Pour la fête des pères, dimanche 15 juin 2014
Papa
Les rues que je suis pas à pas Me rappellent des jours de fête ; Tes mains, par le travail défaites, M’étreignaient tendrement, Papa.
Dans le tumulte d’un repas, Ta voix éclatait en tempête ; Et mon regard qu’un rien hébète Se détournait de toi, Papa.
Je craignais le moindre faux pas ; Néanmoins je levais la tête, Faisant du monde la conquête Pour te voir fier de moi, Papa.
Et tandis que le temps qui va Nous meurtrit de sa faux distraite, Tu guettais d’une joie discrète Ton sillage en mon coeur, Papa.
Jean Iglesis |