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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 13:36
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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 13:25
Ponchin A. :  Bord de côte à Martigues

Ponchin A. : Bord de côte à Martigues

***Escales méditerranéennes

Au Musée Regards de Provence, à Marseille

du 17 juin 2017 au 7 janvier 2018

 

Du 17 juin 2017 au 7 janvier 2018, le Musée Regards de Provence met à l’honneur la thématique des Escales méditerranéennes. Près de 80 œuvres invitent à un parcours pictural qui nous fait caboter de port en port, grâce aux regards d’artistes des XIXème et XXème siècles, qui célèbrent un art de vivre méditerranéen, en rapport avec la mer, où l’élément humain tient une place prépondérante. Autant d’artistes qui vinrent poser leur chevalet dans ces escales de la Côte Vermeille à la Côte d’Azur, de l’Algérie à l’Adriatique, inspirés par le pittoresque de certaines villes, l’animation des ports, la géographie exceptionnelle du littoral, entre calanques et collines. Autant d’approches esthétiques qui mêlent romantisme, réalisme, néo-impressionnisme, divisionnisme, fauvisme, pointillisme et expressionnisme, et forment la trame narrative de ces dix étapes : Collioure, Martigues, Marseille, Cassis - la Ciotat, Toulon - Iles d’Hyères, Estérel - Agay, Saint-Tropez, Antibes - Cannes, Venise – Naples et Alexandrie - Alger.

 

Cette exposition présente ainsi une diversité de points de vue enchanteurs, magnifiés par des artistes  comme Ambrogiani, Bioulès, Camoin, Courdouan, Dyf, Friesz, Guillaumin, Lebasque, Marquet, Martin, Olive, Peske, Picabia, Ponson, Puy, Seyssaud, Valtat, Verdilhan, Ziem. 

 

L’art de vivre en rapport avec la mer

Les peintres de la Méditerranée, qu’ils appartiennent ou non à l’Ecole Provençale, n’échappent pas à la dialectique de la nature et du mode de vie. Une affirmation d’une identité méridionale transparait à travers leurs œuvres face à l’art officiel de leur époque. Sans négliger le paysage de l’arrière-pays provençal, ces peintres-là vont s’attacher à magnifier la vieille cité phocéenne, multipliant les points de vue sur son anse portuaire. Ils vont également se tourner vers le littoral, redécouvrant - tels Garibaldi, Olive, Verdilhan ou Seyssaud - le charme de petites villes comme Cassis et la Ciotat. Tandis que Ponson, de façon plus romantique, ira poser son chevalet dans les calanques, encore sauvages. 

L’Italie, tant sur sa partie méditerranéenne (Gênes, Naples) que sur son versant Adriatique (Venise) attira avant Monet et Whistler, Ziem s’émerveillera lors des fêtes nautiques de la Sérénissime pour restituer ces moments magiques dans des tableaux lumineux qui nous fascinent toujours. Dans la mouvance de l’épopée orientaliste, c’est à Alger et Alexandrie que Friesz et Courdouan feront des escales durables, s’y emplissant de sensations, fixant sub specie aeternitatis des moments de leur histoire mouvementée.

 

Autant d’artistes, autant de sensibilités qui constituent la narration de ces dix Escales méditerranéennes au charme contagieux. 

 

Escales à Collioure

Dans cette première escale à Collioure, petite ville en bordure de la Méditerranée, dans les Pyrénées orientales, on apprécie tout particulièrement la touche délicatement pointilliste de Pierre Boudet qui a fixé, dans Plage de Collioure, toute sa douceur estivale. On trouve également une persistance du divisionnisme dans le tableau d’Henri Martin, Port de Collioure ; mais ce sont les pêcheurs, plutôt que les baigneurs, qui ont nourri son inspiration. 

Escales à Marseille

Découvrons Marseille avec ses vingt-six siècles d’histoire, ses forts, son Vieux Port et sa Bonne Mère où d’innombrables peintres, connus ou inconnus, ont entrepris de la célébrer, entre ciel et eau, avec leurs pinceaux et leurs couleurs. La cité phocéenne semble indissociable de la Méditerranée qui la baigne, comme du soleil qui conforte sa réputation de farniente. C’est ce que dégage sans doute des tableaux comme Kiosques et manèges sur le Vieux Port - admirables jeux d’ombres - de Gilbert Galland et Voiliers dans le port de Marseille de Charles Camoin, avec la Vierge de la Garde en perspective. 

 

Mais Marseille ne se réduit pas à ses visions un peu trop idylliques ; il y a aussi une ville sombre et industrieuse, qui connût bien des heures tragiques. La présence du Pont Transbordeur (dynamité en 1944) dans les toiles de Marcel Dyf, Jacques-Martin Ferrières et Adolphe Gaussen, nous le rappelle incidemment. Cette vue des Catalans peinte par Vincent Bioulès, nous illustre que son compagnonnage avec Support-Surface ne l’a pas empêché d’être aussi un bon peintre figuratif !   

 

Escales à Cassis et la Ciotat

Avant de devenir les cités balnéaires et huppées que l’on sait, Cassis et la Ciotat furent longtemps des communes industrieuses, où la pêche, le commerce alimentaire et les chantiers de construction navale faisaient autorité. Elles ne bénéficiaient pas moins d’une géographie exceptionnelle, mélange de calanques et de collines qui fascinèrent assez vite les artistes. L’un des premiers, Othon Friesz posa son chevalet devant Le Baou du Redon à Cassis et la Calanque de Figuerolles, moins pour les représenter que pour les réinventer. Plus tard, c’est Pierre Ambrogiani qui donnera une vision tout en volumes chromatiques du Cap Canaille. Aux antipodes de ces audacieuses compositions, il y a le réalisme quasi photographique de Joseph Garibaldi (Port de Cassis, le quai des Baux), de Paul Bistagne (Pêcheurs sur le quai de Cassis) ou de Jean-Baptiste Olive (Port de Cassis) qui retiennent l’attention par leur sobriété lumineuse. 

 

Escales à Martigues

Si Martigues, sous l’angle pictural, reste marquée par la présence écrasante de Félix Ziem (qui en fît sa ville de cœur), elle a également su capter l’attention d’autres peintres. Avec ses canaux et ses petits ponts, la Venise Provençale offrait bien des points de vue sur une Méditerranée s’immisçant jusque dans la vie quotidienne de ses habitants. Si l’on observe ici Bord de côte à Martigues d’Antoine Ponchin ou Retour de pêche à Martigues d’Edouard  Ducros, on revivra un instant les conditions de vie précaire des pêcheurs, avec leurs vieilles barques et leurs filets que réparaient les femmes devant leurs masures. 

 

Escales à Toulon et les îles d’Hyères

Port militaire riche en heures glorieuses et tragiques, Toulon n’en recèle pas moins quelques très belles perspectives quand on l’aborde par sa jetée. On appréciera certainement, au cours de cette escale, la chaude vision qu’en a donnée Louis-Mathieu Verdilhan. Tandis qu’à l’opposé, Othon Friesz a choisi de montrer sa rade à la tombée de la nuit, sous un ciel lourd et menaçant dans lequel on devine – à gauche du tableau – la fumée d’une explosion. 

Mais Toulon, c’est aussi ces petites îles posées sur la mer, que le touriste aperçoit de loin et qui semblent faire de l’œil aux bateaux. Avant que les marées humaines ne la submergent, Raphaël Ponson pût peindre la Calanque de l’Oustaou de Diou à Porquerolles dans sa pureté quasi originelle. Ou ces Îles d’Hyères vues du Cap Bénat fixées sur la toile par Jean Peské avec une rare expressivité, tant dans son dessin que dans ses couleurs. 

 

Escales à l’Estérel et les roches rouges d’Agay

C’est une curiosité géologique adossée au massif de l’Estérel. Un de ces sites bénis des dieux comme en recèle la Provence. Forcément, ces roches rouges d’Agay ne pouvaient qu’attirer les peintres toujours en quête d’émerveillements. Si Paul Gervais et Antoine Ponchin ont insisté, dans leurs tableaux respectifs, sur la végétation qui habille ces promontoires rocheux, Armand Guillaumin s’est intéressé davantage à la couleur minérale (entre l’ocre et le rouge-bordeaux), au premier plan dans son Bord de mer à Agay. René Seyssaud, lui aussi, exalte les nuances rocheuses avec un goût particulier pour le contraste qu’elles offrent avec le bleu céruléen de ses flots (Les roches rouges à Agay). Toutefois, c’est Louis Valtat qui, en émule de Signac, donne à voir du même site une composition aussi pointilliste que fauve. La luminosité de ses roches rouge-orangé rend presque superflus les deux personnages féminins qui s’y prélassent au premier plan.

Escales à Saint-Tropez   

Saint-Tropez occupe une place à part. Avant de devenir, à partir des années 50, l’un des points de ralliement de la jet-set internationale, la petite commune varoise fut prisée par de très grands peintres qui la croquèrent sous tous ses aspects. En l’occurrence, on se laissera charmer ici par la douceur des tons pastel qui caractérisent les compositions de Pierre De Belay et d’Henri Lebasque. Henri Person, avec Attelage à la Mole Saint-Tropez, s’inscrit dans la mouvance de Signac. Tandis que Charles Camoin, plus fauve, met la femme au centre de son tableau Sous la tonnelle à Saint-Tropez. Ce sont des ambiances plus crépusculaires qui émanent des moyens-formats d’Henri Person, Jean Puy et Victor Cordouan (sa Ponche nous rappelle des côtés plus austères de cette rieuse cité). Ker Xavier Roussel donne volontiers dans un esthétisme grécisant avec son Eté en Méditerranée, prolongeant ainsi les aspirations syncrétistes des Nabis - dont il fut d’ailleurs l’un des membres. 

 

Escales à Antibes, Cannes, Menton, Monaco

Des générations de peintres vinrent poser leur chevalet dans les abords du littoral méditerranéen jusqu’à Monaco, trouvant à profusion la matière de leurs exercices d’admiration. De citer Julien Gagliardini peignant par beau temps Un dimanche sur la Croisette, à Cannes : devant son tableau on peut mesurer tous les changements qui l’ont affectée depuis. François Nardi s’est, lui, arrêté devant la Plage du Suquet, avec ses barques toutes voiles au vent. Quant à Joseph Inguimberty, il se fait le chantre de la dolce vita, avec ses vues quasi photographiques de Menton et de Monaco. On y appréciera son sens aigu de la lumière à travers une approche différente.

 

Escales à Venise, Dubrovnik et Naples

Ce sont les deux grandes escales italiennes de ce périple en Méditerranée. Deux cités aux charmes diamétralement opposés. Venise est grise, mystérieuse, aristocratique. Naples est solaire, populaire, bruyante. L’une est menacée par l’affaissement et les inondations ; l’autre est exposée à la colère du Vésuve, véritable monstre géologique qui surplombe sa magnifique baie. Et cependant, l’une et l’autre n’ont cessé d’enthousiasmer, depuis des siècles, une multitude de voyageurs. On peut encore voir, au crépuscule, La Salute à Venise peinte par Jean-Baptiste Olive ; ou ce pont faiblement ensoleillé qui enjambe un Canal à Venise et qui a séduit Marius Bompard en son temps. 

On peut en dire tout autant des Petits métiers et gourmands à Naples de August Fink, avec son ciel jaune soufre, même si depuis d’autres revendeurs ont pris la relève. C’est l’expressivité napolitaine que François Reynaud s’est attaché à montrer dans ses Lazzaroni à Naples. Tandis que Raphaël Ponson nous offre, avec sa Margellina, une vue de la Naples d’antan où seule demeure la masse grise et fumante de l’imposant volcan.

Pour finir, le port de Dubrovnik, d’Alix Aymé représenté de manière panoramique, est sublimé par les jaunes et la très fine pellicule d’or.

 

Escales à Alexandrie et Alger

Terminons ce voyage en nous projetant sur l’autre rive de la Méditerranée, dans ces deux villes-phares de l’Afrique du nord que sont Alexandrie et Alger. Perle de l’Egypte, haut lieu de la culture antique, la ville d’Alexandrie est toute bruissante des millions de vies qu’elle abrite derrière ses murs. Ses quais sont une sorte d’agora où les hommes viennent discuter. Mais à l’effervescence de la vie diurne s’efface devant la sérénité majestueuse qui accompagne la tombée de la nuit dans le tableau de Victor Cordouan présenté ici et simplement titré Alexandrie.

Qu’en est-il d’Alger, ville elle aussi chargée d’histoire, dans le regard des peintres européens ? Voici Gilbert Galland qui, à travers ses deux aquarelles, nous en offre une vision documentée et élégante, fasciné par ces deux figures de l’imaginaire orientaliste que sont la mosquée et le souk. Quant à  Othon Friesz, il a choisi, dans Le port d’Alger, de la montrer sous un angle plus paysagiste, avec ses palmiers au premier plan qui insistent sur un exotisme presque atemporel. 

 

Un évènement « L’Appel du Large »

Cette exposition fait partie intégrante du circuit culturel et touristique L’Appel du Large de cet été, réunissant huit musées - Mucem ; Centre de la Vielle Charité ; Musée d’Histoire de Marseille ; Musée des Docks Romains ; Musée Ziem ; Musée départemental de l’Arles Antique ; Musée de la Légion Etrangère - à Marseille, Martigues, Arles et Aubagne, autour de la thématique commune du voyage maritime.

De l’époque romaine aux récits de Jack London au début du XXème siècle, ces huit expositions rappellent que les Bouches-du-Rhône sont un territoire tourné vers la mer.

 

Fédérés par Bouches-du-Rhône Tourisme, musées, offices de Tourisme et institutionnels ont imaginé cette thématique commune pour proposer aux visiteurs, résidents et touristes, une approche inédite du territoire, véritable pont entre culture et tourisme.

 

« L’Appel du Large », c’est aussi l’occasion de mettre en avant une sélection de lieux, restaurants, sorties et visites, pour prolonger l’expérience à pied ou sur l’eau (tables gourmandes inspirées de la mer, visite guidée des quartiers de pêcheurs, sorties en mer, librairies maritimes et shopping inspiré – programme sur Myprovence.fr).

 

Le contenu de ce dossier est issu des textes rédigés par Jacques Lucchesi pour le catalogue Escales Méditerranéennes (prix public 26 €).

 

Cette exposition est soutenue par la Société marseillaise du Tunnel Prado Carénage.

 

L’Association Regards de Provence remercie ses Membres Fondateurs Prestiges : Aéroport Marseille Provence, Caisse d’Épargne Provence-Alpes-Corse, Econocom et Sodexo ; Membres Fondateurs Premiers : Air France, Banque Martin Maurel, CIC Lyonnaise de Banque et Deloitte ; Membres Fondateurs Historiques : Grant Thornton, La Provence, Marrou Traiteur, Prado Epargne, Total Raffinerie de Provence, Transports Léon Aget.

 

Ateliers d’art plastique

Dans le cadre de l’exposition – Escales méditerranéennes - le Musée Regards de Provence propose des ateliers d’art plastique, animés par la plasticienne, diplômée des Beaux-arts, Frederika von Maltzahn.  

Les dates des prochains ateliers seront mises en ligne début Mai.

 

Samedi 9 septembre » (Gouache) Au port de Cassis • Enfants et Adultes.
Samedi 13 septembre (Gouache) Escale à Marseille • Enfants et Adultes.

 

Frais de participation : 8 € (7 à 12 ans) / 12 € (à partir de 13 ans) comprenant entrée aux expositions et fournitures gratuites. Inscription obligatoire sur : info@museeregardsdeprovence.com ou au 04 96 17 40 40

 

Informations pratiques et Visites

Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

Billet expositions temporaires : Plein Tarif : 6,50 €. Tarifs  réduits: 5,50 € - 4,70 € - 2,00 €. 

Billet couplé expos. temporaires & scénographie permanente : Plein Tarif : 8,50 €. Réduits 7,50 €, 6,50 €.

Visites commentées : tarif d’entrée + 6 € /pers., le mardi et samedi à 15h et tous les jours sur réservation.

Visite commentée gratuite le samedi à 10h30, hors droit d’entrée sur réservation (6 à 25 personnes).

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 juin 2017 2 13 /06 /juin /2017 09:34
Pays catalan bradé, commercialisé (produits touristiques dans les rues commerçantes estivales d'Argelès, sans nom d'origine, de créateur, e lieu...)
Pays catalan bradé, commercialisé (produits touristiques dans les rues commerçantes estivales d'Argelès, sans nom d'origine, de créateur, e lieu...)
Pays catalan bradé, commercialisé (produits touristiques dans les rues commerçantes estivales d'Argelès, sans nom d'origine, de créateur, e lieu...)
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***Débat/Polémique :

DES EOLIENNES EN HAUTE MER, PAS DANS LES ASPRES !

 

Communiqué de presse · Perpignan, 5 juin 2017

 

Oui au Pays Catalan s’est positionné dès sa fondation sur les énergies renouvelables en développant un plan d’autonomie énergétique pour les Pyrénées-Orientales. Actuellement, un projet éolien visant notre région des Aspres, critiqué par le collectif « Le vent tourne », fractionne la population et les élus. En cas d’aboutissement, le paysage serait défiguré par des éoliennes de 150 mètres de haut occasionnant les perturbations habituelles de ce type de productions.

 

Dans la région « Occitanie » que nous n’avons jamais choisie, un budget européen de 12,2 millions d'euros profitera au seul département de l'Aude. Des zones d’éoliennes en haute mer y sont prévues, notamment au large de Leucate. Mais aucun projet similaire n’est prévu au large du Roussillon, car l’Occitanie nous ignore tandis que nos députés et sénateurs départementaux brillent par leur passivité.

 

Favorables à un mix énergétique accompli, nous défendons l’adaptation des sources de production à la la topographie et aux souhaits de la population. Il est impératif d’harmoniser le besoin énergétique des communes et des territoires et les installations présentes dans la nature. Les éoliennes doivent être implantées en haute mer, sur des fonds rocheux artificiels. Cette évolution doit être couplée intelligemment avec l’implantation de zones réservées à des fermes d'élevage de loups et de dorades de qualité. Cette double affectation de sites offshore favoriserait la pêche, gravement mise à mal ces dernières années.

 

Contact presse : press@ouiaupayscatalan.com · 06 75 74 25 49.

 

- - -

 

...Quin Empordà volem d'aqui 20 anys ?

 

 

A l’entorn  de  la  xerrada/debat  del passat  8 de juny de 2017  al Centre cultural els Caputxins de  Figueres, organitzat  per  l’associació  ecologista  i mediambientalista IAEDEN, amb motiu de la commemoració del  15è  aniversari  del grup  Salvem  l’Empordà  voldria fer  les  següents  reflexions.

 

Aquest  ha estat   un debat  molt  interessant  i  molt  ben  organitzat, amb la intervenció  de  diferents  representants  de  sectors econòmics  i socials  de la   complexa  comarca e l’Alt  Empordà.  De fet l'Alt Empordà  és  la comarca complicada perquè, entre altres aspectes, és  la  comarca  de Catalunya amb més  municipis, un total  de  68. També és  una comarca amb una població  molt disseminada i desequilibrada, amb una capital –la ciutat de Figueres-  amb molts problemes socials,  amb una zona costanera molt  depenent del monocultiu turístic, amb excepcions, i una interior -un rere país- que ha esdevingut també una zona de segones residències amb una agricultura cada cop menys important; però  amb sectors  com la vinya i el vi, cada dia més  importants i de qualitat. I molt  eficient  com a sector  econòmic amb profunda  transformació.

 

L'Alt Empordà  ha  de  saber aconseguir el seu  millor model econòmic  i social -combinació de diversos sectors; turisme, agricultura, serveis i poca indústria. El territori és bàsic en aquesta comarca, per aquesta raó  la mobilitat sostenible i el tren convencional  adquireix una  importància  cabdal. Per altra banda l’Empordà (l’Alt Empordà) és  un territori molt geoestrategic  molt destacable : la geografia i la història  ha jugat i juga  un paper  molt preeminent. Aquest és  un territori transfronterer que  considero que ha d’aprofitar  -més i millor-   diverses estructures administratives ( encara  amb poques  competències i poc poder)  com l’Eurodistricte i l’Euuroregio. De tota manera, l’Alt Empordà s’hauria d’aprofitar  molt  més d’aquestes institucions  per tal de poder diversificar  la seva  activitat econòmica.  L'Alt Empordà  té  moltes oportunitats i possibilitats, però  a condició d’esdevtenir una economia i una població més cohesionada,  des dels diferents sectors econòmics i  socials. I en aquest punt  és on  també la mobilitat sostenible ha de jugar un paper molt considerable.  Per tot això,  per a l Alt Empordà  el tren, i – sobretot- el tren convencional  ha de jugar un paper essencial.  A l’Alt Empordà  hi ha una manca de llocs de treball estables i, alhora, de llocs de treball qualificats.  D’aquesta manera el coneixement idiomes és  essencial per a la comarca de L Alt Empordà. Seria el primer  pas  per millorar amb -més eficiencia  i amb mérs  justícia  social- aquest model  econòmic  i social de baix  nivell.

 

Per finalitzar, una última reflexió  de com volem que sigui l'Alt Empordà   d’aquí a  20 anys en relació amb la qüestió  bàsica  del coneixement de llengües com a primer pas per aconseguir un turisme de i una econòmica  De més  qualitat i en conseqüència  millors i més estables llocs de treball. A l 'Alt Empordà  -més que a cap altra lloc de Catalunya- es necessari que el 100%  dd la població  sàpiga perfectament català  i castellà. A més,  l’especialitat  -en relació amb la resta  territoris de Catalunya- és  que la tercera llengua en importància no és  l’anglès sinó que és  el francès.  Lògicament l’anglès  també es molt important. Altres llengües indispensables a  l’Alt Empordà  serien l'alemany i el rus  per la qüestió  del Museu Dalí.  Lògicament també existeixen moltes altres llengües, totes elles molt respectables. Cal tenir en compte que a l’ Alt Empordà  hi ha un dels índexs més importants  d Immigració no comunitària i es parlen gairebé  80 llengües  d arreu del  món. 

 

 

DIVENDRES, 9.6.2017. 18:56 H

© indirecte ! cat   -  Josep Maria LOSTE

 

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12 juin 2017 1 12 /06 /juin /2017 09:00
Objets sur le pays catalan dans un commerce d'Argelès, sans nom d'auteur, ni origine...

Objets sur le pays catalan dans un commerce d'Argelès, sans nom d'auteur, ni origine...

Leçons après les législatives pour un pays catalan qui n'existe pas

 

La vague macroniste a investi le département 66 comme elle a noyé les vieux partis, les pros politiciens, les mauvaises langues de bois et ceux qui s'accrochaient à leur poste sans se remettre en question.

Certains poissons macronistes opportunistes ont échappé aux mailles du filet : espérons que ce n'est que pêche aux imposteurs remise...

Le gouvernement pourra agir avec ses députés, sans 49.3, ni ordonnances ni dissolution. Ni surtout cohabitation, que le peuple n'a pas voulue. 

 

Le hic, c'est que la moitié du peuple et un peu plus (51,5) s'est abstenue : indifférence, hédonisme (plaisirs du week-end), désespérance surtout, aucun parti ne donnant espoir concret aux pauvres, gens marginalisés, chômeurs, jeunes oisifs...même pas le FN qui connaît une baisse importante.

 

Ainsi, pour le 66, Louis ALIOT, même en tête, n'a aucune chance d'être élu. Il va ainsi perdre la mairie de Perpignan dans 3 ans : en effet, la Rép en marche, incarnée par Romain Grau, l'homme fort, désormais sur la ville et le département (la gauche effondrée, chassée bientôt du conseil départemental) va gagner, à moins d'erreurs grossières. Dauphin de la gauche et de la droite centriste (adoubé par l'avocat Codognès et l'ancien maire JP.Alduy), on ne voit pas comment il pourrait rater la mairie en 2020...

 

Les Républicains sont balayés et le maire de Perpignan subit encore une défaite; il doit, en outre, supporter son premier adjoint aux finances, ce Grau qui l'incommode. Sauver la ville, pour J.M. Pujol : un travail de Romain !

Le parti socialiste, qui tient la Région et le département, est submergé : les électeurs lui reprochent les trahisons de Hollande et la mainmise, par quelques caciques, sur les rouages locaux...

 

Les Rép, eux aussi, tendent vers l'état de groupuscule, n'ayant pas su renouveler leurs candidats. 

Ce sont surtout les représentants du nouveau parti "Le pays catalan" qui subissent un échec évident : le mépris des électeurs montre bien que la catalanité les indiffère, que Perpignan "la Catalane" n'existe pas, que la Catalogne "du Nord" ne les intéresse pas. Les Catalans sont au sud et ils savent prendre leur destin en main.

 

Les citoyens du 66 veulent un territoire ouvert, pas des frontières linguistiques ou mentales, un élan vers l'Europe redonné par Macron. L'Europe en marche..?

JPB

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11 juin 2017 7 11 /06 /juin /2017 10:09
livre du psychiatre catalan Tosquelles (édition R.Meier - photo J.P.Bonnel) : les Français ont les boules !

livre du psychiatre catalan Tosquelles (édition R.Meier - photo J.P.Bonnel) : les Français ont les boules !

Dégagisme, la nouvelle idéologie - Corruption : les Français ont les boules !

 

Dégagisme, et ça suggère le Poujadisme ancien ...On fait du neuf, en prônant le radicalisme. Mélanchon, après le trostkisme, le lambertisme, le socialisme sénatorial, le socialisme contestataire, le communisme nouveau du front de gauche, a inventé l'insoumission et houps, le dégagisme..!

 

On croit à l'extrême gauche célébrant la révolution (le nom d'un autre des lives de JLM... Macron lui aussi donnant ce titre à son programme, et pourtant ça n'a pas fait peur au peuple ! Le peuple n'a peur de rien, surtout de cette révolution de velours, silencieuse, sans mort ni violence, qui va mener la France dans le mondialisme libéral oecuménique (ah, s'il n'y avait pas cette putain de religion, les excès islamistes...).

 

La révolution de Mélanchon, c'est la corruption en Amérique du Sud et le stalinisme en Russie et Cuba. Son radicalisme, en parole, s'arrête, comme en Grèce face à l'Europe, comme en Espagne, avec Podemos qui fait le jeu de la droite en refusant de s'allier aux socialistes... Mélanchon, ce fut un espoir, mais l'ego, la haine, l'esprit de vengeance, la hargne face aux juges et aux journalistes (même attitude que Fillon) a repris...Tant pis, nous voici dans le réformisme et un gouvernement dans l'esprit "union nationale"... 

 

On a choisi ça face au pire, à l'économie dangereuse des Insoumis, au mensonge et à la désinformation (sur la CGS de Macron, par exemple)... On a été séduit par la République en marche, son dynamisme, la leçon déconomie face à une Le Pen montrant au monde son incompétence... Il faut que ça réussisse, c'est la dernière solution avant l'expérience frontiste ! Ou avant la Révolution, la vraie !

 

Pas droit à l'erreur. Finie la corruption, les affaires, etc… Dégageons déjà Ferrand et ses combines de 30 ans dans les mutuelles ! Dégageons les députés du Modem compromis… L'éthique, c'est la première révolution !

Un sadré chantier, les écuries d'Augias...

 

JPBonnel

Papa

 

Les rues que je suis pas à pas

Me rappellent des jours de fête ;

Tes mains, par le travail défaites,

M’étreignaient tendrement, Papa.

 

Dans le tumulte d’un repas,

Ta voix éclatait en tempête ;

Et mon regard qu’un rien hébète

Se détournait de toi, Papa.

 

Je craignais le moindre faux pas ;

Néanmoins je levais la tête,

Faisant du monde la conquête

Pour te voir fier de moi, Papa.

 

Et tandis que le temps qui va

Nous meurtrit de sa faux distraite,

Tu guettais d’une joie discrète

Ton sillage en mon cœur, Papa.

 

Jean Iglesis

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10 juin 2017 6 10 /06 /juin /2017 10:02
J.Maureso - Maternité d'Elne - David SAMBLANET
J.Maureso - Maternité d'Elne - David SAMBLANET
J.Maureso - Maternité d'Elne - David SAMBLANET

J.Maureso - Maternité d'Elne - David SAMBLANET

***ELNE : La présidente de l’Association D.A.M.E.

 Mme Célia Garcia, le Maire d’Elne, M. Yves Barniol 

ont le plaisir de vous inviter à la Journée des Enfants d’Elisabeth

le samedi 10 juin 2017 à 11h

                                à la Maternité (Château d’en Bardou), Route de Bages à Elne

 

Inauguration de l’exposition

ENTRE L’ESPAGNE et LA RUSSIE 

pour récupérer l’Histoire des Enfants de la Guerre

en présence de Verónica Sierra Blas, commissaire de l’exposition,

professeure d’histoire à l’Université de Alcalá 

 

Apéritif et repas champêtre et fraternel 

dans les jardins de la Maternité. Pique-nique tiré du sac

 

15h30

dans les jardins de la Maternité, chansons russes

par  Elena Nikonorova

chanteuse d’origine russe venue de Madrid

pour la circonstance

 

17h salle Gavroche

le film sur Elisabeth Eidenbenz

La Llum d’Elna  en version française  La Lumière de l’Espoir

Entrée gratuite dans la limite des places disponibles (150) sur inscription à  l'accueil de la mairie et à l'accueil de la maternité, 

ou auprès de D.A.M.E : 06 52 77 33 92 

 

- - -Expo photos

*DURBAN/CORBIERES - David Samblanet :

 

J'aurai plaisir à vous rencontrer pour ma prochaine exposition “ RÉEXPOSITION ” à la galerie Remp-Arts, 14 rue des remparts - 11360 - Durban-Corbières

 

Vernissage le 10 juin 2017 à 18h

 

Ce projet est le résultat d’une rencontre entre le « cirque de Viviès. » à Saint Laurent de la Cabrerisse(11) et le photographe David Samblanet.

La contrainte était de décliner un même paysage photographiquement 99 fois, en référence au livre singulier « Exercices de style » de Raymond Queneau qui raconte 99 fois la même histoire mais dans un style à chaque fois différent.

 

David Samblanet

http://davidsamblanet.com/

https://www.facebook.com/david.samblanet

http://cargocollective.com/david-samblanet

https://twitter.com/davidsamblanet

+33(0) 06 83 92 37 47

- -

EXPO au château de Bellegarde

Le Perthus

 

"joseph maureso" <josephmaureso@gmail.com>  

 

exposition été 2017 au fort de Bellegarde :" illisible" de 

 

Joseph Maureso

La ville du Perthus

propose comme exposition de l'été 2017 

à la chapelle du fort de Bellegarde

du 19 juin au 17 septembre

une suite de mes peintures intitulée

"illisible"

 

le vernissage aura lieu le vendredi 16 juin à 18h

à l'occasion le collectif Dérives de Raison

fera une action performative 

poésie / chant / musique / danse et texte réflexif

 

- - -

 

***  Rivages  des  Arts

           

 la prochaine manifestation culturelle préparée par   Michel PEUS   sera :

Le Concert  d’été

Avec

Philippe  KURAS

Piano Jazz

Rendez-vous au

Palais des Congrès  à  Perpignan

 Le Mardi 13  Juin 2017 à  17h.

Participation : 12 euros

Le pianiste passionné, Philippe Kuras, était annoncé seul.

Séduit par l’invitation de Rivages des Arts, il sera accompagné de deux complices, à la percussion et à la basse, qui nous feront découvrir ou redécouvrir les grands standards du jazz qui prend ses origines dans le blues.

Le Programme sera annoncé directement par Philippe Kuras au cours du concert.

CatalJazz, une formation de grande convivialité musicale et de très belle qualité, terminera donc la saison des manifestations du Palais des Congrès, avant l’été !

            Dans l’attente de nous retrouver nombreux pour assister à ce concert de  Rivages des Arts,  je vous salue bien amicalement.

 jcAutonès

 

 

 

 

 

 

 

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9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 09:52
Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET
Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET
Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET
Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET
Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET

Fabienne MEYER, pour le Pays catalan - Salon du livre d'AMELEI/Bains (66) - Expo d'art à Port-Vendres - Jean ABELANET

Législatives en PAYS CATALAN :

mon choix, très subjectif, pour trois femmes et un homme politiques engagés, militants, sincères, près des gens... que j'estime, que j'ai des liens amicaux, ah que, ah que.....!!!

d'horizons très divers (Oui au pays cataln, la République en marche, Parti socialiste, parti communiste)

pour Fabienne MEYER (1ère), Christine ESPERT (2°), Ségolène NEUVILLE (3°), Nicolas GARCIA (4°) -

 

***mais pas

Les girouettes GRAU, CODOGNES -

EAS en bonne situation..?

M. Romain GRAU, premier adjoint à la mairie LR de Perpignan (pour Fillon, pour ni ni, puis pour Macron...pour qui ensuite..?), chargé des finances...

Perpignan, endettée, record pour le chômage en France...

R. GRAU, conseiller départemental "Les Rép" et aussi à la communauté territoriale, l'agglo, gérée par la droite : c'est le 3° rang pour la dette, classement au 24 ° rang sur 41 pour l'investissement, 7° pour l'importance de la taxe de cotisation financière des entreprises...

 

 

- - - -

* Jean ABELANET -  www.trabucaire.com

 

 Rencontre-dédicace avec Jean Abélanet le vendredi 9 juin, 17h30 à la Librairie Torcatis

 

Ø  Samedi 10 juin 2017, médiathèque d’Argelès sur Mer, 17h30

Présentation-dégustation autour de l’ouvrage collectif Les Rancios secs du Roussillon. Vins oxydatifs, fleurons de la viticulture catalane

  

Ø  Vendredi 16 juin 2017, librairie Torcatis, 17h30

Présentation-dédicace avec Pierre Giresse autour de l’ouvrage collectif Terres de vins. Promenades géologiques en pays catalan.

 

- - -

* Décroissance - législatives juin 2017

Le collectif nous sommes Parti-e-s Pour La Décroissance soutient la démarche des décroissant.e.s qui participent aux élections législatives de 2017. Toutes les informations sur leurs motivations, démarches, constats et propositions sur le site : http://decroissance-elections.fr

 

Le PPLD

Des candidatures « Les décroissant.e.s » aux législatives

 

Renouvelant l’expérience de 2012, la mouvance décroissante sera encore présente aux élections législatives de 2017. Regroupés sous une même étiquette nationale « les décroissant.e.s », 16 candidats ou candidates sont en effet présents dans des circonscriptions réparties sur tout le territoire. Ils disposent du matériel électoral nécessaire pour assurer la visibilité des idées de la décroissance : professions de foi, bulletins, affiches.

Le constat est alarmant : l’exploitation des  ressources  naturelles a dépassé ce que la planète peut supporter (Il faudrait l’équivalent de 3 planètes pour permettre à tous les humains d’avoir le même niveau de vie qu’un français). Il est donc urgent de faire décroître la consommation globale.

La séquence des présidentielles, qui vient de se terminer, a vu tous les candidats rivaliser pour « relancer la croissance et l’emploi » . Sans surprise, la victoire est revenue au camp de la marche forcée vers le progrès « qui innove la nouveauté » et de la compétition qui provoque l’exclusion.

L’absence de candidat écologiste à la présidentielle a signé définitivement le ralliement sans tabou de l’écologie « officielle » au capitalisme mondialisé, qui nous mène droit dans le mur (la seule énergie « verte » est celle que l’on ne consomme pas).

Pour la Décroissance (la seule écologie politique actuelle), l’injonction de «rester positif » et de ne pas critiquer, alors que tout s’aggrave, est un mot d’ordre immoral (d’inspiration publicitaire) qui précède l’effondrement.

« – Pourquoi vouloir défendre un système économique dont on dira qu’il a détruit la planète ?» écrivait le pape en juin 2015 dans son encyclique sur l’environnement…

Oui, pourquoi ?

Nous, décroissant.e.s, ne pouvons et ne voulons rester spectateurs de cette société qui nous projette inexorablement dans le mur des limites physiques de la nature.

Aussi, nous proposons des chemins pour « vivre bien », en paix et durablement : réduction du cycle extraction / production / consommation / déchets, décroissance des inégalités par une meilleure redistribution, relocalisation des productions de base, encadrement éthique des nouvelles technologies, repolitisation de la société…

En résumé, nous proposons comme alternatives la sobriété et la coopération, avec, comme cadre, les limites naturelles de notre planète.

 

Les décroissant.e.s

http://decroissance-elections.fr

 

***à suivre : W.Benjamin, penseur de la décroissance..?

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8 juin 2017 4 08 /06 /juin /2017 08:48
Musée Rigaud rénové

Musée Rigaud rénové

LES PRIX de la CULTURE

 

L'Archipel, théâtre critiqué, décrié, possède une l’envergure nationale pour 42 millions d’euros.

 Le Conservatoire : grâce à l’Agglo la rénovation entière du Conservatoire de musique à rayonnement régional a été effectuée pour 7,5 millions.

Dans le même temps, la construction pour 14 millions d’euros du musée du Grand Rigaud se termine à l’été 2017 (vernissage le 23 juin à 22 heures ! Une nuit des musées, en quelque sorte...) La communication a coûté 200 000 euros...

 

RIGAUD Le Grand -

BIG RIGAU catalan peintre officiel de  Louis Le Grand

Pour rappel, le centre d’art contemporain Walter-Benjamin a été créé en 2013 grâce à un investissement de 700 000 € : après deux expositions, il a fermé ses portes, en attendant de n'être plus qu'une "annexe" du Big RIGAUD... Rigodon, rigolons ! Non, pleurons !!!

 

La culture, c'est cher et ça peut rapporter si la ville devient une destination culturelle sérieuse.

Et sportive ! Rappelons que le club de la copine du maire de Perpignan, la nouvelle Etoile sportive Basket la Catalane a reçu la subvention de 45 000 euros (pour comparer, aux Francas moribonds : 2000 euros) cf. L'Indépendant du 1er octobre 2015.

 

     Street ART et

Meeting of styles : le festival international de graffs a coûté 20 000 euros à l'agglomération (alors que le cercle algérianiste n'a touché que 6000 euros, lors du conseil municipal du 12 mai 2016) :

 

La Ville de Perpignan vient d’inaugurer les œuvres « street art » réalisées par des ARTISTES MONDIALEMENT connus : Marko 93, Astro, Shaka et Alber (artistes membres du collectif « Uisc Asso » (Union Internationale de la street culture). Une réalisation qui embellit et donne vie au passage Salvador Dali de la gare de Perpignan.

L’occasion de rappeler que depuis 2010, de Caracas à Melbourne, en passant par Manille, San Francisco et…Perpignan (unique étape française), l’association U.I.S.C, organise l’unique étape française du célèbre festival itinérant « Meeting of Styles » (MOS), événement de référence en matière de graffiti à l’échelle mondiale.

Chaque année, l’U.I.S.C invite une sélection de cinquante artistes français et internationaux à peindre dans l’enceinte de l’Arsenal de la Casa Musicale de Perpignan. Les artistes réalisent des œuvres sur des structures en panneaux bois surdimensionnées spécialement mises en place pour l’événement sur près de 1200m2. Une dizaine de nationalités sont représentées afin de proposer un tour du monde de cette pratique artistique avec ses différentes techniques et inspirations.

*Rappelons que le passage du Centre du Monde a sorti ses graffs: des fresques le long de la liaison souterraine entre l'ancienne et la nouvelle gare. 

"Volonté de "mettre l'art à la portée du plus grand nombre.", déclara l'adjoint à la culture. 

 

***

 

 

 

MUSEE RIGAUD (pub officielle)

 

 

 

 

Le 24 juin prochain, le musée d’art Hyacinthe Rigaud ouvrira ses portes à Perpignan après trois ans de travaux. Cette nouvelle structure culturelle viendra donner à la ville un rayonnement national avec une proposition artistique de grande qualité.

 

L’ouverture du musée marque une date importante pour la ville. Cette nouvelle structure culturelle réunira collections permanentes et expositions temporaires de choix et permettra de mettre en lumière des œuvres splendides, de grande valeur, jusque-là stockées dans les réserves.

 

Le projet architectural, porté par l’architecte Stéphane Barbotin-Larrieu, a consisté à lier les hôtels de Lazerme et de Mailly et à redéployer le musée en assurant au public une vue des collections et un parcours permettant de changer sa vision du patrimoine perpignanais, en matière d’art et d’architecture.

Le parcours proposé aux visiteurs s’articulera autour de quatre grands axes présentant le récit de l’histoire artistique et culturelle, telle qu’elle s’est déroulée à Perpignan. Plusieurs siècles de création se déploieront ainsi sur les 900 m2 de l’exposition permanente. Un parcours repensé, des œuvres restaurées et des collections enrichies de prestigieuses acquisitions et de nombreux dépôts (Fondation Maillol, Musée d’Orsay, Musée national d’Art moderne, Centre national des Arts plastiques...). L’exposition temporaire totalisera quant à elle une surface de 400 m².

 

Un travail d’orfèvre

Les travaux du musée ont été l’occasion d’un vaste chantier de restauration des œuvres. Ainsi, des œuvres, comme le Retable de la Trinité, les retables du musée et la collection d’œuvres de Hyacinthe Rigaud, ont été transportées jusqu’au Centre interrégional de Conservation et de Restauration du patrimoine à Marseille où elles ont retrouvé tout leur éclat. Dans le même temps, d’autres tableaux, notamment des peintures des XVIIe et XVIIIe siècles, mais également les œuvres de Dufy, Maillol, Terrus, Bausil, ont été « bichonnés » dans des ateliers de restauration privés. Au total, quelques 150 œuvres ont été restaurées. Du léger nettoyage à des interventions plus délicates, les restaurateurs, en concertation avec l’équipe scientifique du musée, ont travaillé dans l’ombre à la mise en lumière de ce patrimoine prochainement dévoilé aux Perpignanais et aux touristes.

 

Picasso Perpignan Le cercle de l’intime 1953-1955 

 

Dès l’ouverture du musée le 24 juin prochain, l’exposition 

« Picasso Perpignan Le cercle de l’intime 1953-1955 » viendra retracer les séjours perpignanais de Picasso entre 1953 et 1955, une période qui correspond à une rupture personnelle et esthétique du peintre. La préparation de l’exposition s’est basée sur l’étude d’un important fonds documentaire, pour l’essentiel inédit. Cette 1re exposition temporaire reçoit le soutien du musée national Picasso- Paris et la confiance de nombreux prêteurs, en outre elle bénéficie du soutien et de la dynamique du projet « Picasso-Méditerranée », initié par le musée Picasso-Paris et qui fédère de nombreuses initiatives sur l’ensemble du pourtour méditerranéen. 

 

Pour cette grande exposition d’ouverture, le Service des publics déclinera un programme d’activités variées sous l’angle des « Vacances perpignanaises ». Des visites guidées aux découvertes ludiques, des cycles de conférences aux spectacles familiaux, les activités autour de l’exposition croiseront les regards et les champs artistiques. Les plus jeunes pourront eux aussi participer à des ateliers collectifs et des visites contées, tandis que les visiteurs navigueront entre les œuvres. Au sortir de l’exposition, un passage à la boutique du musée s’impose. Un catalogue, disponible en quatre langues (français, anglais, catalan et espagnol) prolongera la visite.

 

Exposition du 25 juin au 5 novembre 2017

Commissariat : Eduard Vallès, conservateur, MNAC (Barcelone), spécialiste de l’œuvre de Picasso.

 

Du 1er octobre au 31 mai : 11 h 00 – 17 h 30, fermeture le lundi.

Du 1er juin au 30 septembre : 10 h 30 – 19 h 00, ouvert tous les jours.

Deux nocturnes hebdomadaires en juillet et août : les jeudis et vendredis, ouvert jusqu’à 21 h 00.

 

Musée d’art Hyacinthe Rigaud

21 rue Mailly – 66000 PERPIGNAN

Tél : 04 68 66 19 83

musee-rigaud@mairie-perpignan.com

http://www.musee-rigaud.fr/

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7 juin 2017 3 07 /06 /juin /2017 08:41
J.Baptiste des Gachons, jeudi 8 juin, 18h30, villa Dufflot - Picasso à la mer (Canet-village) - Prostitution à La Jonquera
J.Baptiste des Gachons, jeudi 8 juin, 18h30, villa Dufflot - Picasso à la mer (Canet-village) - Prostitution à La Jonquera

J.Baptiste des Gachons, jeudi 8 juin, 18h30, villa Dufflot - Picasso à la mer (Canet-village) - Prostitution à La Jonquera

***PICASSO à toutes les sauces

 

PICASSO à DUFFLOT 

 

Amélie et Emmanuel STERN
ainsi que toute l’équipe de la Villa Duflot

vous prient de leur faire l’honneur d’assister au vernissage de l’exposition de

JEaN-BapTiSTE des GaCHONS

autour de picasso ii

le jeudi 8 juin 2017 à partir de 18h30

Entrée libre
A l’issue de ce vernissage, un apéritif sera offert.

Exposition autour de picasso ii
du jeudi 8 juin au vendredi 25 août 2017

La ViLLa DUFLOT

Rond Point Donnezan - Perpignan - www.villa-duflot.com Suivez notre actualité sur villa.duflot

 

*PICASSO à Canet  : Galerie des Hospices, 22 juin 

 

Picasso à la mer

 

***Picasso à RIGAUD : Perpignan

Points de vue :

 

 

Annonce au Musée Picasso de Paris de notre exposition "Picasso Perpignan, le Cercle de l'intime" par Audrey Azoulay Ministre de la Culture et Catherine Hutin, fille de Jacqueline Roques et marraine du projet Picasso Méditerranée devant une des œuvres majeures qui sera présentée au Musée Hyacinthe Rigaud à cette occasion. 

Le 24 juin, le Musée Rigaud va présenter au public ses collections dans un lieu totalement réaménagé et agrandi.

Le musée, fermé depuis trois ans et demi, va désormais s’étendre sur 800 m2 pour l’exposition permanente et sur un plateau de plus de 100 m2 pour les expositions temporaires. Conçu par l’architecte parisien Stéphane Barbotin, le musée fusionne l’Hôtel de Mailly et l’hôtel de Lazerme, datant des XVIIè et XVIIIè siècle.

L’expo permanente va proposer un parcours autour de trois grands axes, l’axe gothique avec une pièce entière consacrée au retable de la Trinité, une deuxième partie consacrée à l’artiste Hyacinthe Rigaud, natif de Perpignan. Le musée compte aujourd’hui 14 toiles de ce peintre, soit la première collection au monde de celui qui fut notamment le portraitiste de Louis XIV, Philippe V d’Espagne ou Louis XV; le troisième axe est centré autour de la figure du sculpteur Maillol.

Le Musée Maillol prête d’ailleurs au musée de Perpignan une Pomone, un bronze original qui trône désormais dans la cour d’entrée.

Le 24 juin, le musé ouvre ses portes avec une  exposition Picasso-Perpignan, le cercle de l’intime, 1953-1955, révélant l’influence des séjours perpignanais sur l’œuvre de l’artiste espagnol.

 

***Le Musée d’art Hyacinthe Rigaud rouvre cet été à Perpignan

Le Musée d'art Hyacinthe Rigaud rouvrira ses portes le 24 juin 2017, après plus de trois années de travaux d'ampleur. Un événement qui s'inscrit au cœur du patrimoine culturel de la région, tout en gardant à l'esprit l'importance de la valorisation des bâtiments qui l'abritent. Visite en avant-première sur le site en images, avec en préambule les prochains temps forts de la toute nouvelle programmation du musée !

Une rénovation ambitieuse

Perpignan « la Catalane » va retrouver son musée des beaux-arts. Et quel musée ! Rénovations maîtrisées, agrandissements et créations de nouveaux espaces d’expositions pour le parcours des visiteurs ont été pensés avec un œil du 21è siècle. Pourtant, tout ou presque est historique dans ce musée qui préserve intacte la figure d’Hyacinthe Rigaud (1659-1743), l’enfant du pays.

Artiste élégant, portraitiste des grands et puissants, admirateur de Rembrandt et des Lumières du Nord, lui, le perpignanais solaire, aura lié son destin artistique et son style à la grâce d’un Roussillon tout juste rattaché à la France. Son art de la composition, sa science du rendu, comme du tombé des étoffes et drapés, rendront Hyacinthe Rigaud célèbre bien au-delà des Pyrénées !

Chantier exigeant d’un lieu qui se pense comme un tout, le prochain Musée d’art Hyacinthe Rigaud verra la fusion des anciens hôtels particuliers de Mailly et de Lazerme. Un trésor architectural, véritable joyau d’Histoire ceint dans la couronne de la vieille ville, dont la légende romantique va si bien aux lieux. Du « beau » raisonné, à la fois fier de son passé et conscient de son devoir à devenir…

Un défi culturel évolutif

Dès l’ouverture, ce sont pas moins de 438 œuvres qui feront les riches heures du parcours permanent. Le public pourra ainsi découvrir, classées par thème et chronologie, des pièces remarquables, restaurées ou récemment acquises. Telles des huiles sur toile d’Hyacinthe Rigaud bien sûr, mais aussi d’autres chefs-d’œuvre d’artistes dont leur séjour à Perpignan aura sur le travail plus d’une influence favorable… Ainsi, la collection permanente du musée réunit Duffy, Maillol, Monfreid, Daura, et encore Lurçat, Manolo, Terrus, et Picasso.

Picasso justement. L’artiste espagnol aura les honneurs de la première exposition temporaire ! Directrice du musée, Claire Muchir a souhaité frapper les esprits, et quoi de mieux pour ouvrir le bal des festivités muséales à Perpignan que l’ombre d’un des plus grands maîtres à y avoir séjourné ?

Intitulée « Picasso-Perpignan. Le cercle de l’intime, 1953-1955 », l’exposition, qui se tiendra du 24 juin au 5 novembre prochain, axera son parcours sur l’influence de la cité perpignanaise dans la vie artistique du peintre et sculpteur andalou sur deux années.

Un musée à suivre…

***

 

***"Effets frontières et phénomène prostitutionnel"

au Centre d’Art àcentmètresducentredumonde

Jeudi 8 juin 2017 à 19h

 

L'UPVDoc vous invite à son 3 ème café conférence

Les sociologues Sophie Avarguez et Aude Harlé, maîtres de conférence

 à l'Université de Perpignan, présenteront leur étude menée 

sur le phénomène prostitutionnel dit « de la Jonquera »

 et discuteront plus particulièrement des liens entre effets frontières, 

consommation et prostitution sur la base des discours des jeunes des Pyrénées-Orientales. 

Ouvert à toutes à et à tous, entrée gratuite et apéritif dînatoire offert par l'Association

- - -

 

 

 

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6 juin 2017 2 06 /06 /juin /2017 10:20
Josep Loste (Defesem  el  Tren  de l’Empordà)  et Mathieu Faye (Association des usages  Perpinyà-Cerbère-Portbou
Josep Loste (Defesem  el  Tren  de l’Empordà)  et Mathieu Faye (Association des usages  Perpinyà-Cerbère-Portbou

Josep Loste (Defesem  el  Tren  de l’Empordà)  et Mathieu Faye (Association des usages  Perpinyà-Cerbère-Portbou

*** Rencontre conviviale ferroviaire Cerbère Portbou  Samedi   3  juin   2017

 

 Pour un train Walter BENJAMIN..?

 

L’association des usagers du train Perpignan-Portbou basée à Cerbère et le collectif « Defensem el tren de l’Emporda » se sont rencontrés ce samedi 3 juin pour développer plus de coopération inter-frontière. Leurs demandes : Le Terminus à Portbou pour tous les trains français arrivant à Cerbère et terminus Cerbère pour tous les trains espagnols arrivant à Portbou ; correspondances optimisées à la frontière ; des billets transfrontaliers à bon prix ; l’ouverture des trains qui voyagent à vide aux voyageurs ; amplitude horaire avec cadencement, équivalente aux autres lignes transfrontalières françaises (6h-22h) ; un train transfrontaliers du quotidien sur la côte, qui, suggèrent-ils, pourrait s’appeler le train « Walter Benjamin », en référence au philosophe croiseur de frontières.

 

Une des première remarque lors de cette rencontre conviviale c’est qu’il semble que «les association des usagers parviennent bien mieux à communiquer entre elles que la SNCF et la RENFE» ! La question du train est très importante pour Cerbère, et Portbou. Sans leurs trains ce serait un peu comme des villes de mineurs sans leur mine.

 

Les convives ont trinqué au retour promis du train de nuit, tout en restant inquiets car les billets du train de nuit ce samedi ne pouvaient toujours pas être réservés : « nous perdons les possibilités d’avoir de bons prix ». Sans avoir de confirmation officielle les horaires communiqués feraient arriver le train tard à Cerbère-Portbou sûrement à cause des manœuvre liées au fait que le train serait quadribranche. « Sera-t-il possible d’avoir suffisamment de wagons ? » demandent-ils ?

 

Une action est prévue le 8 juillet au retour prévu du train de nuit.

Les associations d’usagers entendent coordonner les actions : « malgré des déclarations d’intentions nous n’avons pas non plus confirmation que les liaisons entre Cerbère et Portbou seront améliorées dans la nouvelle convention TER entre la région et la SNCF » nous explique Mathieu Faye de l’association française. En comparaison au coûts énorme du TGV, faire de bonnes connexion aurait un coût dérisoire. Le train du matin s’arrête à Cerbère, et attend, alors qu’il pourrait très bien faire la connexion avec les trains espagnols. Surtout que du coté espagnol à Portbou 6 trains sont déjà parti avant que le premier train français n’arrive à 11h28. Lorsqu’à 20h le train espagnol arrive à Cerbère, le train français a déjà quitté la gare 20 minutes avant, obligeant les voyageurs à dormir sur place. « Ils n’imaginent pas qu’il n’y aurait pas de connexion à leur arrivée ». nous explique Josep Loste. Car toujours rien n’a été fait pour palier à ces manques de connexion.

 

Par ailleurs Mathieu Faye a étudié des documents officiels suggérant qu’il existait une clause secrète du contrat entre l’état espagnol et TP ferro empêchant un changement d’écartement sur la ligne conventionnelle de la côte permettant une continuité entre les réseaux français et espagnols afin de favoriser le TGV. Les Usagers tiennent à leur ligne de train et n’accepteraient pas que des infrastructures écologiques et de cette qualité soient dévaluées: les rails permettent de relier Banyuls et Portbou en 10 minutes, alors que la voiture met une demi-heure.

 

Légende photo : Josep Loste (Defesem  el  Tren  de l’Empordà)  et Mathieu Faye (Association des usages  Perpinyà-Cerbère-Portbou)  avec les horaires des trains qu’ils voudraient combiner.

 

Josep M. Loste

Coordinateur  de  Defensem el tren de l’Empordà

tel 00 34  625 14 84 65

 

Merci à J. M. LOSTE rencontré à Portbou ce samedi à l'occasion de la journée W. Benjamin. 

 

JPBonnel, président de l'association W. Benjamin sans frontières (Banyuls)

 

- - -

 

* Villeneuve de la Raho :

 

SFR vient démonter les 6 et 7 juin ses équipements intérieurs et extérieurs du château d'eau de Villeneuve de la Raho :

l'occasion pour vous de pouvoir constater et vivre un moment fort. 

Rappelons que Bouygues et Orange n'ont pas confirmer leur démontage. (à suivre) 

 

Paulette Palau

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  • professeur de lettres, écrivain, j'ai publié plusieurs livres dans la région Languedoc-Roussillon, sur la Catalogne, Matisse, Machado, Walter Benjamin (éditions Balzac, Cap Béar, Presses littéraires, Presses du Languedoc...
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