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19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 08:02

miguel-chevalier.jpeg Miguel Chevalier

 

 

On peut se distraire et se culturer en même temps. Tenter d'être moins bête grâce à la culture...

 

Samedi 17 mai, le Rayon vert de Cerbère, navire surréaliste blessé mais toujours incroyable au-dessus de la mer, accueillait, grâce à François Boutonnet (cinémaginaire) et Jodi Vidal (centre d'art contemporain), les films et lectures de Franck Ancel et Manuel Cusso Ferrer. Une escapade à Port-Bou fut l'occasion de se rendre sur les traces de W. Benjamin et tenter de distinguer son invisible psence dans le petit cimetière marin...

 

Grâce à ces jours de printemps qui rallongent et nous font notre à une victoire sur le temps qui passe, il fut loisible de se rendre au musée d'art moderne de Céret : jeunes étudiants en histoire de l'art commentant des tableaux (le Chagall, en particulier, du Mamoc), un orchestre de jeunes à l'entrée du musée, tout donnait envie d'entrer dans la nuit muséale...

 

C'est surtout la magique installation de Miguel Chavalier (jusqu'au 1er juin, à ne pas rater !) montrant ses "paradis artificiels" (faisant le lien avec le Baudelaire de W.Benjamin) dans une conception technologique de l'art, qui enchanta le public : art interactif, où le public est acteur, créant en flânant dans les salles, écrivant des livres virtuels, utopiques, passant de l'autre côté du miroir, comme Alice cueillant fleurs virtuelles et  végétaux artificiels grâce à la video et aux logiciels numériques : formes florales se développant et se rétrécissant à l'infini, dans un univers fantastique et coloré, un paradis que l'on contemple et dont on peut toucher les frontières synthétiques...

 

L'art n'est plus statique, tout est mouvement perpétuel, même ces statues conçues en trois D et qui, grâce aux jeux des glaces, semblent vivre. Le spectateur poursuit sa promenade dans cette "galerie des glaces" du musée cérétan donnant vie et dimension contemporaine à un musée qu'on croyait voué à la célébration des gloires nationales qui ont séjourné quelque temps en Vallespir (Picasso, Survage...) ou des artistes régionaux des Supports-Surfaces montrés à satiété...

 

La nuit des musées s'achève à Perpignan, où la culture bouge aussi et va étonner la ville grâce au nouvel élu, Michel Pinell, ouvert au dialogue et à la médiation, ainsi qu'aux exubérances de Jordi Vidal.

Ce fut l'idée originale d'appréhender un musée par d'autres arts, par la voix, la danse ou la musique (le jazz d'Alex Augé), d'instaurer le bruit harmonieux dans le traditionnel monde du silence muséal, d'ouvrir par la création inédite un lieu qui est fermé et en rénovation...


La culture est en mouvement, dans le département, aux frontières et au coeur de la ville ! On en redemande !!!

 

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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 08:49

musee-a-musee.jpg De musée en musée (C) MUME, musée de l'exil de la Jonquera

 

 

* La marche vers MACHADO : Serge Pey

 

 

LA BOÎTE AUX LETTRES DU CIMETIÈRE

UNE MARCHE POUR ANTONIO MACHADO

16 mai – 1er juin 2014

 

 

La poésie annule parfois le temps et paradoxalement devient souvent une mémoire. Parfois elle explore l’avenir en bouleversant ses passés ou ses présents inassouvis. Langue qui transforme la vie et vie qui en retour la bouleverse, elle est le sang d’un invisible qui raconte le monde.  Le réel qui fuit devant nous, à chaque fois que nous voulons le saisir, nous revient dans la langue comme un boomerang. 

La poésie raconte des histoires de la poésie et la poésie est une histoire que l’histoire ne connaît pas. Exploratrice des inconnus du réel, elle devient l’inconnu qui nous constitue. 

À l’heure où les hommes oublient leurs poèmes, le devoir de la poésie a le devoir de toutes les mémoires.

Ainsi sur les routes et les paysages des tourismes de la mer, jadis hérissés de barbelés,  qui se souvient encore des fantômes des exilés qui  ont marché dans notre histoire comme des poèmes debout ?

 

N’oublions pas. En 1939, talonnés par les troupes franquistes, cinq cent mille républicains espagnols arrivent à la frontière française, où pour nombre d’entre eux, les attend les camps de concentration, la mort par maladie, et bientôt pour beaucoup la déportation. Parmi eux, marche, le poète magnifique des transparences : Antonio Machado. Il est âgé de 64 ans. Il est exténué. Avec sa mère ils vont descendre à Cerbère dans un fourgon cellulaire. Leur première nuit en terre française se passe dans un wagon oublié, dans le froid, sur une voie de garage. Le mercredi 22 février à trois heures et demie de l’après-midi, il meurt tandis que sa mère agonise dans la même chambre. 

 

La nouvelle de la mort du poète se répand très vite parmi les exilés catalans et espagnols.

Mais aujourd’hui, beaucoup l’ont oublié. Les fonctionnaires patentés de notre civilisation de l’oubli organisent méthodiquement l’effacement de l’histoire. 

Une poignée pourtant se la rappelle, dans ses poings.

 

Dans une époque où les poèmes sont jetés dans les rigoles et les tout-à-l’égout de la marchandise, la poésie doit inventer de nouvelles pages. 

 

Serge Pey va ainsi  partir de l’avenue Antonio Machado, adresse historique de l’Université de Toulouse-Le Mirail où il anime ses chantiers d’art provisoire et marcher jusqu’au cimetière de Collioure où se trouve la tombe d’Antonio Machado.  La seule tombe du monde où est érigée une boîte aux lettres.

 

Depuis le mois d’octobre  2013, Serge Pey a fait écrire des centaines de lettres destinées au poète espagnol qu’il ira poster dans cette boîte aux lettres de l’espérance, à Collioure.

 

Sur tout ce parcours, qui se déroulera du 16 mai au 31 juin 2014, Serge Pey remontera le canal du Midi jusqu’à Carcassonne et traversera les Corbières jusqu’à la Méditerranée.

(à suivre...)

 

** Musée de l'exil :

 

El “Dia Internacional dels Museus” al MUME

 

Jornada de portes obertes, visites guiades i activitat "De museu a museu"

 

Diumenge 18 de maig de 2014

Jornada de portes obertes, de 10 a 18 h

Visita guiada gratuïta ( a les 16 h en francès i 17 h en català)

 

Del diumenge 18 de maig al 15 de juny

Segona edició del “De Museu a Museu”

Els museus de l’Alt Empordà s’intercanvien peces pel Dia Internacional dels Museus.

 

 

 

Le “Jour International des Musées” au MUME

 

Journée portes ouvertes et visites guidées

 

Dimanche 18 mai 2014

Journée portes ouvertes, de 10 à 18 h

Visite guidée gratuite (à 16 h en français et à 17 h en catalan)

 

Du dimache 18 mai au 15 juin

Seconde édition “De Musée à Musée”

Différents musées de l’Alt Empordà échangent des pièces pour le Jour International des Musées

 

MUME

Museu Memorial de l'Exili

C / Major, 43-47

17700 La Jonquera

T. 0034 972556533

F. 972556534

www.museuexili.ca

 

**A été fêtée "la marche dans tous ses états" le SAMEDI 17 MAI à Marcevol. Organisons la suite !!!


 blog de l'association : http://marcevol.canalblog.com

 

 

En pièce jointe également, la "Fiche repères" actualisée qui retrace l'histoire de notre association, qui fêtera ses 10 bougies en fin d'année.

 

Et enfin, voici un lien qui permet à ceux que cela intéresse, de signer la pétition "Non au projet de golf de St-Jean-Pla-de-Corts en Pyrénées-Orientales" dont notre association est cosignataire :

http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2014N45931

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 07:46

affiche-sur-les-traces-de-WB.jpg  Cinémaginaire à Cerbère

CINÉMA SUR LA FRONTIÈRE
Sur les traces de Walter Benjamin
En prologue aux 29e Rencontres Cinémaginaire d’Argelès sur Mer
samedi 17 mai 2014 - de 10h45 à 16h15
hôtel du Belvédère du rayon vert - Cerbère
Download.html.jpg
10h45 avec Franck Ancel
Café des images (café + petit film) La forme et le lieu (extrait du film Philippe Collin 1990 – 10’)
Escapade au monument de Dani Karavan à Port Bou
Lecture d’Enrique Villa Matas, concernant la présence de Marcel Duchamp et Walter Benjamin à Port Bou

13h15 buffet
réservations : contact@cinemaginaire.org

14h30 avec Manuel Cusso Ferrer
L’ultima frontera – La dernière frontière de Walter Benjamin
film de Manuel Cusso Ferrer (1h14 – vo sous titrée) en présence du réalisateur

16h15 : fin des agapes

entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles

 

contact@cinemaginaire.org

 

partenariat avec le CAC WB de Perpignan

avec le soutien de la DRAC LR

 

Pour info

Train Perpignan Cerbère 17 mai

Aller : départ Perpignan 9h45 - arrivée Cerbère 10h22

Retour : départ Cerbère 16h35 - arrivée Perpignan 17h13

 

Pour en savoir plus :

Mail : contact@cinemaginaire.org

Site : www.cinemaginaire.org

 

 

Pour trouver le programme des 3 semaines en cours :   <http://www.cinemaginaire.org/www/images/news/progA.pdf>

> Pour trouver toutes les infos et en savoir plus sur Cinémaginaire :   <http://www.cinemaginaire.org/www/index.htm>

> Pour trouver le programme de toutes les salles de cinéma programmées par Cinémaginaire sur :   <http://www.allocine.fr/salle>

> Pour trouver l’agenda des évènements marquants Cinémaginaire septembre 2013 – juin 2014 :   <http://www.cinemaginaire.org/www/images/news/progF.pdf>

 

vos  prochains rendez-vous  du 17 mai au 3 juin 2014

 

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Samedi 17 mai 10h45 - 16h45

Hôtel du Belvédère du Rayon Vert – 66 Cerbère

> CINÉMA SUR LA FRONTIÈRE <

En prologue aux 29e Rencontres Cinémaginaire

Cinéma sur la frontière / Sur les traces de Walter Benjamin

entrée libre et gratuite sur réservation (dans la limite des places disponibles)  : contact@cinemaginaire.org

€ 10h45 avec Franck Ancel : café des images, escapade à Port Bou, lectures d’Enrique Villa Matas

€ 13h15 buffet  

€ 14h30 avec Manuel Cusso Ferrer : film L’ultima frontera – la dernière frontière de Walter Benjamin

Plus d’infos : <http://www.cinemaginaire.org/www/php/news_det.php?id=240>

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Mercredi 21 mai 2014 à 14h30

Cinéma  Novelty – Banyuls sur Mer

> LE CINÉ DES ENFANTS <

LA PETITE FABRIQUE DU MONDE

FILMS D’ANIMATION – France 2013 42’ - à partir de 3 ans

Tarif : film + jeu + goûter : 2,50 euros pour tous

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Mercredi 21 mai 2014 à 15h30

Cinéma Vautier - 66  Elne

> LE CINÉ DES ENFANTS <

LA PETITE FABRIQUE DU MONDE

FILMS D’ANIMATION – France 2013 42’ - à partir de 3 ans

Tarif : film + jeu + goûter : 2,50 euros pour tous

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Mardi  27 mai 2014 à 14h30

Cinéma Vautier - 66  Elne

> LES AMIS DU VAUTIER <

présentent 

LES YEUX JAUNES DES CROCODILES

Film de Cécile Telerman (Frabce 2014 2h02) avec Julie Depardieu, Emmanuelle Beart, Patrick Bruel …

Deux s¦urs que tout oppose. Un soir, Iris se vante d’écrire un roman. Prise dans son mensonge, elle persuade sa s¦ur, d’écrire ce roman qu’Iris signera.

Tarif : 5   euros

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Mardi 27 mai de 11h à 18h30

Cinéma  Jaurès  - 66 Argelès sur  Mer    

> RENCONTRES PROFESSIONNELLES TRANSFRONTALIERES <

Autour de la production et de la diffusion cinéma et audiovisuel

Entorn de la producció i de la difusió del cinema i de l'audiovisual

Interventions de représentants du Ministère de la Culture, la Région Languedoc Roussillon,

Languedoc Roussillon Cinéma, la Ligue des Producteurs, 

les Cinémas et Festivals du Languedoc Roussillon, France 3 Languedoc Roussillon … 

Intervencions representants de la Generalitat, de la Producció, de Catalan Films, de TV3, de Festivals …

Entrée gratuite aux professionnels cinéma et audiovisuel

uniquement sur inscription préalable : contact@cinemaginaire.org

Plus d’infos : <http://www.cinemaginaire.org/www/php/contenu.php?id=107>

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Du mardi 27 mai au dimanche 1er juin 2014

Cinéma  Jaurès  - 66 Argelès sur  Mer 

29ème Festival Rencontres Cinémaginaire d’Argelès sur Mer

Autour du thème Deux ou trois choses que je sais d’elle (film de Jean Luc Godard), une édition festive et tonique, avec de nombreux invités, des films en avant première, une compétition de films courts, une nuit du cinéma fantastique, des partenariats avec la catalogne sud, des projections surprises, une expo exceptionnelle d’Angels Rosès …

un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte !

Plus d’infos : <http://www.cinemaginaire.org/www/php/contenu.php?id=104>

Programme : <http://www.cinemaginaire.org/www/images/news/progRCAM2014.pdf>

 

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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 11:38

 9782918059370_1_m.jpg LIBRAIRIE TORCATIS VENDREDI 16 MAI 2014 / 18H00

 

Nicolas De La CASINIERE présentera, Le vendredi 16 mai à 18h00,

à l’invitation du comité de soutien à Notre-Dame-des-Landes.

   

"Les Prédateurs Du Béton" éd. Libertalia

  

  

Pour illustrer la férocité des multinationales à l’ère de la mondialisation, le linguiste américain Noam Chomsky usait d’une image forte de paradoxe : si la puissance étatique forme bel et bien une « cage » dans laquelle les peuples sont astreints à résidence, ses barreaux n’en constituent pas moins une protection contre la faune des firmes rôdant autour.

« Avec Vinci, le capitalisme moderne dispose d’un fleuron qui a pour ambition de se jouer de l’espace et du temps.

Rien de moins. Le monde comme marché, » écrit le journaliste Nicolas de la Casinière dans son livre,

Les prédateurs du béton, enquête sur la multinationale Vinci.

Créée en 2000, la pieuvre Vinci (40 milliards d’euros de chiffre d’affaire) a glissé ses tentacules dans des domaines

aussi variés que les autoroutes, le nucléaire ou les réseaux d’eaux.

C’est elle qui a été choisie pour bétonner et bitumer le bocage de Notre-Dame-des-Landes afin d’y construire ce méga-aéroport que seul un large mouvement d’opposition a permis pour l’instant d’ajourner.

Aux premières loges de la lutte, de la Casinière a eu le temps d’affûter son regard sur la nature profondément carnassière du numéro trois mondial du BTP. Comme il le dit dans le début de son livre : « Vinci est ici, Vinci est partout. »

 

**

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Deux propositions où art et histoire fusionnent pour devenir un outil de prise de conscience précieux au service de la défense des droits humains et des droits de l’enfant

 

Samedi 17 mai

 

11h – Maternité suisse

« J’ai dessiné la guerre. Le regard de Françoise et Alfred Brauner »

En collaboration avec l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand

 

 

12h30 – Musée Terrus

« Josep Narro. Dessiner la vérité nue des camps du Roussillon [1939-1941] »

Exposition coproduite avec le Museu Memorial de l’Exili de La Jonquera  et avec le soutien du Conseil Général des Pyrénées-Orientales

La matinée s’achèvera autour d’un pot amical.

 

Sylvaine CANDILLE

Directrice du Pôle Culture

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04 68 37 42 82

06 79 21 46 02

 

 

 

***L'association culturelle Les Rendez-Vous de Saint Estève, en partenariat avec le Théâtre de l’Étang, vous propose le le neuvième C.E.P.S. de la saison 2013-2014 (Cours d’Éducation Populaire Stéphanois) :

Histoire de l’informatique, conférence donnée par Yvan BASSOU, le Vendredi 16 mai, à 18h30, au Théâtre de l'Étang, à Saint Estève.

 

Quelle discipline achève sa préhistoire dans les années 1950 ? L’informatique.

Oubliés Pascal et sa célèbre machine à calculer et Jacquard et son métier à tisser ? Non, leurs inventions sont les ancêtres de nos ordinateurs.

Quelles sciences ont guidé le développement de cette technique ? L’automatisme, l’électronique et l’algorithmique.

Quelles grandes figures ont jalonné l’histoire de l’informatique ? Au XIX° siècle, Charles Babbage, Ada Lovelace, Herman Hollerith, au XX° siècle, Allan Turing, Howard Aiken, Johannes Von Neumann, plus près de nous Donald Knuth, Bill Gates, Steve Jobs, Mark Zukerberg.

L’informatique a su profiter de tous les progrès techniques pour être omniprésente dans la vie quotidienne. Il est donc logique que nous en connaissions l’histoire.

 

Yvan Bassou, professeur agrégé de mathématiques, ancien directeur du CAFEIP (Centre Académique de formation des enseignants à l’informatique pédagogique de Picardie), directeur honoraire du CDDP des PO, membre des Rendez-Vous.

Entrée libre dans la mesure des places disponibles

 

Le prochain C.E.P.S. :

Vendredi 6 juin : Les puits à glace par Thérèse Tarrieus

 

Pour tous renseignements : 06 32 47 21 14 ou rdvse@rdvse.fr

 

Les Rendez-Vous de Saint-Estève, créateurs d'évènements culturels

 

****  DALI à CANET :  En avril et mai 2013, nous avions organisé en partenariat avec le FILAF un cycle de conférences sur lart qui a remporté un grand succès auprès du public, aussi nous avons le plaisir de vous annoncer la deuxième édition de ce cycle avec trois nouvelles conférences au Théâtre Jean Piat.

 

Vendredi 16 mai à 18h : « Salvador Dali, génie tragi-comique » de Stéphan et François Lévy-Kuentz

 

 

Virginia FERNANDEZ

Service Culturel

Mairie de Canet-en-Roussillon

Hôtel de Ville - Place Saint Jacques

66140 Canet-en-Roussillon

Tel: 04 68 86 72 63 / Fax: 04 68 86 72 52

Site: www.mairie-canet-en-roussillon.fr

 

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 10:59

street-art.jpg  oeuvre anonyme dans la rue (street art ?) - photo JPBonnel -

 

Le musée, ça conserve, ça protège, c'est son rôle, son devoir ! Tableaux, statues, le patrimoine, l'histoire de la peinture et des arts. On ne peut pas les supprimer, sont essentiels. Quand il pleut, c'est bien un musée, mais avec le soleil, c'est en plein air que l'art doit se voir, se pratiquer...

 

Les musées attirent les foules quand ils exposent des célébrités (Matisse, Picasso, Van Gogh ...) ou des mouvements colorés, décoratifs, faciles à saisir : impressionnisme, fauvisme... 

Les grands événements exigent de l'argent ou des réserves locales : le Mamoc de Céret a exploité ses artistes venus sur place; la nouvelle conservatrice s'ouvre à la nouveauté (Barcelo...) grâce à l'appui du Conseil régional; Montpellier a brillé grâce à Courbet; Sérignan est illuminé par Buren; à Sète, le Miam a trouvé son créneau et expose des excréments pas excessifs...

 

A Perpignan, les musées sont fermés; par chance le CAC a été ouvert, pour célébrer W.Benjamin, bientôt, à l'automne la valise de Capa, puis Arago/Agora, si cher à Jordi Vidal...

 On pourrait, à peu de frais, installer les valises de trois personnages proches de la Catalogne : les valises perdues de WB (dans la nuit de Port-Bou); Machado (dans la nuit de Cerbère); Capa (ses photos retrouvés)...

 

Tout ça, c'est bien beau, mais attendons la nuit européenne des musées, occasion de montrer la vacuité, l'absence de sens, de sentiment et de sensation de la plupart des "installations" des jeunes de nos écoles des beaux et lézards...

 

Il faut d'ailleurs installer dans la rue, les quartiers oubliés car les musées ennuient les jeunes (pas initiés, ignorants, absence d'animation, de pédagogie : il faut rendre le musée lisible; initier et conduire les visiteurs...faire dialoguer les oeuvres du passé avec l'artiste du présent..." J.Luc Martinez, directeur du Louvre - Le Monde du 8 mai 2014).

 

Comme pour le livre, il faut aller au-devant du public; ne pas attendre qu'il vienne dans une librairie ou un musée; même avec une politique de gratuité : c'est toujours les mêmes (intellos, bobos, enseignants, classes moyennes, qui viennent) : le séduire, l'attirer par des interactions entre les arts, par la présence d'un artiste sur place, par le happening d'un oeuvre en direct, par des lectures et analyses, par des parcours à la fois érudits et ludiques...

 

On peut consommer l'art par les médias (Arte, DVD...) mais le musée conserve son aura : un lieu plein de surprises et de fantasmagories. Pour le reste, musique, ciné, la consommation a changé : les biens culturels sont mangés sur le net grâce à des abonnements ou à des cartes prépayées permettant d'accéder au "streaming", au flux incessant de données. 

 

Avec ce nouveau modèle économique, le consommateur n'accumule plus de produits culturels (CD, DV, livres...) mais accède à un réservoir énorme.... La civilisation passe de la logique de stocks (avoir chez soi une médiathèque envahissante) à la logique de flux...

 

Pour que le musée et la nuit des musées ne nous ennuient pas, il faut sortir de la conception du "musée-stock", de la notion de propriété patrimoniale, pour aller vers la logique d'accès : que le plus grand nombre accède au monde de l'art. 

 

On en parle depuis des siècles !

 

Qui le fera ..?

 

J.P.Bonnel

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 00:24

 

images-copie-28.jpeg   Marie Émile Maurice Leblanc est un écrivain français né le11 décembre 1864, à Rouen, et mort le 6 novembre 1941, à Perpignan. Auteur de nombreux romans policiers et d’aventures, il est le créateur du célèbre personnage d’Arsène Lupin, le gentleman-cambrioleur.

On peut visiter la maison de Maurice Leblanc, à Étretat, en Seine-Maritime. L’aiguille d’Étretat forme d’ailleurs l’un des décors du roman L'Aiguille creuse.

 

 

Maurice Leblanc est mort (et enterré) à Perpignan 

 

La ville devrait fêter le 150 ème anniversaire de la naissance de l'auteur d'Arsène Lupin.

 

 

Cet auteur populaire ne fit reconnu comme un écrivain de qualité que dans les années 1930; ses livres s'inspirent des décors normands de sa jeunesse : il est né à Rouen le 11 décembre 1864. Ainsi, les ruines de l'abbaye de Jumièges lui ont donné le goût de l'art et d'un passé légendaire, que le lecteur retrouve dans les aventures d'Arsène...

 

Maurice Leblanc fut le type du dandy de fin de siècle et du début du XX° : une galerie expose, en 1893, des portraits du jeune écrivain, ganté de blanc, une fleur rouge à la boutonnière. 

 

Ce séducteur est un passionné de femmes et d'automobiles; le modernisme est présent dans son oeuvre, par exemple dans le roman L'Aiguille creuse, où un téléphone relie le gentleman cambrioleur aux quatre coins du monde; ancêtre de James Bond, ce héros étonnant est sauvé par un sous-marin, qui lui permet d'échapper à l'inspecteur Ganimard...(On pense à l'éditeur parisien Gallimard, mais M.Leblanc était publié par l'éditeur Lafitte.

 

            Enterré au cimetière Saint-Martin, à Perpignan (décès le 6 novembre 1941- son corps aurait ensuite été mise en terre au Montparnasse, à Paris)), Maurice Leblanc a créé un vrai type de personnage ; la  "marque sans doute de quelque souffle intérieur...", disait-il.

 

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 10:20

images-copie-27.jpeg  Les Arlequins en pleurs, démontés, rétrogrédés ! Le Roussillon pleure, crie, se lamente : "Mon USAP ! Mon Canigou, Notre montagne sacrée ! Notre pays catalan ! Nos symboles ! L'église de Collioure ! "

Tout fout le camp...

 

Le sport, exemple pour les jeunes, imprégné des valeurs de solidarité, d'honnêteté, de citoyenneté !!!

 

Et la violence, les contrats faramineux, le dopage ou la drogue..? C'est pas sérieux !

 

NOTRE Usap ! Mais le président incapable, les entraineurs, les joueurs qui partent, on n'avait pas vu avant...

 

Non, faut de l'argent, encore et toujours : professionnels du rugby, engageons de beauxmercenaires des terres australes ! Pour quoi ? Le sport spectacle ? Etre les meileurs pour que la ville brille de mille feux... ?

 

 Hélas, le déclin...

 

Usap et catalanité ! Mais les Catalans, ils sont où ? Et Mas s'en est allé ? L'équipe, ciment d'un peuple ? D'un Etat catalan ? Et après ces bons mots, ils votent, pas pour des candidats catalans inexistants, mais pour des candidats d'extrême inspiration ...

 

Le catalanisme se résume, me semble-t-il, à une réunion familiale ou amicale autour d'une cargolade, d'une sardane (et encore ! là, c'est plus difficile !) et dans un stage, Camp Nou ou autre...

 

Et on y ajoute la chanson de L. LLach, l''Estaca, comme hymne révolutionnaire : la révolte récupérée...

 

Larmes sportives, paradis du rugby...Tiens, c'est pas le XV qui, sous la Collaboration, interdit le rugby à XIII..? Bel exemple d'esprit sportif et républicain, vraiment...

 

 

Cette tragi-comédie est affligeante... Ces larmes de croquos me font rire ! Aux larmes, citoyens, et bien sûr, récupérons tous ces jeunes sportifs "morts au champ d'honneur", en 14/A5, Aimé...les autres...l morts dans les tranchées de la Grande Boucherie ... e vrai peuple d'amateurs courageux, récupérés eux aussi...

 

Le maire Pujol avait donc eu raison de ne pas construire un grand stade à Perpignan. Il vaut mieux encourager le basket !!!

 

L'USAP rétrogradée, humiliée, alarmée. A perdu la bataille, mais pas la guerre !

 

Perpignan, avant toute chose devrait gagner la guerre de l'économie, du chômage, du social, d'un peuple enfin réconcilié !!

 

JPB.

 

 

**** Voici ce que j'écrivais encore  dans mon blog, il y a quelques bons mois :

 

 

 

 

*    A l'occasion du match de l'Usap contre Toulon, à Barcelone, au stade de Montjuïc, on a crié à la catalanité retrouvée, à l'indépendance, presque de la Catalogne réunie... Le quotidien de Perpignan consacre sa Une et de nombreuses pages à l'événement sportif; France bleue Roussillon est sur place, en direct, un site bien informé "La Clau" prétend même qu'avec cette rencontre rugbystique, le traité des Pyrénées a été supprimé... Où va-t-on aller dans la démesure ? 

   Comme l'écrivain catalan Alex Renyé, je ne m'intéresse pas beaucoup au sport spectacle (télé ou dans la foule des stades); le sport, je préfère le pratiquer... Renyé ne voit pas dans cette rencontre un événement politique. Moi non plus : il s'agit d'un moment de fête, de retrouvailles (comme lors de la coupe du monde des Bleus du foot), de défoulement : catharsis et ubris, sans doute, de la part de jeunes, qui aiment "l'auberge espagnole" barcelonaise, sans être catalanistes, ou de personnes plus âgées, plus motivées et parlant (ou comprenant) encore le catalan.

   Cependant, une fois de retour dans le 66, les "Catalans" se dispersent, ne revendiquent plus rien et oublient la nostalgie d'un Etat catalan ressuscité, car ils sont bien intégrés à la nation française.

   L'article de Jordi Pere Cerda, dans L'Indépendant du samedi 8 avril, est décevant, hélas : j'ai un grand respect pour l'écrivain, le poète, l'ancien Résistant... Après un long historique, il conclut en écrivant : "Et maintenant tous au stade de Montjuïc puisque le sport est désormais le miroir de notre société." En effet, le sport occupe une grande place dans les médias, le foot est roi car il brasse beaucoup d'argent. Le rugby se professionnalise et va se confronter à ces probèmes qui gangrènent la société : violence, argent sale, racisme, loi des caïds, prostitution, dopage (voir les affaire récentes concernant les "anciens" de l'équipe de France de foot, se rappeler des scandales du tour de France cycliste...) Miroir, c'est vrai, mais peut-on accepter ces dérives..?

   Si c'est pour faire la fête à Barcelone, oui, mais croire que la catalanité va s'ancrer de cette manière, dans une ville, où le rugby est peu pratiquée, et qui était occupée à un vote-sondage sur la question de l'indépendance, c'est être bien naïf...

 

** USAP à Montjuich : 

 

   La voiture permet l'écoute, de paroles, de fadaises, de musique, de bruits, à vous de savoir choisir ! Pour ne pas perdre mon temps, à travers le paysage sauvage et sinistre de l'Aude qui va de Quillan au Capcir, en passant par Axat et les villages fantomatiques  d'Escouloubres et Quérigut, j'ai mis "France-culture". L'émission de Finkielkraut fut particulièrement nulle ce 9 avril: il invita Dominique Fernandez pour parler de Kundera ! Il vaut mieux qu'il cause baroque, Italie ou Russie ! C'est vrai que le "grand" critique a besoin de parler de tout, mais pour dire que La Pléiade est une collection qui cumule inutilement notes et préfaces, pas la peine de venir à France-cu...  Or, pour Kundera, muséifié déjà dans la prestigieuse édition de Gallimard ("Oeuvre définitive", est-il écrit ! Et on voulait y mettre Bazin ! On y a enterré Vian, récemment ! Et pourquoi pas Sollers, ou Catherine Angot, tant qu'on y est : Gallimard remercie ses auteurs à rentes en les momifiant dans le papier bible; or il fallait conserver cet outil éditorial (préface d'Aragon...) pour expliquer l'exil de Kundera, le contexte politique, les noms propres... Si on veut le texte seul pour le seul plaisir de la lecture, prenez un livre de poche ou la "collection banche" !

   Ainsi, j'ai peu appris avec Finkielkraut, invitant moins les philosophes que les sociologues des quartiers, de la jeunesse ou des sectes communautaires, et les écrivains à fort tirage et beau ramage médiatique... Enfin, me voici aux Angles ! Ciel et soleil accrochés au faîte du roc d'Aude. Mais la neige ! La déferlante, la fonderie, une neige à vous dégoûter de skier ! J'aime le ski de printemps au petit matin friquet, mais là, ce fut le ski d'été, la crue, la Bérézina... Mais je ne regrette pas d'être venu et d'être allé me bronzer au refuge où des centaines de Catalans (ils avaient fui Barcelone envahis par les "Catalans" d'ici, du "Nord" qu'on dit..!) festoyaient dans la salle hors sac et sur les terrasses : apéros, grillades, tapas et voix fortes...

   Vous avez compris que je ne suis pas allé dépenser à Montjuich quelques centaines d'euros pour crier avec 32000 bobos et bonobos qui croient former un peuple autour d'une équipe de rugby : une fois rentrés au bercail, les différences sociales, linguistiques...reprennent. On en reparlera...

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 00:48

image.php   Serge Fauchier  à Céret 

 

Ce n'est pas l'évident, le dit, le figuré, le visible, qui semblent intéresser l'artiste Serge Fauchier. Sa quête se concentre plutôt vers l'occulte, le non-dit, le non-montré; ce qu'exprime le blanc de la toile est plus fécond que l'imagerie exposée ou racontée dans le tableau. D'ailleurs, il faut aller en-dehors des limites du cadre et suggérer le hors-champ : comme au cinéma, le passionnant est sans doute ce qui est extérieur à la pellicule, ce "champ dehors" que le monteur, le réalisateur et le cinéaste n'ont pas voulu montrer aux spectateurs...Pourquoi ? Quelle est la démarche, quel est le projet à l'origine de cette mise en scène..? Le résultat, grâce à la couleur et au motif du mouvement, est alléchant, mais l'approfondissement de l'oeuvre ne nous mène peut-être pas à la joie de vivre matissienne... Au décorum, S Fauchier préfère la sobriété.

 

 

Dans sa célébration de la couleur, l'actuel directeur des Beaux-Arts/Heart de Perpignan, se penche sur le blanc, ou sur l'espace vierge de la toile ou du support non investi par l'acrylique. Ces espaces candides mettent en évidence le reste de la toile, instaurent un rythme à l'intérieur de la scène créée. Le blanc disperse les motifs (l'ondulation, le flux, la vague) ou les rassemble : l'univers se dilate-t-il ou se contracte-t-il..? Le mystère est complet, et l'angoisse aussi. 

 

 

Dans cette surface creusée de blancs, nos regards se penchent, nos interrogations s'engouffrent. Serge Fauchier prétend que "les blancs sont des réceptacles et réservoirs ... de la multitude des moments éludés ou porteurs de parts obscures." En tout cas des signes serpentent, semblant sortir de la surface, pour faire sens ou nous dire de ressentir, de réfléchir, au lieu de subir.

 

Le blanc,donc, de façon paradoxale, nous inquiète et nous plonge dans de noires méditations. Il n'est plus, ici, le contraire du noir, et Fauchier est un Soulages habillé d'aube de premier communiant ! Mais l'art autentique n'est-il pas destiné à nos interroger, à nos analyser, et non pas à nous "distraire" en cette période pascale, ou autre..?

 

 

* Galerie Odile OMS, rue du commerce, à Céret, galerie ouverte du mardi au samedi, de 11h à 12h30 et de 14 h à 19h.  www.odileoms.com

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 11:08

WBenjamin   hanna-et-wb.jpg  Hannah Fiedrich, comédienne

 

 

 

Le prochain Dimanche du Vauban sera le 11 Mai à 17h30,

avec un "Hommage à Walter Benjamin"

par Hannah Friedrich et Jean-Pierre Bonnel (auteur du "Chemin ultime de W.Benjamin).

 

Walter Benjamin est le philosophe juif allemand qui, avec l'avènement du fascisme hitlérien, dut quitter son pays et passer la plus grande partie de sa vie en exil. A Paris, d'abord, où il est aidé par l'écrivain Georges Bataille et le philosophe Adorno. 

 

  A Marseille, ensuite, où il essaie, en vain, de s'embarquer pour l'Amérique, en compagnie de nombreux artistes et intellectuels juifs ; il tentera de fuir, à pied, en traversant le massif de l'Albère, à partir de Banyuls, pour gagner l'Espagne, le Portugal, puis les Etats-Unis.

 

 Mais la police espagnole le refoule : Benjamin se suicide dans une auberge de Port-Bou, le 26 septembre 1940.

 

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Cette œuvre est une lecture scénarisée construite daprès des extraits de textes de Walter Benjamin ( « Le petit bossu » de « Lenfance berlinoise ») et dautres provenant du livre de Jean Pierre Bonnel, écrivain de Perpignan : «Lultime chemin de Walter Benjamin » (14 euros, chez l'auteur : 0631690932 ou Maisons de la presse de Collioure et Cerbère)).

 

Lactrice, dans un jeu de scène avec des effets de lumière et laccompagnement de la musique, interprète à la fois les interrogations et la douleur de Walter Benjamin face à ses derniers jours au travers du livre de Jean-Pierre Bonnel et aussi des souvenirs du philosophe et de son enfance à Berlin.

 

Un troisième fil est constitué par les infos que donne Jean-Pierre Bonnel sur les circonstances et le cadre dans lequel a vécu et mourut Walter Benjamin.

Les trois fils de ce montage d'extraits de textes sont interprétés par la comédienne en divers endroits de la scène.

 

Certaines courtes parties sont dites en Allemand afin de donner une profondeur au texte et de faire entendre la langue maternel de Walter Benjamin.

Cette lecture scénarisée donne avec des différentes couleurs dinterprétation, la musique et un jeu de lumière, la possibilité aux spectateurs de découvrir Walter Benjamin dans le temps du fasciste et de la guerre. 

 

Durée : 1h environ - entrée 8 et 4 euros.

 

 

**hôtel du Belvédère du rayon vert - Cerbère

samedi 17 mai 2014 - de 10h45 à 16h15

Cinéma sur la frontière / Sur les traces de Walter Benjamin
entrée libre et gratuite sur réservation (dans la limite des places disponibles)  : contact@cinemaginaire.org
€ 10h45 avec Franck Ancel : café des images, escapade à Port Bou, lectures d’Enrique Villa Matas
€ 13h15 buffet  
€ 14h30 avec Manuel Cusso Ferrer : film L’ultima frontera – la dernière frontière de Walter Benjamin
Plus d’infos : <http://www.cinemaginaire.org/www/php/news_det.php?id=240>

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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 14:40

UMPLO Antennes sur le château d'eau de Villeneuve de La Raho :  Animation communale les 13 et 14 mai 2014 :les opérateurs vont renforcer les antennes !!! Dès 8 h, mardi 13 mai, entrée libre, animation assurée près du château d'eau !!!!


L’eau ? ou mais

Après avoir annoncé leur départ pour le 27 mars

Surprise, quelques antennes supplémentaires vont « tenir compagnie » aux 25 toujours présentes.

Le tract ci-joint vous invite à venir assister à ce « beau » spectacle.

 

 

 

L’eau ? ou mais

Après avoir annoncé leur départ pour le 27 mars

Surprise, quelques antennes supplémentaires vont « tenir compagnie » aux 25 toujours présentes.

Le tract ci-joint vous invite à venir assister à ce « beau » spectacle.

Paulette Palau  

 

*** SAMEDI à Elne :

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J’ai le plaisir de vous communiquer, ci-joint, l’invitation et les dossiers de présentation des deux expositions qui seront présentées prochainement à Elne

Deux propositions où art et histoire fusionnent pour devenir un outil de prise de conscience précieux au service de la défense des droits humains et des droits de l’enfant

 

Samedi 17 mai

11h – Maternité suisse

« J’ai dessiné la guerre. Le regard de Françoise et Alfred Brauner »

En collaboration avec l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand

 

 

12h30 – Musée Terrus

« Josep Narro. Dessiner la vérité nue des camps du Roussillon [1939-1941] »

Exposition coproduite avec le Museu Memorial de l’Exili de La Jonquera  et avec le soutien du Conseil Général des Pyrénées-Orientales

 

La matinée s’achèvera autour d’un pot amical.

Au plaisir de vous retrouver à cette occasion

Sylvaine CANDILLE

Directrice du Pôle Culture

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04 68 37 42 82

06 79 21 46 02

 

 

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  • professeur de lettres, écrivain, j'ai publié plusieurs livres dans la région Languedoc-Roussillon, sur la Catalogne, Matisse, Machado, Walter Benjamin (éditions Balzac, Cap Béar, Presses littéraires, Presses du Languedoc...
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