Sorgue, Tackels, Plenel et autres traitres d' intellos dits de gauche (ou d'extrême...)
Le philosophe W. Benjamin a beaucoup souffert de la "trahison des clercs", que ce soit à l'université (sa thèse est restée incomprise, il n'a pu exercer en faculté), avec ses amis (Brecht, Adorno) qui se sont opposés à ses Thèses sur l'histoire (compromis entre marxisme et inspiration religieuse juive). A Paris, en outre, en exil, il reçut peu d'aide des intellectuels français... Ses écrits et ses lettres regorgent de remarques amères sur le comportement des intellos de son temps...
Après lui, le cortège des penseurs qui se sont fourvoyés est ininterrompu (je ne parle pas ici des collabos et pronazis), de Sartre devenant maoïste, aux Sollers, Foucault, Chatellet adorant Mao et faisant le voyage en Chine pour apprécier la "révolution culturelle", en fait vaste entreprise criminelle...
En ce qui me concerne, après avoir créé l'association WB en 2015, puis le prix européen W.Benjamin (lauréats reçus à Banyuls, dont B. Tackels, biographe), ces universitaires parisiens se sont emparés du prix WB et créé une association concurrente. Prétexte : une phrase confuse de ma part et la nomination d'André Bonet au jury (un an avant qu'il ne se rapproche de L. Aliot, ce que je n'avais jamais envisagé !)
Ces intellos dits de gauche, appartenant à la ligue des droits de l'homme, comme ce cinéaste Cabane (1)qui envisage de projeter son film sur WB à Cerbère...), comme ce journaliste pigiste au Monde (2) ou comme Mme M. Claus "docteur en allemand" qui, depuis Banyuls, sape notre association et utilise le fichier pour dire du mal de moi., de Bonet..
Cependant, sans vergogne, elle fait les yeux doux à André Bonet pour que son fils musicien, Gaspard Claus, ait des concerts à Perpignan (à La Chapelle Ste Dominique, lors de la semaine sainte, avec discours introductif louangeur d'A. Bonet et à l'Archipel, dans le programme 2022/23 !!! )
Cette association de dissidents s'associe à Edwy Plenel, le journaliste aux mille scandales (3), qui récupère à présent la mémoire de WB (sa conf à Céret, sa préface au livre réédité de Lisa Fittko, ses méditations solitaires sur le chemin WB...)
- - -
(1) Ce cinéaste me contacte; je lui donne mon livre sur WB et lui conseille d'aller voir Roger Rull à Banyuls. Celui-ci nous reçoit et le projet est lancé... On lui dit de contacter Madeleine Claus... Nous discutons tous les quatre de l'oeuvre de WB (enregistrement à la radio catalane de Perpignan "radio Arrels"). Puis rien, si ce n'est un mail, sans un mot, annonçant le film et le générique : mon nom ne figure pas parmi les intervenants. C'est bien sûr une censure odieuse due à Tackels, l'ingrat qui a pourtant été bien reçu à Banyuls et à Plenel, dont les expressions de haine sont célèbres...
- - -
Pierre SORGUE
(2) Ce journaliste me contacte pour que je le conduise à Portbou par le chemin WB. Je lui donne mon livre, je passe la journée avec lui et sa petite amie. Il me paiera une bouteille d'eau... Mon nom n'apparaît pas dans son article, mais celui de mon amie Pilar Parcerisas que je lui ai présentée à notre arrivée à Port-Bou.
Il s'est qualifié de gauche : ses qualifications, ce sont l'ingratitude et la traitrise !!!
extrait de son reportage :
https://www.lemonde.fr/m-styles/article/2021/09/10/sur-les-traces-de-walter-benjamin_6094223_4497319.html
Sur les traces de Walter Benjamin
Par Pierre Sorgue (Banyuls, Pyrénées-Orientales - envoyé spécial)Publié le 10 septembre 2021 à 18h00, modifié le 07 avril 2022 à 17h05
Fuyant le nazisme, l’intellectuel juif allemand emprunta ce sentier qui traverse la frontière franco-espagnole, de Banyuls jusqu’à Port-Bou, où il se donna la mort. Aujourd’hui, ce chemin porte son nom. Une piste de terre qui grimpe entre la mer, le maquis et les vignes accrochées à la pente.
Terriblement paradoxal. C’est ce que l’on se dit face à la splendeur du panorama en ce matin de grand soleil : derrière les fleurs jaunes scintillantes des genêts, un bouquet de pins maritimes se détache dans l’azur, au-dessus du bleu intense de la mer. Les nuances de vert des bosquets et vignobles coulent en patchwork jusqu’à Banyuls tout en bas, touches impressionnistes de rose et de blanc posées dans le contour du rivage.
- - -
(3 PLENEL
"Plenel condamne à mort une deuxième fois 'Charlie Hebdo'": l'édito choc de Riss pour répondre au patron de Mediapart
"Plenel condamne à mort une deuxième fois Charlie Hebdo." L'édito de l'hebdomadaire satirique, à paraître mercredi 15 novembre, se veut grave. Ecrit par le directeur de la publication Riss, il est une réponse aux propos d'Edwy Plenel la semaine passée.
"La 'Une' de Charlie Hebdo fait partie d'une campagne plus générale (...) de guerre aux musulmans", avait estimé le directeur de publication de Mediapart sur franceinfo, en référence à la couverture de l'hebdomadaire. Il s'agissait d'une caricature d'Edwy Plenel lui reprochant son silence au sujet des accusations de viol contre l'islamologue Tariq Ramadan. Le dessin était accompagné du titre "Affaire Ramadan, Mediapart révèle : 'On ne savait pas'".
Dans son édito, Charlie Hebdo rappelle qu'il "n'a envie de faire la guerre à personne", avant de s'en prendre avec virulence à Edwy Plenel. "Dans le logiciel de Plenel, critique et satire sont métamorphosées en actes de guerre", reproche le dessinateur Riss, avant d'annoncer que le journal satirique ne pardonnerait pas ses propos au patron de Mediapart.
Cette phrase n'est plus une opinion, c'est un appel au meurtre.
Riss
Charlie Hebdo
"Nous avons des choses plus importantes à faire que d'entretenir cette folie"
"Cette phrase, qui désigne Charlie Hebdo comme un agresseur supposé des musulmans, adoube ceux qui demain voudront finir le boulot des frères Kouachi", continue le directeur de publication de l'hebdomadaire satirique."Si demain on nous liquide tous, si demain nous ne sommes plus là, espérons qu'il subsistera quelques courageux qui demanderont justice contre ceux qui nous auront frappés, mais aussi contre les esprits qui les auront armés." Le texte a provoqué de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, comme le député PS de l'Ardèche Olivier Dussopt qui a qualifié cet édito de "glaçant".
Après la une de Charlie Hebdo de la semaine dernière, 130 personnalités avaient signé une tribune en soutien à Mediapart. "Tout doit avoir le droit de se dire, de s'écrire et de se représenter, et cela doit être dit et répété, particulièrement pour Charlie Hebdo", affirment les signataires de la tribune,en ajoutant : "Nous avons aussi le droit d'écrire que la une de Charlie (...) est diffamatoire, et haineuse." Joint par franceinfo, Edwy Plenel n'a pas souhaité réagir à l'éditorial de Charlie Hebdo. "Nous n'attaquons personne. Nous avons des choses plus importantes à faire que d'entretenir cette folie", a-t-il simplement confié.
Il a ajouté plus tard sur twitter que ses propos étaient tronqués. Voici donc l'intégralité de la phrase prononcée sur franceinfo : "La 'Une' de Charlie Hebdo fait partie d'une campagne plus générale que l'actuelle direction de Charlie Hebdo épouse. Monsieur Valls et d'autres, parmi lesquels ceux qui suivent Monsieur Valls, une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire une extrême droite identitaire, trouve n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans."
A LIRE AUSSI
- - -
"Plenel condamne à mort une deuxième fois Charlie Hebdo." L'édito de l'hebdomadaire satirique, à paraître mercredi 15 novembre, se veut grave. Ecrit par le directeur de la publication Riss, il est une réponse aux propos d'Edwy Plenel la semaine passée.
"La 'Une' de Charlie Hebdo fait partie d'une campagne plus générale (...) de guerre aux musulmans", avait estimé le directeur de publication de Mediapart sur franceinfo, en référence à la couverture de l'hebdomadaire. Il s'agissait d'une caricature d'Edwy Plenel lui reprochant son silence au sujet des accusations de viol contre l'islamologue Tariq Ramadan. Le dessin était accompagné du titre "Affaire Ramadan, Mediapart révèle : 'On ne savait pas'".
Dans son édito, Charlie Hebdo rappelle qu'il "n'a envie de faire la guerre à personne", avant de s'en prendre avec virulence à Edwy Plenel. "Dans le logiciel de Plenel, critique et satire sont métamorphosées en actes de guerre", reproche le dessinateur Riss, avant d'annoncer que le journal satirique ne pardonnerait pas ses propos au patron de Mediapart.
Cette phrase n'est plus une opinion, c'est un appel au meurtre.
Riss
Charlie Hebdo
"Nous avons des choses plus importantes à faire que d'entretenir cette folie"
"Cette phrase, qui désigne Charlie Hebdo comme un agresseur supposé des musulmans, adoube ceux qui demain voudront finir le boulot des frères Kouachi", continue le directeur de publication de l'hebdomadaire satirique."Si demain on nous liquide tous, si demain nous ne sommes plus là, espérons qu'il subsistera quelques courageux qui demanderont justice contre ceux qui nous auront frappés, mais aussi contre les esprits qui les auront armés." Le texte a provoqué de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, comme le député PS de l'Ardèche Olivier Dussopt qui a qualifié cet édito de "glaçant".
Après la une de Charlie Hebdo de la semaine dernière, 130 personnalités avaient signé une tribune en soutien à Mediapart. "Tout doit avoir le droit de se dire, de s'écrire et de se représenter, et cela doit être dit et répété, particulièrement pour Charlie Hebdo", affirment les signataires de la tribune,en ajoutant : "Nous avons aussi le droit d'écrire que la une de Charlie (...) est diffamatoire, et haineuse." Joint par franceinfo, Edwy Plenel n'a pas souhaité réagir à l'éditorial de Charlie Hebdo. "Nous n'attaquons personne. Nous avons des choses plus importantes à faire que d'entretenir cette folie", a-t-il simplement confié.
Il a ajouté plus tard sur twitter que ses propos étaient tronqués. Voici donc l'intégralité de la phrase prononcée sur franceinfo : "La 'Une' de Charlie Hebdo fait partie d'une campagne plus générale que l'actuelle direction de Charlie Hebdo épouse. Monsieur Valls et d'autres, parmi lesquels ceux qui suivent Monsieur Valls, une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire une extrême droite identitaire, trouve n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans."
A LIRE AUSSI