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Nostalgie - Revue Le Hangar éphémère
je viens de retrouver dans ma bibliothèque une revue littéraire publiée en 1986 (spécial Perpignan) non référencée dans la fiche ci-dessous. A cette époque, le département avait une activité intellectuelle importante à travers de nombreuses publications, disparues aujourd'hui, au profit de magazines touristiques, dévoués à la photo, à la publicité et au commerce...
Je n'étais pas à l'époque dans ma ville natale car nommé prof de lettres en Lorraine, puis dans les Hautes-Alpes. Après l'expérience de la revue "Le cherche-midi" dans les années 70 avec Jacques Gautrand, je publierai à mon retour, chez Balzac éditeur, la "biografiction" sur Matisse à Collioure.
Cette revue consacrée à Perpinya recèle les grands aînés tels Pere Cerda, Pere Verdaguer, Paul Pugnaud, Gérard Salgas, Josep Tolza, Joan Tocabens, L. Codel, A. Bausil, A. Lanoux... Avec, aussi, les "jeunes" talentueux de l'époque : J. Saïs, C. Massé, Pierre Bosc, G. Jacquet,... et Jean IGLESIS, que mes lecteurs connaissent et à qui je viens de parler de ces textes, de cette revue qui a voulu faire le tour des écrivains et créateurs d'ici, avec les notes de lecture de Fernand MENIER !
(publié chez Michel Fricker à St-Estève, février 1986 - 50 francs -)
JPB
Le Hangar Éphémère (1981-1985)
- Le Hangar Éphémère (1981-1985)
« Revue semestrielle de création »
Perpignan (12, rue Oliva, 66000). (240x160), br. /
Dir. (Ephéméridirecteur) : Marcel Hosinger
6 numéros en 6 livraisons du n° 1 (1981) au n° 6 (janvier 1985)
Part. : Jean-Claude Allais, Claribel Alegria, Cristina Barroca, Yvette Barre-Barteaux, U. Becker, A. Bissiere, Jimmy Boyle, Jim Brown, G. Caseblanque, Gérard Cathala, Ian Crichton Smith, Alain Dubrieu, M. Escola, P. Figueres, Gérard Fons, J. Font-Folla, O Freixeneda, Balbino Giner, Alasdair Gray, N. Haase, Damia Huguet, John Keats, Nathalie Bittoun-Debruyne, P. Gifreu, Pere Gomila, Andrew Greig, Carles Hac i Mor, Alan Hayton, M. Hosinger, S. Klefinghaus, U. Kolbe, Tom Leonard, Liz Lochead, Norman Mac Caig, Georges Mackay Brown, James Matthews, James Meek, S. Meneebhi, L. Monestier, A. Montagne, J. Morer, Donald S. Murray, H. Oms, P. Perez, Tom Pow, Kathleen Raine, L. Rathenow, C. Rayon, G. Salgas, P. de Miquel Sargatal, P. Schneider, Robert Steel Richard, J. Tocabens, K.S. Walker, Kenneth White, Fred Whitehead, G. Young,
Ill. : Joseph Castell, Mario Chichorro, Bernard Combes, John Goudie-Lynch, Patrick Loste, Joseph Maureso, John R. Mac William, Axel Schoduma, …
Bibl. : [ISSN : 0294-2283.
[LCL / Poéthèque] [BnF : 8- Y- 1513]
Athéna, le film de l'émotion, pas de la réflexion
Athéna, de Romain Gavras, film zémmourien ?
Il vient de sortir, le film du fils de Costa-Gavras, sur Netflix ! Il narre l'insurrection des jeunes d'une cité après la mort d'un adolescent, par la police croient-ils, mais on apprendra au dénouement que ces jeunes armés et décidés à tout casser, ont été manipulés par l'extrême-droite...
Les films qui montrent la violence des banlieues dans ces "territoires perdus de la République", selon Zemmour et les militants radicaux identitaires, sont légion : Ja Haine, Ma 6-T, Les Misérables...
Le parc aux lièvres, ce quartier de l'Essonne, renommé grâce à la culture hip-hop, doit être détruit car dépassé, dégradé: les habitants sont partis car la dalle doit être détruite en 2023, mais un collectif pour sa mémoire se réunit chaque année.
C'est là le théâtre des affrontements, théâtre suggérant l'antique, le mythe, par le titre (la déesse Athéna) et les tragédies qui emportent les frères : la mise en scène et les morceaux de bravoure insistent donc surtout sur l'émotion. Cependant, à la vue de ce désastre et de ce groupe de jeunes beurs, comparés à des délinquants armés, on redoute que le film ne fasse le jeu d'un Z. ou d'un Collard (ancien FN/RN) prédisant la guerre civile avec le big remplacement, et une révolution d'"étrangers" détruisant notre belle civilisation...
JPB
Littérature : Prix MARE NOSTRUM - Musée de Gérone : SETEMBRE-EXPO-Cati-Salazar - Cinéma iranien à St-Estève 6/8 octobre
Cinéma iranien à St-Estève 6/8 octobre
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SANTIAGO MATEU I PLA |
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En 2018, la librairie Torcatis avait invité l'association Walter Benjamin a participé à un débat autour du philosophe allemand et et livre de S. Rongier sur Port-BOU. Cet ouvrage très personnel avait d'ailleurs été sélectionné par notre jury (local et parisien) pour le prix européen 2018, finalement décérné à Anne ROCHE...
Nous viendrons rejoindre Sébastien vendredi prochain...19h30/20 h à l'Institut J.Vigo., 1 rue J.Vielledent, face à la caserne, quartier St-Jacques. Perpignan
J.P.Bonnel
Psychose commence à Perpignan !
Psychose à l’Institut Jean Vigo ! La cinémathèque de Perpignan profite de la sortie du dernier essai de Sébastien Rongier pour projeter sur grand écran le classique d’Alfred Hitchcock. L’auteur viendra le 19 décembre pour présenter sa vision de cette œuvre d’exception.
Un film au lien aussi mystérieux que méconnu avec la ville de Perpignan. En effet, le tableau Suzanne et les vieillards de Willem de Meiris, élément clé de Psychose, fut confié au musée Hyacinthe Rigaud par le Louvre en 1952. La peinture sera ensuite dérobée en juillet 1972 et jamais retrouvée.
♦ L’effet Psycho ou l’influence de la mythique scène de la douche d’Hitchcock
Sébastien Rongier s’intéresse aux formes de duplication et aux relations entre les formes artistiques. Il aime écrire sur le cinéma, la littérature, la philosophie ou les arts. Il a déjà publié plusieurs romans et essais et dernièrement, un récit. Membre du comité de rédaction de remue.net, il publie de nombreux articles sur le 7e art et la littérature.
Son dernier essai, Alma a adoré (Psychose en héritage), est consacré au film le plus fou du maître du suspense. Il y explique les conséquences de ce qu’il appelle l’effet Psycho ce qui correspond aux nombreux hommages faits à la scène de la douche. Brian de Palma, Gus van Sant, Francis Ford Coppola, David Fincher, ils ont tous été influencés par la mythique scène de la douche. L’auteur n’hésite pas à écrire à la première personne pour décrire ce que le chef-d’œuvre produit sur lui.
Il livre également plusieurs anecdotes qui démontrent que Psychose est une œuvre multiple et complexe. S’inspirant de Kant et Roland Barthes, Sébastien Rongier viendra livrer sa vision personnelle de cette œuvre à la librairie Torcatis de Perpignan le 19 décembre à 19h30. Une rencontre suivie de la projection de Psychose à l’Institut Jean Vigo.
Dans son essai, Sébastien Rongier propose une analyse de multiples lectures afin de démontrer qu’une œuvre peut être tellement attractive qu’elle ouvre un dialogue infini. À ce propos, Jean-Christophe Ferrari, journaliste à Transfuge, confie : « Est-ce convaincant ? Absolument ! On termine la lecture de Alma a adoré avec la conviction que, par bonheur, nous n’en aurons jamais fini avec Psychose. Hitchcock aurait adoré ! »
♦ Le tableau Suzanne et les vieillards, élément clé de Psychose
Psychose est incontestablement la référence en ce qui concerne les films mettant en scène des psychopathes. L’histoire est assez simple : Marion Crane disparaît alors qu’elle tentait de s’enfuir avec une grosse somme d’argent. Son fiancé, sa sœur ainsi qu’un détective privé partent à sa recherche. Le dernier endroit où elle a été aperçue est un motel tenu par Norman Blates. Mais le scénario est habile, les scènes sont cultes, le décor est impressionnant. Et la musique de Bernard Herrmann participe grandement au suspense. Un incontournable !
En tant que collectionneur et amateur d’art, Hitchcock aimait faire des références picturales dans ses films. Psychose n’échappe pas à la règle. Le tableau Suzanne et les vieillards de Willem de Meiris apparaît même comme un élément clé du film. Il représente un épisode de l’Ancien Testament, dans lequel Suzanne, une jeune femme, prend son bain. Deux vieillards l’observent avant de lui faire des propositions malhonnêtes qu’elle refuse. Elle est alors accusée d’adultère et condamnée à mort.
Dans le film, le tableau se situe dans la chambre de Norman Bates. Il cache un trou creusé dans le mur qui lui permet d’espionner sa future victime, Marion Crane, se déshabillant pour la dernière fois avant de prendre sa douche. C’est donc un écho au tableau de Willem de Meiris qui représente le voyeurisme et la frustration sexuelle. Dans son film Psycho, Gus van Sant remplacera ce tableau parLe Verrou de Fragonard qui fait allusion aux mêmes pulsions sexuelles.
♦ Le mystère du tableau volé au musée Hyacinthe Rigaud résolu par Sébastien Rongier ?
Mais, confié au musée Hyacinthe Rigaud par le Louvre en 1952, Suzanne et les vieillards a été dérobé en juillet 1972… D’après Sébastien Rongier, le coupable pourrait être un cinéphile catalan… C’est le seul tableau qui a été volé ce jour-là. Si les doutes subsistent concernant le coupable, une chose est sûre, le tableau lui, n’a jamais été retrouvé…
François Bon, écrivain, affirme que « Psychose commence à Perpignan ». Il explique que le livre de Sébastien Rongier lui a permis d’en apprendre plus sur l’œuvre d’Hitchcock. Il insiste sur le parallèle assez intéressant entre le vol des 40.000 dollars de Marion Crane et le vol du tableau Suzanne et les vieillards au musée de Perpignan. François Bon évoque un travail de l’après-film, valable pour tous les films de Hitchcock. C’est cette capacité de transposer le film dans le réel.
Sébastien Rongier est un écrivain français1, philosophe2, théoricien du cinéma3, professeur de Culture Audiovisuelle et Artistique en région parisienne.
Sa réflexion porte principalement sur les formes de duplication (entre même et différence) allant de l'ironie, à la figure du fantôme en passant par le remake au cinéma, les questions de relation entre les arts (le cinéma dans l’art contemporain ou la littérature), ou encore la question du readymade chez Duchamp.4
Par ailleurs, il publie régulièrement, via Remue.net8 ou des journaux papier de cinéma des analyses et des essais, et intervient fréquemment lors de conférences et colloques sur des thèmes littéraires, philosophiques et cinématographiques9.
Il a été président de l'association de la revue Remue.net de 2010 à 2014, et directeur de la collection Art, pensée & Cie chez Publie.net jusqu'en 201510.
Il a également publié en septembre 2017 chez Pauvert-Fayard Les désordres du monde. Walter Benjamin à Port-Bou, récit qui retrace les dernières années d’exil en France du philosophe allemand et la relation de l’auteur avec ce philosophe11.
Il participe régulièrement à la programmation et à l’animation des rencontres remue.net proposées à la Maison de la poésie à Paris12.
Barcelona. Una ciudad de película Broché
de Eugeni Osácar Marzal (Auteur, Traduction)
Eugeni Osacar Marzal
turisme culturalturisme cinematogràfic
BARCELONA MOVIE WALKS: DISCOVER BARCELONA IN 20 GREAT MOVIE ROUTES
livre numérique Kobo | Anglais|
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CITADA PER |
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Turismo cultural y apps. Un breve panorama de la situación actual D Imbert-Bouchard Ribera, N Llonch Molina, C Martín Piñol, ... Universitat de Lleida. Departament de Didàctiques Específiques |
2013 |
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La imagen turística de Barcelona a través de las películas internacionales E Osácar Marzal Universidad de La Laguna. Servicio de Publicaciones |
2016 |
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Turismo y cultura. Un binomio de éxito MF Cervantes, EO Marzal Her&Mus. Heritage & Museography, 5-7 |
2009 |
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Literary urban landscape in a sustainable tourism context J Arcos-Pumarola, EO Marzal, N Llonch-Molina Human Geographies 12 (2), 175-189 |
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2018 |
Ciudad educadora y turismo responsable E Osácar Marzal Her&Mus. Heritage and Museography, 2017, núm. 18, p. 146-149 |
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2017 |
Barcelona más allá de Barcelona. La ciudad cinematográfica transformada en otras ciudades CB Balaguer, AC Hernández, CM Cladellas, BT Parodi, EO Marzal ARA: Journal of Tourism Research/Revista de Investigación Turística 6 (2), 9-19 |
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2016 |
Turismo cultural y apps. Un breve panorama de la situación actual DIB Ribera, NL Molina, CM Piñol, EO Marzal Her&Mus. Heritage & Museography, 44-54 |
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2013 |
Ballades culturelles en Catalogne. Jean-Pierre Bonnel EO Marzal Her&Mus. Heritage & Museography, 110-111 |
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2009 |
Velázquez: puesta en valor de un destino turístico a partir de un icono cultural EO Marzal Tour&Her. Tourism & Heritage, 1 [volumen i, número 1], 93
- - - Lectura de tesis doctoral, por Eugeni Osàcar
Título: La imagen turística de Barcelona a través de las películas inernacionales Directores: Dr. Joan Santacana Dra. Nayra Llonch Tribunal: Presidente: Dr. Joaquim Prats Secretario: Dr. Joan Manuel del Pozo Vocal: Dra. Mª Pilar Rivero Doctorando: Eugeni Osàcar Marzal
Eugeni Osàcar hizo la lectura de su tesis doctoral el dia 14 de maig de 2016. La imagen que una persona tiene de un destino es un aspecto clave en el momento de elegir el lugar de vacaciones. Por lo tanto, los organismos responsables de la gestión y la promoción tienen entre sus prioridades estratégicas definir y comunicar una imagen de marca que les permita posicionarse de la mejor manera posible. Además, desde principios del siglo XXI la mayoría de los destinos turísticos urbanos han comprobado la importancia que pueden tener los largometrajes y las series a la hora de potenciar una imagen de marca entre su público potencial.
Así pues, esta investigación se ha basado en profundizar en el triángulo formado por el turismo, el cine y la ciudad, a partir del análisis, la comparación y la valoración de la imagen turística de Barcelona percibida en los mercados emisores y la imagen emitida por 45 películas internacionales rodadas en la ciudad. El marco teórico-conceptual y el estado de la cuestión se han desarrollado en base a los cuatro grandes temas que configuran el objeto de estudio: la imagen turística de los destinos, la relevancia del patrimonio cultural en el desarrollo turístico de un territorio, el binomio turismo y cine como elemento clave de marketing de los destinos turísticos y, finalmente, la relación entre Barcelona y el turismo.
Como principal conclusión de la investigación se puede remarcar que la imagen emitida de Barcelona en las películas internacionales coincide fundamentalmente con la imagen percibida de la ciudad en los mercados turísticos emisores, así como con la estrategia de posicionamiento definida en el Pla Estratègic de Turisme de la Ciutat de Barcelona 2015. Se trata, pues, de la proyección de una imagen básicamente positiva. La mayoría de las películas analizadas presentan una ciudad moderna y abierta, con un alto componente de cultura, patrimonio artístico y arquitectura, así como un espacio urbano romántico y con encanto, generalmente soleado y con la presencia del mar.
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Manif contre Polanski - Roman et Jean Dujardin, incarnant Piquart - Marie-Georges Picquart, ici au moment de l'affaire Dreyfus et des procès Zola, est incarné par Jean Dujardin.
le film "J'accuse", de Polanski :
les femmes accusent un homme au risque d'être accusées d'antisémitisme et de censurer un chef-d'oeuvre
J'accuse, de Polanski, cinéaste accusé de viol : sa vie est un roman et une suite de chefs-d'oeuvre. D'actes sexuels condamnables, sans doute, à la justice de trancher : s'il est coupable, il doit être puni (prison, grosse amende...).
Mais son film, lui, n'est pas coupable : il lutte au contraire contre le racisme, la bêtise militaire, l'antisémitisme...
Bien sûr, l'oeuvre, à voir et revoir, tellement elle est actuelle, parle de Roman : bouc émissaire, comme sa famille et tant de juifs, il montre sa solitude, il parle de lui, figure, comme Dreyfus de la victime de complots...
Mise en scène et acteurs sont excellents. On peut toutefois revenir sur le personnage central de Picquart, chef du contre-espionnage: l'histoire est vue de son point de vue, et d'une volonté d'héroïser ce militaire, qui défend l'innocent parce qu'il a une haute conception du devoir militaire. Sens du devoir mais préjugé à l'égard des juifs, de la part de ce soldat qui deviendra un homme politique et manque d'humanité à l'égard de Dreyfus (dernière scène).
Polanski a tort de faire de Picquart un héros, l'unique en fait dans ce film; or, restant du côté de l'armée et des antisémites, Picquart est froid, il n'a pas l'humanisme et le lyrisme de Zola; en outre il n'est pas le seul à enquêter : le film sous-estime le travail du frère aîné, Mathieu Dreyfus, comme l'écrit Vincent Duclerc, spécialiste de l'Affaire...
Malgré les cris -compréhensibles- des femmes contre un homme, il serait honorables qu'elles aillent voir ce film, qu'elles n'insultent plus le cinéaste, à moins d'être accusées d'antisémitismes, tant l'oeuvre démonte la machinerie d'un Etat et d'une armée broyant les libertés et les individus !
JPB
J'accuse est un drame historique franco-italien coécrit et réalisé par Roman Polanski, sorti en 2019. Il s'agit de l'adaptation du roman D. de Robert Harris, portant sur l'affaire Dreyfus.
Utopies avec Cinémaginaire - Education populaire - Chez Olga et Pierre Garcia-Fons (photo J.Gautrand)
La CCI Val-de-Marne s'associe à la mobilisation
pour le maintien du train primeur Perpignan-Rungis.
Le Président de la CCI Val- de-Marne, Gérard DELMAS apporte tout son soutien à l'initiative prise par le Président de SEMMARIS Monsieur Stéphane LAYANI, pour permettre le maintien du « train des primeurs » entre le Marché International de Rungis et Perpignan.
Le Président de la CCI Val-de-Marne se félicite de la mobilisation des acteurs institutionnels et économiques sur ce dossier, en particulier le Président du Conseil Départemental Monsieur Christian FAVIER.
Le MIN de Rungis constitue la pierre angulaire de la sécurité et la qualité d'approvisionnement de l'Ile-de-France et apporte un développement économique remarquable régional et département qu'il convient de maintenir.
Les enjeux sont forts autour de la pérennisation de cette liaison ferroviaire : l'excellence de l'approvisionnement du MIN, le maintien des emplois liés à cette activité de fret, la diminution de la circulation de camions sur les routes du Val-de-Marne et la pollution qui y en découle.
Pour toutes urgences vous pouvez joindre Sandrine GORDINHO au +33 1 49 56 56 28
Merci de mettre en copie pour tout mail sgordinho@cci-paris-idf.fr
Demain jeudi 16, hommage à Pierre Garcia-Fons, à Villeneuve de la Rivière (11h, cami Real), en présence d'Olga et de nombreux amis.
Une plaque est installée par le maire en souvenir du grand peintre, décédé il y a peu (cf ce blog et rencontre à Paris). JPB
samedi 18 mai 2019 21h
Cinéma Jaurès - 66 Argelès sur Mer
PROLOGUE de la 34e édition du festival
> RENCONTRES CINÉMAGINAIRE <
d’Argelès sur Mer
(Pyrénées Orientales)
Un festival de cinéma hors normes,
sans tapis rouge ni club de sponsors, sans paillettes ni vedettariat,
En présence du réalisateur Mario PONS MURIA
avant-première
du film
EL PERIPLE, la vella llum d’Europa
Grand Prix du Festival du film de Girona 2018
(festival jumelé avec les Rencontres Cinémaginaire depuis 20 ans)
En prologue aux 34e Rencontres Cinémaginaire
et en clôture du colloque EXODE ET ACCUEIL
organisé par l’association FFREEE
(Fils et Filles de Républicains Espagnols et Enfants de l’Exil)
Dans le cadre de La retirada en images
(agenda 2019 de Cinémaginaire du 80e anniversaire de la Retirada)
et de Cinécat, action commune avec Omnium Catalunya Nord
pour la découverte du cinéma catalan
Une des séquences du film tournée au phare du Cap Bear
La famille d’Alfred est obligée d’abandonner sa maison, le phare le plus haut du monde est incendié durant la guerre civile espagnole.
Commence alors le chemin de l’exil.
Miquel, haut responsable vétéran est licencié par la multinationale où il travaille. Il a besoin de changer de vie.
Ammar, chef de vente d’une usine automobile à Damas, fuit les bombes à la recherche d’un lieu sûr pour sa famille.
Il est au camp de réfugiés de Filippiada, en Grèce.
Quels sont leurs points communs ? El Périple, une histoire de trois exils.
Un film qui met en relation l’exil des républicains espagnols après la bataille de l’Ebre, et les différents exils contemporains autour de la Méditerranée.
La suite du festival !
Autour du film de Juan Gamero
VIVRE L’UTOPIE
la programmation du festival (fictions, documentaires, essais, courts et longs métrages),
va s’attacher à parcourir toutes sortes d’utopies, d’hier aujourd’hui et demain, ici ou ailleurs.
avec
des films rares, en avant-première et inédits, des invités singuliers,
des buffets en terrasse, expo, musique et cinéma en plein air
Découvrez tout le programme du festival :
<http://www.cinemaginaire.org/images/pdf/prog-rcam2019.pdf>
Infos Festival
suivez l’actualisation de la programmation du festival sur
www.cinemaginaire.org / contact@cinemaginaire.org / tél : 04 68 08 22 16
Une rencontre autour de L'Insatiable
Samedi 18 mai de 19 À 23h aux Laboratoires d’Aubervilliers
Autour de L'Insatiable papier #1
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CALI COCO
Cali cavale, au clair de sa plume
Le chanteur et écrivain nous emporte dans ses années lycée, avec Cavale ça veut dire s’échapper, au gré d’une écriture irrévérencieuse, ourlée de délicatesse. Rencontre.
Cavale ça veut dire s’échapper succède à Seuls les enfants savent aimer, en lequel Cali se remettait dans la peau du garçonnet de 6 ans dont la mère venait de mourir de maladie. Avec ce deuxième tome qui poursuit son autobiographie légèrement romancée, le chanteur, musicien, compositeur, acteur et écrivain se penche sur ses années lycée. Au fil des pages, se dessine le panthéon des artistes qui l’ont aidé à supporter les remous intérieurs de l’adolescence – Joe Strummer (des Clash), Patti Smith, U2… Du haut de ses 13 ans, il tentait de voir le soleil, mais la lune lui dégringolait dessus. La perception radicale de la vie et la sensibilité extrême qui l’habitaient, notre Pierrot solaire l’évoque, au clair de sa plume, avec une irrévérence ourlée de délicatesse.
Avec vos copains, vous avez fondé votre premier groupe, que vous avez insolemment baptisé Pénétration anale. En quoi le punk, dans lequel vous vous êtes tôt reconnu, vous parlait, à ce moment de votre existence ?
CaliAu-delà de la musique, le punk incarnait une attitude à la fois provocatrice et fraternelle. Il remettait en cause le système. Dans le punk, j’ai trouvé une issue de secours, moi qui étais déchiré suite à la mort de ma chère maman et à la douleur incommensurable de mon pauvre papa, inconsolable, brisé d’avoir perdu l’amour de sa vie. J’étais en proie aux grands questionnements qui taraudent l’adolescence. Pour moi, Joe Strummer, dont j’avais affiché le poster dans ma chambre, ce n’était pas « no future », mais un regard rassurant, clément, tourné vers l’éternité.
Vous narrez l’agitation intime qui a précédé votre dépucelage. Est-ce une manière d’en parler, indirectement, à vos enfants ?
CaliOui, il y a quelque chose de l’ordre de la transmission. Une manière de dire, à mes enfants et à tous les jeunes : « Ne vous inquiétez pas, l’adolescence est un passage compliqué, c’est normal de ne pas se sentir bien dans son corps. » Les mots que les parents, ou des adultes bienveillants, adressent aux jeunes peuvent revêtir une importance fondamentale. À l’époque, mon papa m’a dit : « Fiston, tu pourrais faire les pires bêtises, mais sache que je t’aime et que je te fais confiance. » Ça m’a secoué, positivement. Je ne voulais pas le trahir, j’ai fait des bêtises, mais pas les pires. Je lui rends hommage, dans ce livre. Il souffrait terriblement. Cependant, avec l’appui précieux de ma sœur aînée, il a réussi à tenir sa famille.
Vous avez emprunté le titre de votre livre à Patti Smith…
CaliJ’ai joué durant quatre mois, au Gaîté Montparnasse, une pièce d’elle et Sam Shepard , Cowboy Mouse. L’actrice qui interprète le rôle d’une certaine Cavale prononce cette tirade : « N’oublie jamais, Cavale ça veut dire s’échapper. » En 1971, Patti Smith et Sam Shepard, éperdument amoureux, se sont retrouvés dans un hôtel. Sur une machine à écrire, ils ont écrit, à tour de rôle, chacun une phrase. Ado, j’ai été ébranlé par la folie créatrice de Patti Smith.
À qui aimeriez-vous dédier ce livre ?
CaliÀ mes enfants, bien sûr, et, plus largement, à tous les jeunes qui souffrent de solitude, qui se sentent incompris, et qui ne trouvent pas leur place dans une société qui leur en laisse peu. Le système, anxiogène, leur vole leurs rêves. Adolescent, la musique et la lecture m’ont sauvé. Je souhaite leur transmettre de l’espoir.
Récemment, vous avez joué pour les ouvriers de Ford, en Gironde…
CaliOui. D’ailleurs, j’ai pensé : « Si Joe Strummer et Léo Ferré étaient encore vivants, ils auraient chanté pour eux. » J’ai éprouvé une émotion forte auprès des ouvriers de Ford qui se sont engagés, corps et âme, dans un combat difficile. J’ai ressenti en plein cœur leur détresse. Un travailleur, venu de la Creuse pour les soutenir, m’a cité l’exemple d’un ouvrier, père de cinq enfants, qui n’avait touché que 1 500 euros d’indemnités. C’est choquant, insupportable…
Un dernier mot, pour la route ?
CaliAvant de partir, je tiens à exprimer ma profonde solidarité à l’Humanité et à ses journalistes, à l’ensemble de son personnel. Tenez bon, camarades, nous avons besoin de vous, de l’Huma !
Entretien réalisé par Fara C. Journal L'HUMANITE, Paris.
Dans le cadre du Festival Confrontation,
projection du film
Jour de Parloir de Chantal Marchon
Image de Julie Conte
Son de Jean Mazel
Samedi 6 Avril à 21h
Feu le centre d'art contemporain WB - Cinémaginaire - Ramon Faura le 13 mai 2018 : rencontres avec les familles des prisonniers catalans
La vente du Centre d'Art contemporain Walter BENJAMIN :
point de vue de :
11 mai 2018
CRÉATION D'UN CENTRE DE CULTURE CATALANE CONTEMPORAINE A PERPIGNAN? Les locaux de l'Ecole des Beaux-Arts de Perpignan sont investis par une fondation qui y installera une galerie et des résidences d'artistes. En face, sur la place du Pont-d’en-Vestit, la municipalité souhaite toujours également mettre en vente le centre d’art contemporain Walter Benjamin. Selon la presse, reste le doute sur la destination finale de ce bâtiment de 650m², estimé à 650.000 €. Moi, je peux vous dire que je sais ce que j'y ferais:
1/ Un musée moderne (par opposition au musée de musées qu'était la Casa Pairal) sur l'histoire de la Catalogne (Nord) en partenariat avec celui de Barcelona http://www.mhcat.cat car lorsque tu viens à Perpinyà-gnan ou dans le département il n'y a pas d'endroit où on te raconte notre histoire (aux résidents et aux touristes).
2/ J'y ferais aussi un centre culturel avec toutes sortes d'activités (cours de catalan, séminaires, projection de films en catalan, bibliothèque, cafétéria, spectacles en catalan, ...) en partenariat avec les Xalenciens du Centre de Cultura Contemporània l'Octubre http://www.octubre.cat/actualitat.php
3/ J'y installerais aussi un service de normalisation linguistique (avec des personnes militantes et motivées dedans). Ce sont quelques idées écrites spontanément pour donner des pistes...
Ramon Faura-Llavari https://www.lindependant.fr/.../perpignan-les-travaux...
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Marie Cayrol Qui mieux que Walter Benjamin pour le musée des catalans !!!!
JPBonnel : Oui, Marie a raison, il faut conserver ce centre WB ! Moi, maire, je le conserverai !!
Il faut se mobiliser pour que la vente n'ait pas lieu !!!
On ne demande pas à l'adjoint à la culture de démissionner : une opération immobillière est meilleure que l'honneur à Perpignan !!!! Quel scandale !!!
JPB, président de l'Association WB (Banyuls) - Créateur du prix européen de l'essai philosophique WB (en 2017 : Bruno Tackels, lauréat - En 2028, réception du lauréat le 29 septembre à la mairie de Banyuls, à 11h- Contact : 06 31 69 09 32 -
*Théâtre du Réflexe :
"Maryse PAWLOFF - Théâtre du Réflexe - Canohès" <theatredureflexe@hotmail.fr>
*Je me censure demain
avec Cédric Marronnier
Jeudi 17 mai à 20 h 45
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 12 € Pour adultes
One man show - humour
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Couguar débutante
avec Valérie Solis
Samedi 26 mai à 20 h 30
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 12 € Pour adultes
One woman show - humour
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Pilule et André de Véra
Jamais pareil
Dimanche 27 mai à 18 h (horaire d'été)
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 5 € Pour enfants à partir de 2 ans
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Nous qui sommes cent
Compagnie Gamma - théâtre contemporain
mise en scène : Alicia Grison
avec Alicia Grison, Delphine Gatonas, Aurélie Jésus-Prêt
Jeudi 14 juin à 20 h 30
Vendredi 15 juin à 20 h 30
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 12 € Pour adultes
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Pilule et André de Véra
Jamais pareil
Dimanche 24 juin à 18 h (horaire d'été)
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 5 € Pour enfants à partir de 2 ans
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One woman show
de Kristal
Vendredi 29 juin à 20 h 30
au Théâtre du Réflexe à Canohès
Durée : 1 h Entrée : 12 € Pour adultes
One woman show - humour
*Cinéma : Y'A pas que CANNES !
Objet : Expo humains de Baudoin et Troubs
Dans le cadre du festival Cinemaginaire, en partenariat avec FFREEE pour l'exposition qui a été présentée aux journées de la Retirada en février, nous avons le plaisir d'exposer à nouveau "humains, la Roya est in fleuve" en présence d'Edmond Baudoin qui n'avait pu venir alors. Partenariat aussi avec la médiathèque intercommunale Jean Ferrat d'Argeles qui l'expose du 15 au 30 mai.
A la médiathèque, Vendredi 18 mai à 18h30, Edmond Baudoin présentera sa BD et expliquera la solidarité en oeuvre dans la vallée de la Roya.
Au cinema Jaurès à 21h, projection du film "libre" qui retrace la rencontre des habitants de la vallée de la Roya avec les migrants et particulièrement l'action solidaire exemplaire de Cédric Herrou. Le réalisateur Michel Toesca a suivi pendant 2 ans l'engagement humain des habitants de la vallée et particulièrement Cédric Herrou aujourd'hui en procès comme d'autres pour délit de solidarité ! Le réalisateur et Cédric Herrou sont au festival de Cannes, c'est donc leur ami Edmond Baudoin qui présentera le film.
du 16 au 21 mai 2018 Cinéma Jaurès - 66 Argelès sur Mer
33e édition du festival
> RENCONTRES CINÉMAGINAIRE <
d’Argelès sur Mer
(Pyrénées Orientales)
Un festival de cinéma hors normes,
sans tapis rouge ni club de sponsors, sans paillettes ni vedettariat,
cinq jours de rencontres exceptionnelles, de temps forts, de plaisir en roue libre
Autour du film d’Olivier Assayas
Après Mai
des films rares, en avant-première et inédits, des longs métrages et une compétition de courts métrages,
des films de fiction, mais aussi des documentaires et des essais,
des invités singuliers, des buffets en terrasse, expo, musique et cinéma en plein air
Cinémaginaire vous invite à la
Séquence d’ouverture du Festival
MERCREDI 16 MAI 2018
> 18H30 Cinéma Jaurès Pôle Argelès Culture - Argelès sur Mer – gratuit !
Pourquoi j’ai écrit la Bible film court de Alexandre Steiger (France 2017 – 29’)
> 19H Galerie Marianne Pôle Argelès Culture - Argelès sur Mer – gratuit !
Inauguration du Festival et de l'Exposition graffs, étendards et peintures, de Sylvain MAISONNEUVE
Paroles inaugurales et buffet
> 20H45 Espace Liberté Pôle Argelès Culture - Argelès sur Mer – gratuit !
GRANDE SOIRÉE OUVERTURE
Eclats musicaux avec le groupe Combo Swing (d’Argelès sur Mer !)
Projection en plein air et sous les étoiles (repli Cinéma Jaurès si intempérie)
Les grandes ondes Comédie de Lionel BAIER (France 2014 – 1h24’)
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>> Découvrez le programme complet du festival
<http://www.cinemaginaire.org/images/pdf/prog-rcam2018.pdf>
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Le festival le plus au sud !
Cinéma Jaurès - Pôle Argelès Culture
66700 Argelès sur Mer
Mail : contact@cinemaginaire.org
Site : <http://www.cinemaginaire.org>
* Festival Confrontation (10/15 avril 2018) - Expo photo/peinture J.SAIS/J.MAURESO (6 avril librairie Torcatis) -
**Les Hommes de l'OMBRE : amphithéâtre municipal et festival de cinéma
Il répond qu'on dit tout et n'importe quoi quand on affirme qu'il est considéré comme le véritable maire de cette ville… Mais quand on lui demande un éclaircissement, il a la réponse, il est enthousiaste et avance mille arguments…
Si la municipalité ne communique pas bien (langage de bois dans son journal officiel), si les habitants ne sont pas vraiment informés sur ce qui se trame, sur l'objectif final, sur la cohérence du projet, lui, il sait, et il sait séduire : il aime le théâtre, il a choisi l'écrivain Pere Cerda pour l'Archipel, il va faire venir, tout au long de la semaine, les étudiants dans le petit théâtre à l'italienne et il espère qu'ils resteront le week-end pour les représentations.
Car le théâtre municipal sera consacré au théâtre en fin de semaine : aux troupes locales à décor et matériels limités car il est malaisé de venir avec des camions dans ces petites rues du coeur de ville…
Le sol et les fauteuils (usés, venant d'un ancien cinéma) seront changés, mais scène, acoustique, décorations ne seront pas touchées…
Vive l'amphithéâtre municipal !
JPBonnel
* Débat sur la politique de la ville :
Evénement : vendredi 6 avril à partir de 18 h, 9 rue FOY, Perpignan - Débat, dialogue citoyen vendredi 6 avril à partir de 18 h, 9 rue FOY (en bas de la rue, près de l'abreuvoir de la rue Na PINCARDA -
* Débat sur la politique de la ville, la culture, le patrimoine, la fac en ville, les commerces, le secteur sauvegardé, le CIP, Centre international de photo journalisme, l'amphithéâtre municipal...
chez l'artiste Alain Gélis - Entrée libre à tous -
Elus, maire de Perpignan, opposition, la presse... médias... sont invités...
* PERPIGNAN, Une ville en sursis :
sortie du livre de J.Pierre BONNEL (dans les bonnes librairies - 18 euros - chez l'auteur : 15 euros : 06 31 69 09 32 - jean-pierre.bonnel@orange.fr
"Bilan du maire à mi-mandat" (2014/2018)