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15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 09:52

94c550212539b428e915b05ddcc2551c_L.jpg "Trobada du Canigou" à Cheval

 

RV au ranch en Palau Del Vidre pour une randonnée à cheval inoubliable le 15 et 16 juin 2013

 

Il y a quelques années, René Rubio a décidé de se rendre à « La Trobada » à cheval. Lors de son premier voyage, il y avait juste quelques Catalans locaux. Maintenant il y a des cavaliers partout de l'Europe qui s'associent à cet événement extraordinaire.

 

Le vendredi tous les cavaliers se réunissent pour le déjeuner au ranch en Palau Del Vidre. Après quoi chacun aide à charger le camion avec les chevaux et l'équipement exigés pour camper sur la montagne. Plus tard nous établissons un premier camp dans un village pittoresque niché au fond de la montagne pour la nuit. Il y a toujours une atmosphère très joviale. Le jour suivant chacun prépare sa monture et commence la montée vers le haut de la montagne au travers de paysage absolument renversant, Arrêt à mi-chemin pour donner aux chevaux un peu de repose bien et par la même occasion de permettre aux cavaliers de déjeuner. L'après-midi l'ascension continue vers le haut de la montagne jusqu'à au terrain de camping du chalet de Cortalets où vous nous trouverons plusieurs centaines d'autres personnes à pied ou à cheval. Nous établirons le camp pour la nuit. Comme par magie commence une soirée de plaisir, la chaleur de l'atmosphère vous fera vite oubliée la froideur de la nuit, Ambiance chanson paillarde au crépitement du feu pour ne pas mentionner l'odeur des grillades sur les feux de camp. Une nuit exceptionnelle.

 

Le lendemain matin, au réveil, Le paysage stupéfiant vous fera oublier la fatigue des festivités de nuits passées. L'heure de replier le camp et de laisser cette montagne sacrée aussi propre que nous l'avons trouvé pour un retour vers le bas de la Vallée.

 

www.randoetchariot.com

www.facebook.com/rando66   René Rubio 06 15 41 38

 

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Dimanche 16 juin à 17h au Vauban à Port Vendres

nous proposons : La savetière prodigieuse

 

Download.html.jpg

 

de Federico Garcia Lorca par le Théâtre de l’Agora

 

La savetière prodigieuse est une comédie-farce juvénile de l’immortel auteur et poète espagnol, Federico Garcia Lorca. Elle conte l’histoire d’une jeune et jolie femme mal assortie avec un vieux mari mais le conflit conjugal animé et percutant se résoudra avec fantaisie de façon tout à fait surprenante.La couleur et le rythme sont andalous et très moderne, la bataille entre dure réalité et désirs rêvés dans le cœur d’une femme jeune, explosive et chimérique.

La troupe de l’Agora, forte de 14 comédiens, interprète cette pièce avec allant et brio, mêlant musique, danses et marionnettes et surtout des dialogues à la fois drôles et poétiques.

 

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Distribution par ordre d’entrée en scène :

 

L’AUTEUR : Gilles PLANAS

LA SAVETIERE : Nathalie BAIXAS

L’ENFANT : Antonin ALFONSO-PAGES

LE SAVETIER : Raymond SOLSONA

LES VOISINES, les BIGOTES : Michelle BALTARO, Marie-Claire BASSOU, Geneviève MODAT, Emilie PAGES, Christine TOLLET

L’ALCADE : Geneviève GRENIER

PETITES GITANES : Johanne SAILLIDE, Louise VALETTE

DON MIRLO : Gilles PLANAS

JEUNE HOMME au tournesol : Orane CURRENS

JEUNE HOMME AU CHAPEAU : Emilie PAGES

LES MAYAS : Geneviève GRENIER, Pierrette RAYNAUD

 

plein tarif : 8 €

tarif réduit : 6 €

 

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 12:35

ciel.JPG (C) Jean-Pierre Bonnel

 

 * Samedi 23, à 15 heures, conférence à la médiathèque - Florence MOLY évoque la paix céleste en musique et en peinture.

 

Après la décevante conférence (écourtée, déstructurée, avec l'érudition vaine d'un producteur de france-cul, qui cite en hébreu, toutes les deux minutes...), : à travers les manuscrits à peinture, balade et ballades dans l'âge médiéval, quête des sonorités sépharades, berbères, grecques, catalanes... entrée libre.

 

 

** DALI BIS : à 19 heures

 

El Centre Del Mon fête le printemps !!

 

Printemps 2013 : à 19 heures, vernissage, à la nouvelle gare de Perpignan

 

- Exposition the Meeting of Styles France: du 23 mars au 22 juillet 2013
- La Chasse aux papillons du Centre del Mon : du 1er au 30 avril 2013
- Le «Centre Del Mon du Livre» 1ère édition: Le mardi 23 avril 2013

 

Exposition the Meeting of Styles France: du 23 mars au 22 juillet 2013, sélection de pièces du MOS 2012, le festival international de Graffiti qui a attiré en juillet 2012, à la Casa Musicale une soixantaine de graffeurs, une trentaine de riders, une vingtaine de rappeurs, une quinzaine de danseurs sur un total de 22 heures de festival.

 

***   Théâtre : *Hanna Fiedrich joue 

 

* Samedi 23 Mars 20h 30 au Théâtre du Réflexe à Canohès 17, Rue de la Coulomines 04 68 55 39 77 

Synopsis 

Frieda, étrangère, tombe amoureuse des Pyrénées – Orientales et s’y installe.

Mais tragédienne, elle découvre que sous le soleil du Sud la comédie règne en maître. Commence pour elle une métamorphose parsemée de péripéties… 

 

Jean-pierre Bonnel Un monologue plein d'humour et de vie ! Le regard d'une Etrangère sur la Catalogne. Eloge de la beauté et réflexion sur la création littéraire. Courez-y tous !!!

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 13:17

affiche.jpg * La Troupe du Franc Théâtre- C'est un mois très théâtral que le mois de mars....A Port Vendres mais aussi au Boulou, à Saint Estève.......vous avez le choix  !

 

Jeudi 14 au théâtre de l'étang à Saint Estève 

       Huis Clos à 20h30  (avec Le Franc Théâtre)

On ne présente plus Sartre ... Mais venez vous faire votre opinion 

si vraiment  "L'enfer c'est les autres..."

 

Dimanche 24 mars au Vauban à Port Vendres

      Le Bourgeois Gentihomme  à 17h30

Comédie ballet de Molière à ne pas manquer (avec Le Théâtre Des Quatre Saisons)

      Entrée : 500 Pistoles...pardon : 8

 

Samedi 30 mars au Boulou

     On purge Bébé  à 20h30 (avec Le Franc Théâtre)

 Feydeau revisite l'entente conjugale et l'Enfant Roi !

 

** Affiche_-SOUS-LE-SOLEIL-DE-FRIEDA.jpg Hanna FIEDRICH au Théâtre de la RENCONTRE, à Perpignan, samedi 16 mars à 20h30 et dimanche 17 à 17h. (10 euros)

"Sous le soleil de Frieda "  - Tragi-comédie de et avec Hanna Fiedrich   

Mise en scène: Georges Pawloff

Création son et lumières : Benjamin Villanti et Manelle Gérard 

 

Théâtre de la Rencontre  

31 rue des romarins  Perpignan  04 68 55 54 07

 

***carton-DEZEUZE-VERSO-.jpg

 

exposition de

DANIEL DEZEUZE

"Le chant des oiseaux"

le jeudi 14 mars 2013 à 19h en présence de l'artiste.

 

L'isba /art contemporain

Isabelle Bagnouls

Sophie Phéline

19, avenue des Palmiers

66000 Perpignan

www.lisba.fr / lisba66@gmail.com  /+ 33 (0)4 68 59 41 18  images-copie-26.jpeg

 

 

 

      Après une jeunesse montpelliéraine, Daniel Dezeuze fait des études d’espagnol tout en fréquentant comme élève libre l’École des beaux-arts de Montpellier. Son père, l'artiste peintre Georges Dezeuze, lui enseigne les bases du métier. À 20 ans, il assure la direction d’une Alliance française en Espagne dans les Asturies en 1962-63.

En 1964-65, il obtient une bourse d'études du Mexique pour l’université de Mexico (département d’architecture et d’urbanisme) et visite ensuite la côte Est des États-Unis. Il découvre alors la peinture américaine dans sa réalité même et non au travers de reproductions.

Il effectue son service militaire comme coopérant à Toronto (Canada). De retour en France, il s'installe à Paris en 1967. En 1970, il soutient une thèse en littérature comparée, consacrée au poète Vicente Huidobro.

Les années Supports/SurfacesSa fameuse œuvre de 1967 intitulée Châssis avec feuille de plastique tendue permet de mieux comprendre les préoccupations du groupe Supports/Surfaces. Membre fondateur du groupe en 1969, Dezeuze participe, de 1970 à 1972, à de nombreuses expositions collectives dont celle au Musée d’art moderne de la Ville de Paris en 1970.
Après Supports/SurfacesDe 1977 à 2002, Dezeuze enseigne à l’École des beaux-arts de Montpellier.

En 1987, il séjourne pour la première fois en République populaire de Chine et y expose.

En 1998 a lieu une importante rétrospective de son œuvre au Carré d'art à Nîmes.

Quelques œuvres:Sans titre, 1977, bois de placage teinté et agrafé, 770 x 82,5 cm, Musée d'art de Toulon
GaleriesÀ partir de 1971 et jusqu’en 1991, Daniel Dezeuze expose à la galerie Yvon Lambert (Paris).

Depuis 1999, il est représenté par la galerie Daniel Templon (Paris).

Expositions personnelles

1997 :Maison populaire, Montreuil - Galerie d'art contemporain, Auvers-sur-Oise - Vasistas Galerie, Montpellier

  • 1998 : Carré d'Art, musée d'art contemporain, Nîmes
  • 1999 : Galerie Daniel Templon, Paris
  • 2001 : La Chaufferie et musée d'art moderne et contemporain, Strasbourg
  • 2002 :
    • Galerie Daniel Templon, Paris
    • Galerie John Dekkers, La Haye (Pays-Bas)
  • 2003 :
    • Galerie Fernand Léger (Credac), Ivry-sur-Seine
    • FRAC Bourgogne, Dijon
    • Espace d'art contemporain du domaine départemental du Château d'O, Montpellier
  • 2005 : Espace d'art contemporain Gustave FavetSérignan
  • 2006 : « Armes et Scènes de guerre », château de Salses (66), dépôt permanent
  • 2007 :
    • Galerie Hambursin-Boisanté, Montpellier
    • Casa de Francia, Mexico (Mexique)
    • Granville Gallery (Normandie)
  • 2009 :
    • « Œuvres de voyage, Mexico-Toronto 1964/1967 », galerie Hambursin-Boisanté, Montpellier
    • Musée Fabre, Montpellier
  • 2012 :
    • Maison des Arts, Bages d'Aude
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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 10:26

visu-theatre-22-02.jpg  200 ans  de théâtre à Perpignan (C) L'Archipel contre-attaque / Jordi Vidal / Michelle Pernelle. (remerciements)

Dimanche 3 mars à 11 heure inauguration.

livre.jpg ¨

A première vue, quoi de plus paisible et consensuel qu’une exposition d’archives sur les 200 ans de théâtre à Perpignan ? Tout le monde s’y retrouve, et le Perpignanais, féru de culture, d’histoire et de théâtre est déjà convaincu d’en connaître les grandes lignes, d’en avoir une représentation assez nette. Le travail de l’archive (vous savez ces expositions que l’on traverse à grandes enjambées sans jamais interroger le détail ni le général) apparaît alors comme l’alibi à une certaine fausse (bonne) conscience.

   Ce que l’époque contemporaine demande le plus souvent à l’archive s’apparente à une forme ultra spectaculaire de storytelling : les documents rassemblés ne sont là que pour valider un point de vue prédéterminé. On ne nous demande pas vraiment de partager une même vision, mais une même fiction.

 

    Lors de la préparation de l’exposition « Le théâtre : toute une histoire ! » nous n’avons pas souhaité raconter une nouvelle histoire en prenant pour prétexte l’histoire. A l’inverse, nous avons voulu témoigner pour l’histoire et au nom de l’histoire, à partir de la masse des documents rassemblés et, pour certains, retrouvés. Quoi de plus instable que le témoignage humain, quoi de plus vulnérable qu’une trace archivée, quoi de plus fragile que l’histoire elle-même.

   Il est des histoires dont on nous dit qu’elles n’existent pas, qu’elles n’existent plus, qu’elles n’ont jamais existé ; d’autres qu’elles sont inventées, d’autres, enfin qui subissent les cours d’une forme particulière de spéculation, à la hausse ou à la baisse.

 

   Le théâtre de Perpignan n’échappe pas à ces étranges mouvements de flux et de reflux, à l’alternance de périodes éclairées et d’autres plus sombres d’où aucune lueur ne provient. La recherche prend alors, confrontée aux anomalies historiques et aux incertitudes contemporaines, un caractère obsessionnel. Les vides, les blancs, les zones d’ombre, les absences font de l’histoire du théâtre de Perpignan une histoire lacunaire qui nous parle, sur un mode délicat et poétique de la fragilité des traces de notre passage dans le cours du temps historique.

 

Pour compléter le fonds existant aux archives nous sommes partis à la recherche de documents complémentaires ; nous sommes partis à la recherche d’affiches, de gravures, de photographies. Au cours de cette recherche, qui a pris la forme d’une quête, nous avons suivi des pistes incertaines, jusqu’à retrouver le petit-fils de l’ancienne habilleuse du théâtre qui a conservé pieusement les précieuses photographies de l’époque dans des boîtes en carton.

 

C’est à Madame Marguerite Sarris que nous devons les témoignages des années 1930 : elle fut, dès 1927, habilleuse au théâtre. Comme quoi, cette histoire de théâtre à Perpignan respecte jusqu’au bout le cadre d’une bonne dramaturgie.

 

André Breton écrivait déjà, à la même époque, combien il est difficile de partir à la recherche de l’or du temps. Pour cet or du temps retrouvé, cette exposition est dédiée à Madame Sarris.

 

Après l’aventure des photographies, il y a eu celle des costumes, avec une conséquence immédiatement positive : cette exposition va permettre de les préserver pour l’avenir. C’est en ce sens qu’on peut parler aujourd’hui d’archives dynamiques. Il est sain pour la démocratie que le passé vienne interroger le présent, et parfois même le mette en doute.

 

   Les archives dynamiques ont le privilège de ne jamais abandonner la proie pour l’ombre. Ainsi une exposition sur le théâtre pose la question artistique du théâtre, la question culturelle du théâtre, la question politique du théâtre.

 

A observer la situation du théâtre de l’Archipel et du théâtre municipal, est-il possible d’imaginer une action qui innove sans pour autant détruire ? Est-il possible de concilier la préservation avec la modernité ? Ce qu’il y avait d’ancien et d’obsolète dans le théâtre municipal a conduit le politique à penser le projet du théâtre de l’Archipel sans intégrer le théâtre municipal dans son dispositif.

 

Quel avenir pour l’ensemble des structures du spectacle vivant à Perpignan ? C’est une question que pose, de manière encore indirecte, cette première exposition sur les 200 ans du théâtre à Perpignan. L’archive n’existe donc pas pour justifier une lecture contemporaine du passé, mais bien pour questionner le présent au nom de l’histoire.

 Ce fut le souhait de Walter Benjamin, celui d’Abby Warburg, c’est toujours le nôtre. Nous n’en sommes qu’au premier acte.

 

   * Voici un autre texte rédigé par Michelle Pernelle des Archives :

 

La tradition théâtrale à Perpignan est très ancienne puisqu’elle remonte au XVe siècle. On représentait alors les mystères (longs drames religieux) sur la place de la Loge. Plus tard, une salle de spectacle dite « casa de las comedias », où l’on donnait aussi des représentations dramatiques, s’implanta dans le quartier Saint-Jean, quelque part dans l’artère qui relie la rue de la main de fer à la rue Foy, connue au milieu du XIXe siècle sous le nom de « carrer de la comedia », puis « rue de l’ancienne comédie » à partir de 1870.

 

Vers le milieu du XVIIIe siècle, dans cette ville en pleine francisation où l’empreinte des Lumières commençait à poindre, le comte de Mailly, gouverneur de la province, pour distraire et égayer son entourage, fit édifier une magnifique salle de spectacle dans la belle et vaste salle du consulat de mer. Pour ce faire, en 1752, la façade et l’intérieur de la Loge de mer furent totalement bouleversés. Ensuite, pendant soixante-trois ans, ce théâtre connut une existence chaotique, avec pas mal de relâches et même sans représentation pendant une campagne entière. La salle fut alors louée pour des bals, à des troupes de passage ou à des comédiens ambulants. En 1813 les trois dernières représentations y furent données : « La Flûte enchantée » de Mozart, « La Vestale » de Spontini et « Le siège de Corinthe » de Méhul.

 

Pour des questions de sécurité et d’accueil, ce lieu posait des problèmes. Ainsi, le 22 avril 1810, 57 bourgeois perpignanais, amateurs de spectacles, formèrent une société d’actionnaires et ouvrirent une souscription pour financer la construction d’un nouveau théâtre dans les locaux du collège des Jésuites, place Napoléon (actuelle place de la République).

Le conseil municipal de Perpignan vota ce projet le 5 mai 1811, avec plans et devis, et la construction démarra fin 1812. Ce nouveau théâtre entra en fonction en novembre 1813, un an avant l’achèvement des travaux. Le public perpignanais ne fut donc pas un seul instant privé de spectacles.

 Pendant une dizaine d’années, le théâtre fut géré par cette société, de plus en plus fortement financée par la ville de Perpignan, jusqu’à ce qu’en 1820 cette dernière achève le rachat de la totalité des actions émises, commencé cinq ans auparavant, et le théâtre devint ainsi municipal.  

L’activité du théâtre municipal, toujours très intimement liée au conservatoire de musique (les professeurs du conservatoire formaient l’orchestre du théâtre), fut plutôt florissante malgré la création de deux nouveaux théâtres, d’un style différent, plus « coquins », implantés dans le faubourg : celui des Variétés en 1877, et celui de l’Alcazar, en 1900. Cependant, au début du XXe

siècle, l’apparition du cinéma captiva rapidement une grande partie du public, et il fallut attendre les années 1950-1960 pour que le théâtre retrouve une place de choix dans la cité.  1813-2013 : 200 ans de vie théâtrale dans la ville, animés par de nombreux artistes, comédiens et musiciens, d’ici et d’ailleurs. Et le spectacle continue !

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 08:59

 

images-copie-22.jpeg   Entre la fête de l'ours à Prats de Mollo et l'hommage à la Retirada (samedi, salon du livre à Argelès, salle Carrère, j'y serai - dimanche, journée Machado à Collioure), ce week-end s'annonce bien rempli. Il vous faudra choisir. Ne pas prendre la route du ski car les cheminots bloquent la route de la Cerdagne pour défendre le train jaune abandonné par l'Etat et la Région... Ne pas prendre la direction des plages car il fait trop de marin... 

choisir ! Il y a le Voltaire de C. Debarbieux à Perpignan, au théâtre de la rencontre ! A vous de choisir le destin, votre chemin, car, comme l'a écrit Machado, il n'y a pas de chemin : c'est vous qui devez vous le tracer vous-même... Vous pouvez toujours venir me voir à Argelès-village (salle polyvalente Carrère)...

 

* Extrait du Dictionnaire philosophique :  FANATISME (la citation que j'ai signalée en gras est vraiment d'actualité !)

Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère.

Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un fanatique novice qui donne de grandes espérances ; il pourra bientôt tuer pour l’amour de Dieu. […]

Le plus grand exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n’allaient point à la messe. Guyon, Patouillet, Chaudon, Nonotte, l’ex-jésuite Paulian, ne sont que des fanatiques du coin de la rue, des misérables à qui on ne prend pas garde : mais un jour de Saint-Barthélemy ils feraient de grandes choses. […]

Il n’est d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal ; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l’air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la peste des âmes ; la religion, loin d’être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. […]

Les lois sont encore très impuissantes contre ces accès de rage : c’est comme si vous lisiez un arrêt du conseil à un frénétique. Ces gens-là sont persuadés que l’esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu’ils doivent entendre.

Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes, et qui en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ? […]

Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques, et qui mettent le poignard entre leurs mains ; ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on, goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu’ils iraient assassiner tous ceux qu’il leur nommerait. Il n’y a eu qu’une seule religion dans le monde qui n’ait pas été souillée par le fanatisme, c’est celle des lettrés de la Chine. Les sectes des philosophes étaient non seulement exemptes de cette peste, mais elles en étaient le remède ; car l’effet de la philosophie est de rendre l’âme tranquille, et le fanatisme est incompatible avec la tranquillité.

Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/voltaire.php#ixzz2La4ldcxp

 


A la Rencontre... de Voltaire !


Un week-end consacré au plus fin, au plus impertinent, au plus dangereux des auteurs du XVIII e siècle.


Deux lectures théâtralisées de

Cédric Debarbieux,

 

Samedi 23 février, à 20h30

Le Dictionnaire Philosophique

(Pages choisies)

Dimanche 24 février, à 17h

L'Affaire Calas,

d'après le Traité sur la Tolérance

 

 

Deux textes qui ont conduit la France à la Révolution de 1789. A écouter encore aujourd'hui...

 

Prix des Places : Lycéens 5€, Adultes 10€, les deux spectacles 15€.

 

 

au Théâtre de la Rencontre,

31, rue des romarins, à Perpignan.

Tel : 04 68 55 54 0

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 16:13

frida.jpg  SOUS LE SOLEIL DE FRIEDA" Théâtre - samedi 9 février 2013


    • THÉÂTRE DU RÉFLEXE CANOHÈS 04.68.55.39.77 Sam. 9 Février 20h30 Sam. 23 Mars 20h30 
  • THÉÂTRE DE LA RENCONTRE
  • PERPIGNAN 04.68.55.54.07
  • Sam. 16 Mars 20h30
  • Dim. 17 Mars 17h00
  • Frieda, étrangère, tombe amoureuse des Pyrénées-Orientales et s’y installe.
  • Mais, tragédienne, elle découvre que sous le soleil du Sud la comédie règne en maître. Commence pour elle une métamorphose originale, parsemée de péripéties.
  • Frieda embarque les spectateurs pour un voyage amusant, accompagné d’une création son et lumières. En un seul mot, c’est un excellent moment...
  • Sébastian CORTO - Flash66
  • " lors de son interprétation « Sous le soleil de
  • Frieda » la fougue et le verbe ont réellement
  • enthousiasmé l’auditoire..."
  • L’Indépendant
  • ... Hanna nous dévoile ses qualités d’interprétation
  • en passant de la tragédie à l’humour... "Midi Libre"...

" Belle énergie et grand talent chez cette actrice-écrivaine, qui croque la Catalogne et la vie avec humour et amour ! On en redemande ! On attend d'autres créations ! " Jean-Pierre BONNEL - 

 

 

   Écrit et interprétée par Hanna FIEDRICH, mise en scène par Georges PAWLOFF, avec une création son & lumière de Benjamin VILLANTI et Manelle GÉRARD, la dernière création d' Hanna FIEDRICH, sera en tournée dans notre département en février et mars. 

 

Voilà un spectacle qui "décoiffe" avec de l'humour noir, des rebondissements, des situations drôles d'autres plus tragiques. En un seul mot, c'est un excellent moment. Un monologue ! On aurait peur à tord de s'ennuyer mais là c'est tout le contraire tant la pièce est riche de ses accessoires originaux, des émotions qu'insuffle la comédienne et de son jeu de scène.

 

Nous avons été enchanté par la mise en scène de Georges Pawloff. La pièce est pimentée par la création son et lumière originale de Benjamin Vilanti et Manelle Gerard. On est emporté dans l'histoire de Frieda, une tragédienne Allemande arrivée chez nous juste pour quelques jours

 

Mais devenant amoureuse de nos terres, elle s'y installe Ici où la comédie règne ; il lui faudra entamer une métamorphose. Devenir drôle ! Est ce si facile pour une tragédienne ?

Un voyage amusant commence parsemé de péripéties

 

Au THÉÂTRE DU RÉFLEXE, Canohès samedi 9 Février et 23 Mars 20h30 - THÉÂTRE DE LA RENCONTRE, Perpignan le samedi 16 Mars 20h30 et le dimanche 17 Mars 17h00.

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 11:37

 * Le weekend fut théâtral

 

après l'opéra dans l'apparat de l'Archipel, 

simplicité populaire d'une salle des fêtes et franc comique avec Viviane Auger et Bernard Gimbernat, à Bages : on ne s'ennuie pas avec ces histoires de retraités, se chamaillant à tout propos, sexe, apéro, église, pape et Marylin... Le couple, devant plus de cinquante personnes, a donné de la voix, puis nuancé, selon les différents personnages interprétés. Ils préparent un nouveau texte ! 

En attendant, vous les verrez à Llauro, Rivesaltes et dans tous les lieux où souffle l'amour du théâtre...

 

* On attend l'événement théâtral à Perpignan, jeudi, avec une pièce "politique" de Valère Novarina, un des plus grands auteurs actuels, avec Yasmina Rezza. J'ai assisté à une de ses pièces interminables, au festival d'Avignon, dans la cour d'honneur, il y a quelques années; un froid mistral d'été ne m'a pas permis d'apprécier cette représentation (des couvertures étaient même distribuées aux spectateurs !), mais la tiédeur rouge de L'Archipel devrait nous bercer, ce jeudi de février, pourtant soulevé par une tramontane glaciale qui passe sur le dos des neiges catalanes...

 

** Un projet : monter mon texte sur Walter Benjamin, le jouer à Perpignan et ailleurs en France... Je recherche aides et suggestions. J'ai trouvé un acteur (en fait une actrice), une salle, des salles, sans doute, des subventions, c'est pas sûr... 

L'association active et courageuse qui structura ce projet sera "Frontières-Catalogne", dirigée par mon ami André Roger. A suivre...

 

 

argence.jpg  


Chapelle du Tiers Ordre - Perpignan
Hugues Argence à la Chapelle du Tiers Ordre
Plurielle, multiple, souvent déconcertante, la Catalogne se révèle autrement sous l'objectif habité de Hugues Argence : sans bouger, nous voilà au Colorado, en Grèce, au Mexique, dans les Rocheuses ou au coeur même de la catalanité à travers des fêtes millénaires et pourtant terriblement vivantes... Tout existe en Catalogne : des "gueules" typées, comme sculptées par le soleil et le vent, des paysages de naissance du monde, des architectures uniques. Du 5 février au 15 avril, l'invitation au voyage de la Ville de Perpignan est belle et à ne pas manquer !
Chapelle du Tiers Ordre, place de la Révolution française, de 11 h à 17 heures tous les jours sauf le lundi. Vernissage le 5 février à 18 heures

www.huguesargence.com - 
"Catalognes" - Hugues Argence
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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 11:40

bages.jpg  Ce soir, samedi 2 février, à Bages : Soirée théâtre à 20h30 . La troupe Vigatanes i Barretina présente "Comme chien et chat...!" Venez partager un moment de détente et de rire. Le pot de l'amitié cloturera cette soirée... Comédie burlesque écrite, jouée et mise enscène par Viviane Auger "Félicie la Franc-Comtoise" et Bernard Gimbernat "Narcisse le Catalan"...(Salle des fêtes de Bages, 8 euros - 0468218950).

 

**Madame Butterfly à l'Archipel de Perpignan:

 

  Notre mélomane et néanmoins envoyé spécial, Julien Verjoul, exprime son enthousiasme après la représentation de l'opéra de Puccini (hier soir vendredi- une autre représentation dimanche 3 février à 16h30-entre 30 et 50 euros) :

 

"On en oublie le coût de ce théâtre et l'endettement de la ville !

 

On oublie qu'il a fallu payer un copain à l'ancien maire, J.Paul Alduy, pour construire un lieu de prestige : on connaît pourtant les bourdes et les ennuis de Jean Nouvel dans plusieurs villes- il vient d'ailleurs d'être couronné d'un "anti-prix" d'architecture pour ses erreurs !

 

On en oublie que les musiciens sont serrés dans la fosse d'orchestre, comme sardines dans un bocal de Desclaux : à ce prix-là, on aurait pu envisager deux mètres de plus ! Et même quelques rangées de spectateurs supplémentaires pour un lieu de 1300 places environ afin de rentabiliser ce théâtre. Celui-ci, cependant, il a été conçu pour être ...un théâtre et non une salle de musique ou d'opéra !!! Alors, soit les chanteurs et orchestres symphoniques ne viennent pas, soit ils chantent, comme hier soir, dans le passage qui conduit à la fosse d'orchestre ! Choeur aveugle et l'acoustique, je vous dis pas !!!

 

Il oublie, le spectateur subjugué par ces voix et ces instruments splendides, que l'espace accordé à ses jambes repliées est compté ! Comptée, aussi, la coupe de champagne, 7 euros, qu'il finira d'obtenir, à la fin de l'entracte car, même si on a mis trois serveurs à présent, on doit comprendre que ça ne suffit pas quand 800 spectateurs sont là, à faire la queue, dans ce hall d'entrée laid, froid, infâme!!! Après tout, tant pis pour eux, ils n'ont qu'à pas jouer aux bourgeois mélomanes !! "

 

*** Fête de l'Ours à Arles/Tech, ce week-end : on regrette que cette tradition soit incluse dans le carnaval au lieu d'être autonome; il faudrait montrer la portée anthropologique de cette fête, exposer sa mémoire dans l'espace pyrénéen. On se passera donc d'Arles : la fête de l'ours sera plus culturelle le 23 février à Prats-de-Mollo (livres, conférences...)
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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 12:40

arton46 Demain samedi 8 décembre, à 17 heures, au centre d'art contemporain de Saint-Cyprien, dans la grande salle où expose en ce moment Joël CAPELLA,

 

conférence sur l'AURA, la philosophie de l'Histoire, l'UTOPIE...selon Walter Benjamin.

 

 

Diaporama - Interventions de Virginie CHOPIN, qui vient de jouer Marguerite DURAS à la maison de la CATALANITE (Perpignan) - Apéritif - Entrée libre - Vente de livres (éditions Cap Béar) -

 

 

Saint Cyprien le samedi 8 Décembre 2012, à 17 heures 

"La mort à Port-Bou"

 

 

Rencontre avec Jean-Pierre Bonnel autour de son livre sur les derniers jours dexil du philosophe Walter Benjamin

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Rendez-vous au musée dart contemporain de Saint-Cyprien-village, le samedi 9 décembre 2012, à 17 heures, pour rencontrer Jean-Pierre Bonnel qui présentera "La mort à Port-Bou, l'ultime chemin de Walter Benjamin" (éditions Cap Béar) à l'invitation de FFREEE.

 

"La mort à Port-Bou, l'ultime chemin de Walter Benjamin"

 

Jean-Pierre Bonnel, professeur de lettres, homme de culture, amateur dart, conférencier est lauteur de plusieurs ouvrages sur quelques figures artistiques de notre région.

Cette fois-ci, il sest passionné pour la personnalité originale de Walter Benjamin et nous conte les derniers jours dexil du célèbre philosophe.

 

Jusquoù la dictature peut-elle contraindre lesprit?

Jean-Pierre Bonnel sinscrit dans lultime chemin de Walter Benjamin. Il retrace lissue fatale de ce philosophe hors normes et la fin dun itinéraire où lintelligence est terrassée par la barbarie.

 

Dés 1933, Hitler et ses doctrines fascistes contraignent Walter Benjamin à lexil. Dabord à Paris où il sera arrêté puis interné près de Nevers. Il ne devra sa liberté quà lintervention dintellectuels dont Gisèle Freund. Après cet épisode il poursuit son exil vers le sud de la France et lEspagne. Il entreprend une marche harassante pour recouvrer la liberté à travers les Pyrénées, depuis Banyuls sur mer jusquà Port-Bou. Là, traqué par la police de Franco, il se suicide le 25 Septembre 1940.

 

Son corps et sa célébre valise noire contenant un manuscrit ne seront jamais retrouvés...

 

 

(photo : manuscrit de l'Aura)
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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 20:42

doc-284.jpg  * Dimanche  2  décembre  2012,  à  16 h, salle de la catalanité à Perpignan (11 rue Bastion Saint Dominique), le Théâtre du Réflexe joue les "Scènes d'anthologie de Molière", dans le cadre des "Dimanches du Conseil Général". Entrée libre et gratuite.

Jauge limitée.

Spectacle Tout Public (et jeune public à partir de 9 ans )

Mise en scène :   GEORGES        PAWLOFF

Comédiens  :  Alicia  Grison , Ann Guillaumon-Homs , Aurélien  Pawloff , Georges  Pawloff et Maryse Pawloff - Durée  :  1 h 15                        

 

     Les plus grandes scènes classiques des œuvres de Molière :

* Le Médecin malgré lui        * Les Précieuses Ridicules     

* L’Ecole des Femmes           * Les Fourberies de Scapin

* Le Malade Imaginaire        * Le Bourgeois Gentilhomme

 « Scènes d’anthologie de Molière », ce sont 16 personnages joués par 4 comédiens qui incarnent les personnages des scènes les plus fameuses du répertoire classique. Ici, ce n’est pas le décor qui est authentique mais la langue et la lumière.

La mise en scène, loin d’empoussiérer les œuvres représentées en fait ressortir toute la modernité.

Le décor minimaliste met d’autant en valeur le jeu des comédiens et la poésie des mots. Rien d’autre que le texte.

Des changements de costumes à vue, une ambiance sobre qui titille la curiosité et les comédiens apparaissent alors dans de somptueux costumes d’époque ou parfois renversants de modernité.

L’action ne s’alourdit jamais grâce au tempo de la comédie voulu par Molière.

Présentation :

Les œuvres de Jean-Baptiste Poquelin traversent le temps et Molière reste un auteur fondateur. Il nous paraît essentiel que les jeunes générations s’abreuvent à la source de ce long fleuve qu’est devenu le théâtre. Il n’est pas de création contemporaine qui ne fasse référence aux différents caractères que Molière a su dépeindre avec tant de talent. C’est un pont par-dessus les siècles ; l’avare du 17ième siècle n’est-il pas encore le même aujourd’hui ?

Les costumes et la mise en scène pétillante vous feront redécouvrir et apprécier l’ambiance de ce 17ième siècle, accrocheront les regards des jeunes et leur donneront, on l’espère, le goût du théâtre. 

Objectifs :

Notre intention est de permettre aux jeunes de découvrir (et aux plus âgés de redécouvrir) la langue de Molière à travers une anthologie choisie pour sa dimension comique. Lors des représentations en milieu scolaire, nous mettrons en place des rencontres en amont et à l’issue de la représentation afin d’échanger autour de l’œuvre de Molière et du théâtre en général.

Notre projet s’inscrit aussi dans une démarche pédagogique : découverte de l’œuvre de Molière, sa richesse humaine, la puissance de sa langue, l’inventivité, la créativité des situations, sa filiation et sa projection à notre époque.

Outre le côté littéraire de Jean Baptiste Poquelin que l’on étudie en milieu scolaire, nous voulons montrer au plus grand nombre et mettre en lumière l’homme de théâtre, le comédien, le metteur en scène et directeur de troupe qu’était Molière.

Intérêt départemental et régional :

Collaboration et partenariats envisagés avec les collèges, lycées et structures associatives en lien avec la jeunesse.

 

Théâtre du Réflexe

17 rue de la couloumine 66680 Canohès

Téléphone fix04  68  55  39  77

Portable 06  52  19  49  69

Mail theatredureflexe@hotmail.fr

Site  www.theatredureflexe.com

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  • professeur de lettres, écrivain, j'ai publié plusieurs livres dans la région Languedoc-Roussillon, sur la Catalogne, Matisse, Machado, Walter Benjamin (éditions Balzac, Cap Béar, Presses littéraires, Presses du Languedoc...
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