Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.
* débat au bar CASSANYES, place Cassanyes à Perpignan, animé par Nicolas Caudeville "L'Archipel contre-attaque", samedi 14 mars à partir de 11heures. Lectures d'extraits, discussion…dédicaces…
Les citoyens, les élus, les candidats aux élections…sont tous les bienvenus. Pour "Perpignan la positive" !
Jean-Pierre Bonnel a réuni dans ce livre les articles politiques et polémiques publiés dans son blog, de novembre 2013 à janvier 2015. Le recueil couvre la chronique locale qui a tenté d’analyser les programmes et les promesses des candidats aux élections municipales à Perpignan. Les protagonistes principaux en sont J.M.Pujol, J. Cresta, Clotilde Ripoull, L. Aliot, J. Codognès, M. Pinell, M. Sitja....
Hors de tout groupe partisan, le blogabonnel a cependant pris parti pour la candidate «sans étiquette» C. Ripoull. Cet engagement ponctuel n’enlève rien à la liberté totale de son auteur, libre de toute influence financière ou idéologique.
Il n’ambitionne rien, ni poste ni reconnaissance; son rôle est d’alerter, de montrer ce qui ne va pas, et d’apporter des suggestions. Il a sans doute en lui cet «esprit Charlie» tant célébré en janvier 2015...
Prix: 14euros
Les mots en scène éditeur
Jean-Pierre Bonnel
365 jours avec J.M. Pujol
Politique et Polémiques
Chroniques des Municipales à Perpignan
Avec le maire de Perpignan, élu depuis un an, mais au conseil municipal chargé des finances depuis des années, c'est l'insécurité permanente :
* Insécurité économique : La ville est endettée, le centre-ville est déserté, les boutiques ferment… Il faudrait une décision RADICALE pour sauver le centre historique !
*Insécurité financière : L'Agglo est dans une situation financière inquiétante: M. Pujol rêve à une communauté urbaine (Perpi n'est pas Bordeaux, ni Lyon…)
*Insécurité sociale : les quartiers sont dans l'insécurité (violence, bus caillassés, insultes, bagarres, vols, trafics en tous genres). Dans son blog, J.M.Pujol accuse le gouvernement : facile de rejeter la responsabilité sur l'Etat (rappelons que Sarko a supprimé la police de proximité) alors que la police municipale devrait être mobilisée et les quartiers encadrés par des éducateurs... A cause d'une politique communautariste, les frictions entre clans religieux ou raciaux ne peut que s'exacerber ! Revenons à une gestion laïque permettant de faire vivre ensemble, mélangées, non ghettoïsées, toute les communautés (Gitans, Maghrébins…)
Pour l'emploi : inutile de rappeler le chômage (un maire peut-il créer des emplois ? Il peut, en tout cas, supprimer la Maison de l'emploi ! On murmure que c'est Mme Alduy qui en avait assez : on l'a casée à l'Agglo… Les gens en ont assez des postes de bureaucrates bien payés, qui cumulent et sont les champions de l'absentéisme !)
* Insécurité culturelle : M. Pujol est le maire des suppressions : le festival estival, les Beaux-Arts…L'atonie du centre ville fait, en outre, qu'une galerie aussi ancienne que "La main de fer" ferme ! Le centre d'art contemporain, après une expo louée sur Capa, la valise…ferme pendant trois mois ! On ne peut pas accueillir des artistes locaux ??? Les responsables culturels sont silencieux sur leurs projets ! Ni le délégué à la culture ni le directeur de la culture au vernissage de Patrick Loste, samedi dernier !!! M. Saez, directeur de la culture, travaille, le directeur de l'office de tourisme nous dit que ça se prépare, ça va venir…on veut bien les croire…
Perpignan serait une "ville d'art..." Quand on supprime l'Ecole d'art, je pense que ce titre est usurpé !
* Insécurité politique : face au danger frontiste à Perpignan, aux inimitiés à droite, à l'image floue, mal perçue du maire, à une absence d'opposition dans la ville …le citoyen voit l'abstention comme un refuge ou le vote pour le FN comme un dévouloir de la dernière chance...
Voici le bilan (provisoire)… Nous devrions fêter les 365 jours de notre maire, or…Le coeur n'y est pas…Mais il faut en débattre ! RV donc demain à 11 h, place Cassanyes, chez Gilles, un lieu de dialogues courageux !