Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.
DE MIRó À BARCELó
ColleCtion GelonCH VilADeGUt
GALERIE
DES HOSPICES
Av. Sainte-Marie • Canet-Village
P >100 m • Ouvert tous les jours de 15h à 18h30
MIRO Joan
“FiGUres A lA sorrA” A lA reVistA “D’ACí, D’Allà” 1932
© Successio Miro / Adagp Paris 2014
13 juin > 13 septe
mbre 2015
Entrée libre
© Ville de Canet-en-Roussillon
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** Café philo le dimanche 14 juin, à 18h, au Théâtre de l’Étang : L’inné et l’acquis, débat animé par Françoise Fourquet-Turrel.
Ce café philo clôt la saison culturelle de l’association Les Rendez-Vous de Saint Estève.
Entrée libre et gratuite.
Qu'est-ce qui, dans le caractère et le comportement d'un individu, relève de « l'inné », c'est-à-dire de ce qui est inscrit dans son patrimoine génétique dès la fécondation, et qu'est-ce qui relève de « l'acquis », c'est-à-dire de toutes les influences et déterminations qu'il reçoit de son environnement dès la naissance ? La question est extrêmement complexe car les connaissances scientifiques en la matière (génétique, psychologie, anthropologie, sociologie) sont en constante évolution. De plus la question n'est pas neutre: pour des raisons souvent idéologiques, on a tendance à confondre héritage génétique et héritage culturel. Il s'agira donc d'abord de faire le point – de manière sommaire - sur l'état actuel des savoirs et des positionnements, pour ensuite ouvrir le débat.
Françoise FOURQUET-TURREL est professeure agrégée de Philosophie et d’Histoire des Arts, ancienne élève de l’École Normale Supérieure de Fontenay-aux-Roses. Elle enseigne depuis 1985 au lycée Charles Renouvier de Prades. Elle est aussi conférencière à l’U.P.C. (Université Populaire du Conflent)
Le Café philo est parrainé par
Pour tous renseignements : Tel : 06 32 47 21 14 ou Mel : rdvse@rdvse.fr
Les Rendez-Vous de Saint-Estève, créateurs d'évènements culturels.
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**LA LIBRAIRIE TORCATIS vous invite à la présentation de l'ouvrage de
Roger Hillel
LA TRIADE NOSTALGERIQUE
paru aux éditions Alter Ego
Le Mardi 16 Juin 2015 à partir de 18H00
Ce livre raconte comment Perpignan est devenue la capitale des nostalgiques de l’Algérie française (les "nostalgériques") avec la création en 2003 d’une stèle OAS, d’un" mur des Français d'Algérie disparus "et d’un centre de documentation des Français d'Algérie en 2012.
Rien de cela n’aurait été possible sans le soutien partisan de la mairie de Perpignan au lobby pied-noir du Cercle algérianiste.
Roger Hillel s’est lui-même impliqué pendant dix ans dans un collectif qui s’esr battu en vain contre cette triade incongrue et la falsification de l’histoire franco-algérienne.
Au-delà de la narration des péripéties de ce combat, l’auteur s’attarde sur une des plus stimulantes expériences de sa longue vie militante : la découverte de l’existence de pieds-noirs progressistes.
Ainsi, reconnaît-il que sans eux, il n’aurait jamais pris conscience du traumatisme subi par les pieds-noirs du fait de leur exode de 1962. Il montre aussi comment au cours de son long cheminement, il a acquis la certitude de l’inanité de « la guerre des mémoires » et que pour y échapper, le recours aux travaux des historiens qualifiés était un passage obligé.
Roger Hillel, ancien professeur d’université, est depuis plusieurs années journaliste au Travailleur Catalan. Il s’y est spécialisé dans le traitement des questions relevant du colonialisme passé et présent et de toutes les manifestations de racisme et de xénophobie. Depuis 2005, il est l’un des animateurs du collectif d’organisations d’abord dénommé “Non au musée de la mairie de Perpignan à la gloire de la colonisation”, puis “Pour une histoire franco-algérienne non falsifiée”.