Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.
Exposition de Caroline CAVALIER, samedi 12 décembre, 19 h, restai "Les 3 journées", rue des 3 journées
*** LES ARTISTES DOIVENT CONTINUER
CAR D'AUTRES ont tiré en aveugles, pour éteindre les lumières et abattre ce qui rassemble les cœurs dans la joie !
MAIS, CEUX LÀ, NE GAGNERONT PAS !
Ils veulent émonder les flammes du plaisir, de la musique, la parole des poètes et des amitiés réunies !
ILS NE GAGNERONT PAS !
Car Ils craignent plus que tout cette liberté souriante et joueuse qui fait face à leur sécheresse d'âme et à leur désir de détruire.
ILS NE GAGNERONT PAS !
Car Ils terrorisent pour éradiquer tout ce qui ne procède pas de leurs détournement ''pseudo-religieux''... Car là où leur Dieu parle d'amour, ils creusent des mares de désert ensanglantées où les enfants ne peuvent plus se regarder !
ILS NE GAGNERONT PAS !
Car c'est par la terreur qu'ils frappent (même leurs propres frères,,,) pour ne laisser derrière eux que douleur et pitié !
ILS NE GAGNERONT PAS !
Car, faut-il que leur malheur soit grand pour se parer de ceintures de mort et distribuer au hasard l'apocalypse, béance de leur crâne et vide de leur thorax ...
Non, ILS NE GAGNERONT PAS, car ils ne sont qu'assassins .
Et que rien ne s'élève de fort, de beau et de digne, par le crime.
A l'instar de la formule qui, voilà 3 ans, résumait le courage des artistes (et nombreux spectateurs),traversant les haies d'horreur des néo-nazis de Lyon et d'Athènes aux entrées des théâtres...(certes, j'y ai laissé quelques dents !), mais j'ai senti, vécu et compris, comment on reste droit, face à la haine pure, quand
« LES ARTISTES N'ONT PAS PEUR !! »
C'est pour cela que nous convions tous ceux qui peignent, chantent, font musiques, dansent ou «théatrisent», à nous rejoindre pour cette rifle du 40'ième anniversaire, qui dans tous les cas, sera pour la barbarie une scarification insupportable, car ils ne peuvent accepter un PARTAGE ARTISTIQUE JOYEUX !
Comment pourraient-ils gagner ?
A vous recevoir, Camaros,
dans l'amitié de ce qui nous ressemble
et souvent nous rassemble !
Guy JACQUET (directeur du Théâtre de la Rencontre)
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***Teatro PICARO, à Toulouges, 20h30, ce jeudi :04 68 55 55 89
PRÊT-Á-PARTIR
L’HISTOIRE
Quatre comédiens déchus sont tout ce qu’il reste d’une compagnie de théâtre dont l’heure de gloire n’est désormais plus qu’un
vieux souvenir. C’est alors que la compagnie, proche de la faillite, obtient le grand privilège de jouer son nouveau spectacle à la Cour du duc. C’est la dernière chance pour la troupe de retrouver le succès et de fuir la misère où elle s’enfonce. Le voyage vers la Cour est interrompu par un accident au beau milieu d’un bois. On assiste alors auxrépétitions du spectacle qui décidera du sort de la compagnie. Un roi obèse traversera une série d’aventures et de métamorphoses pour conquérir ce que le pouvoir seul ne peut pas lui donner. Les répétitions terminées, nos quatre comédiens vont-ils être prêts à partir ? Quelque chose va se passer dans ce bois, quelque chose que personne n’attendait…
DÉCORS ET COSTUMES
Le décor de « Prêt à partir » a été pensé pour plonger le public dans une atmosphère de fantaisie. Le fond noir et le sol évoquent une forêt perdue, un espace féérique où l’on voit apparaître une roulotte poussée par des comédiens. Cette roulotte cache des surprises. Elle s’ouvre comme une fleur pour devenir tour à tour un cimetière, un palais royal, une prison, la tour d’un château et même un terrain d’entraînement. Chaque nouvel espace est évoqué à travers des détails, avec l’intention de surprendre le public par son apparition et de stimuler son imagination.
Comme le décor, les costumes ont été conçus pour donner un côté fantaisiste. Nous avons essayé de donner un plaisir esthétique au public, de l’inviter à entrer dans l’univers du spectacle par le biais d’une fascination visuelle entre le poids des matières utilisées et l’originalité de leur coupe.
NOTE D’INTENTION
Dans « Prêt à partir », les auteurs s’intéressent aux relations humaines dans une société où la course au succès est prioritaire et où nous
sommes amenés à juger de façon
superficielle la réalité qui nous entoure et les personnes que l’on rencontre. Une société où l’on juge ou l’ on est jugé sur la base de l’apparence, où réalisation personnelle et bonheur deviennent parfois équivoques.
“Prêt à partir” est une écriture qui mélange le registre du théâtre comique de la comédie avec le drame de l’individu dans un système social parfois écrasant.
Pourquoi traiter ces thématiques sous la forme d’une fable théâtrale?
Pour se servir de la folie et de la fantaisie de ce style, qui peut être si près de la réalité.
Pour mieux souligner les contradictions de l’être humain et créer des situations comiques.
Pour le pouvoir évocateur de la fable.
Pour donner au public la possibilité de s’évader dans un monde distant de son quotidien, qui fait écho à sa propre réalité.
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- Débat : le pont sur le Réar
Les médias (L'Indépendant- la Clau...) l'ont annoncé depuis deux ans : le pont sur le Réar va être construit par l'Agglo.
Au début de l'année 2014 (avant les municipales de mars), un panneau a été érigé au passage à gué situé sur la VC7, route menant de Villeneuve de la Raho au Mas Palégry, à TEchnosud et à Perpignan (Moulin à vent).
Il m'avait semblé que cette érection venait à "pont nommé" juste avant les élections…Promesse de Mme Irles..?
En tout cas elle a été réélue, les urnes ont parlé ! A présent elle organise (mardi 8 décembre 2015) une réunion pour informer les citoyens : fort bien ! Les travaux vont débuter dès le 11 janvier 2016, super !
Ce n'était donc pas un voeu pieu … L'agglo a trouvé des crédits…à suivre…
On repassera par cette route, redessinée, dans un an…Patience.
JPB
*commentaire sur mon blog :
BRUNELLE
08/12/2015 10:15
Répondre
Je reviens sur l'introduction de votre post en septembre 2014.... Vous avez terminé par un ... C'était -bein sûr- une promesse électorale de Mme Irles, mairesse de La Raho ! Merci Jacqueline pour cette bonne blague ! Elle a été réélue ! Et vous êtes bien tombés dans le panneau… Permettez moi de vous corriger 2 points: le premier: le terme "mairesse" désigne parfois la femme d'un maire, souvent par plaisanterie. L'usage administratif actuel en France veut que l'on dise « Madame le maire ». Ensuite vous vous gausser d'une bonne blague pour vous, je suis au regret de vous annoncer le début des travaux en janvier 2016 et contrairement à ce que vous vomissez dans votre blog, un pont, qui plus est, financer par la communauté d'Agglo et par le CG66 ce n'est pas une simple construction en petits blocs de plastique empilables, mais un montage qui est obligé de composer avec les aléas des écologiques, des soi-disant défenseurs de l'environnement mais qui râlent dès que, par mesure de précaution, la ville de Perpignan et mon très beau village de Villeneuve de la raho, mettent barrières et panneaux pour empêcher les inconscients de venir grossir la liste des accidents et plus sur ce point noir.
Alors avant de baver sur les gens, on se renseigne et on fait un peu preuve de patience car tout vient à point à qui sait attendre.