Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.
Le nouveau maire a voulu acheter du restau "La Cigale", avenue J.Bourrat, pour en faire un poste de police.
Ce n'est qu'une virtualité, une coquille vide, une affaire de com, comme toujours, l'insécurité devenant exponentielle à Perpignan, malgré les promesses et les recrutements et les caméras de M. ALIOT...
En fait savez-vous pourquoi cet attachement pour cette Cigale : pas simplement pour un lieu de pieds-noirs, pour un patrimoine culinaire et convivial de la ville...
Non,il faut se référer à la "section Cigale, mot adopté dans la fachosphère, terme fasciste, qui sert à camoufler le salut nazi :
"Sieg Heil"...
Le nouveau maire a voulu acheter du restau "La Cigale", avenue J.Bourrat, pour en faire un poste de police.
Ce n'est qu'une virtualité, une coquille vide, une affaire de com, comme toujours, l'insécurité devenant exponentielle à Perpignan, malgré les promesses et les recrutements et les caméras de M. ALIOT...
En fait savez-vous pourquoi cet attachement pour cette Cigale : pas simplement pour un lieu de pieds-noirs, pour un patrimoine culinaire et convivial de la ville...
Non,il faut se référer à la "section Cigale, mot adopté dans la fachosphère, terme fasciste, qui sert à camoufler le salut nazi :
"Sieg Heil"...
Comment le photographe Jonas Bendiksen a dupé «Visa pour l'image»
Leroy trompé par son "ami" Bendiksen...
Aveuglement de Magnum et de l'équipe de Visa, à Paris et Perpignan..!!
Le photographe publie un livre " parodie de mauvais photojournalisme, une satire de ce que moi et mes collègues faisons... Il ressemble à ce qu'on voit beaucoup trop dans le métier, avec des images "photoshoppées", des couleurs désaturées, etc..."
« C’est une “fake news” sur les producteurs de “fake news”. L’histoire de ce centre de production de fausses informations qu’est Veles est vraie. L’histoire de la découverte puis de la falsification du livre de Veles est vraie. Mais tout le contenu à proprement parler est faux… ».
Le 17 septembre, dans un entretien fleuve accordé à l’agence de presse photographique Magnum, le photographe norvégien Jonas Bendiksen revenait longuement sur son projet « The Book of Veles » : un livre photographique sur la désinformation dans le paysage médiatique contemporain. Titré “How Jonas Bendiksen hoodwinked the photography industry” [« Comment Jonas Bendiksen a trompé l’industrie de la photographie »]), l’article raconte pourquoi et comment ce photojournaliste en est arrivé à produire un contenu photographique entièrement truqué et à faire illusion auprès de ses confrères. Dénonçant ainsi par l’exemple les dangers d’un fléau grandissant…
Surpris que ses confrères n’aient rien remarqué (bien que ce soit pour lui un excellent indicateur de combien il avait visé juste), le photographe envoie son travail au festival de photojournalisme Visa pour l’image ; qui d’autre que cette équipe qui sélectionne tous les ans le meilleur du métier pourrait démasquer la supercherie ? Il n’en est pourtant rien, et quand le directeur Jean-François Leroy lui propose de projeter son sujet, Bendiksen culpabilise – mais ne recule pas…
Le 20 septembre, Jean-François Leroy publie sur Facebook et Twitter un communiqué de réponse, en anglais. Se disant « piégé » et « abasourdi », il présente ses excuses au public. « Aucun système n’est parfait […] et Visa ne fait pas exception. » « Nos équipes, malgré tous nos efforts pour éviter des erreurs, ne peuvent jamais prétendre être infaillibles. »
*Pour en savoir plus, voir Marianne du 22 sept. et Le Monde du 28.9.2021