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Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.

La chronique de Daniel CAPDET : Bienvenue aux nouveaux - Vieillesse de PIVOT -

La chronique de Daniel CAPDET : Bienvenue aux nouveaux - Vieillesse de PIVOT -
La chronique de Daniel CAPDET : Bienvenue aux nouveaux - Vieillesse de PIVOT -
La chronique de Daniel CAPDET : Bienvenue aux nouveaux - Vieillesse de PIVOT -

La chronique de Daniel CAPDET

 

Bienvenue aux nouveaux. 

 

Il fait chaud ! (Et ils ont pédalé jusqu'au bout ces esclaves modernes ! Mais chapeau quand même ! )

 

Dur de réfléchir. (Déjà qu'en temps normal je surchauffe...)

 

Cependant, il m'est arrivé un truc qui n'arrive qu'aux autres et que je trouve alors très marrant, ou alors qui arrive dans les films et c'est aussi très très marrant. Mais sur le coup, ce "truc" ne m'a pas fait rire du tout contrairement au type arrêté dans sa voiture, vitres ouvertes et qui en a vu beaucoup plus que moi-même...

 

Merci Joe Dassin (Air des "Champs Élysées") : 

Je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu, 
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui 
N'importe qui, mais ce fut ''quoi'' car j'entendis 
Un petit "ploc" et ressentis un drôl' de truc sur ma tête nue !

Ô moineau troué (Padam padam pa) Ô piaf en diarrhée (Padam padam pa)
Au soleil, à Vernet, devant des étrangers 
Tu aurais pu attendre un peu pour te soulager ! 

J'ai dit "putain, sale enfoiré, saloperie, con de moineau ! 
Je connais pourtant d'autres fronts pour te soulager
Celui du maire ou du curé, du bistrotier, du policier...
Ils étaient quand même nombreux, ce jour les pecnots ! "  

Ô moineau troué (Padam padam pa) Ô piaf en diarrhée (Padam padam pa)
Au soleil, à Vernet, devant des étrangers 
Tu aurais pu attendre un peu pour te relâcher !...

(J'ai 42 autres couplets à disposition. Et j'en aurai 43 au premier qui répondra !). 

Bref ! C'est pas tous les jours qu'on se fait littéralement "chier dessus". Mais du coup, dans une posture d'amour universel positivons. Positivons 3 fois :

1° - Aucun de mes copains ou copines n'a vu la scène et là, je crois qu'il y a un dieu car sinon on en aurait parlé jusque chez les infirmiers de bas étage ! (Cependant je peux vous raconter l'épisode, car aucun des mes copains (et copines) ne sachant ni lire ni écrire, je suis tranquille, ils n'en sauront rien ! Sinon, je saurai qui a cafté !)

2° - Ça va faire une belle histoire à raconter au touriste, témoin depuis sa voiture de la scène où il m'a réellement entendu dire, car je me croyais seul : "Putain de moineau à la con, sale enfoiré !" Puis pendant que je me reniflais les doigts englués d'un truc que j'avais ramassé dans les cheveux, j'ai vu le curiste en cuisson dans son 4x4 et, pour l'honneur des vernetois, je pense que j'ai rajouté : "Mais je te pardonne, bel oiseau. Je suis même fier d'avoir servi de coussin protecteur à la fertilisante semence que tu offrais à la Terre, notre Mère à tous ! " (En fait, je ne suis pas très sûr d'avoir dit ça, mais je demande à mes historiens d'immortaliser cette scène et ce dialogue. Merci ! )  

3° - Je n'avais rien à vous raconter (je suis en congé intellectuel). Et pof ! Et toc ! Et Pioc ! 

Daniel. 

PS : Va vraiment falloir que j'achète du shampooing un jour ! Mais je ne sais pas trop à qui demander comment on s'en sert, la plupart de mes copains n'en ont plus... Des cheveux !

RE-PS : L'affiche (en pièce jointe) est donc "replantée". Début du compte à rebours (en jours) : 0... Avec un peu de chance, la ligue surveillance des vertus ne sait pas se servir d'un téléphone portable...

RE-RE-PS : L'ensemble des chroniques (rebaptisées de Pioc Escoltellufa) est visible sur

https://pioc-escoltellufa.blogspot.com/

 

 

Lectures

de l'été

 

au hasard de mes lectures estivales, très peu cohérentes et dans tous les sens (Vie d'Albert Speers, 1940 par H. Amoureux, Baudelaire par Sartre, le Contre Sainte-Beuve de Proust, revus, relus...)...

 

    je vous conseille le "...mais la vie continue", de Bernard Pivolt : je ne l'avais pas lu à l'époque (2021, A. Michel), mais le thème de la vieillesse et de la décadence du corps est traité avec humour et une grande sensibilité ! De la philosophie, du stoïcisme de la part d'un homme qui est d'abord épicurien...

ça fait du bien ! La lecture vaut bien un médoc, non ??

 

JPB

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