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Création et information culturelle en Catalogne et... ailleurs.

Bruno, le p'tit nouveau : Bruno Nougarède sort de l'anonymat

B. Nougareyde

B. Nougareyde

Politique - Municipales 2026 : qui est-il..?

 

Bruno Nougarède sort de l'anonymat

 

Il a ce jour les honneurs du quotidien local. Il lance une campagne sur les réseaux. Il diffuse largement son tract dans les boîtes à lettres de Perpi... C'est un vrai homme de Lettres...

 

Il veut se faire connaître: il a raison car on ne le connaît pas ! D'ailleurs, dans son sondage, assez banal (que diable, il faut user de l'hyperbole : proclamer "je serai votre maire à 200 % et à plein temps"...), il ne se présente pas ! 

Qui est-il, le chevalier masqué ? 

 

Conseiller municipal d'opposition, il est comme Aliot, beaucoup dans la capitale (directeur d'éditions : quand va-t-il me publier..?); catholique sincère, il n'en oublie pas le sexe : il a su faire huit enfants !!!

 

   B. Nougaréde ne veut pas faire comme Aliot, qui se pavane sur les petits écrans parisiens..!

Donc, retour au local, au territoire, au plus près des citoyens !!

 Ainsi, naquit "l’association 100 % Perpignan", qui a lancé une grande consultation auprès des Perpignanais se voulant la base d’un projet pour la Ville. 

"Big consultation", pour "un projet innovant", n'ayons pas per des mots...L'éditeur en est le spécialiste...

 

Alors, avec Bruno, ce sera la fin de la méthode PUJOL, la disparition du clientélisme et du laisser-aller.?

Ce sera la mort des lenteurs aliotesques (reconstruction de Saint-Jacques)? Tenter de  remettre de l'humain dans la sécurité..?

 

Pourra-t-il, selon les souhaits de Louis-le voeu pieux,  jouer de la video-surveillance, empêcher les trafics, muscler la police municipale..?

 Etre plus regardant sur les subventions culturelles, en supprimant le copinage et le requinage..??

 

J.P.Bonnel

 

 

 

- - - 

L'entreprise de B. Nougarède :

 

   Créées en 1943, les éditions du Rocher témoignent d’une histoire particulière, qui est aussi celle de leur principal fondateur, Charles Orengo (1913-1974), journaliste, puis éditeur. «Elles font partie des rares maisons nées sous l’Occupation, rescapées et toujours dynamiques aujourd’hui», assure leur directeur de publication actuel, Bruno Nougayrède. Petit retour en arrière: c’est le 1ernovembre 1943 qu’est née cette maison d’édition monégasque, sous l’impulsion de Charles Orengo donc, assisté de l’écrivain et ancien ministre radical Jean Mistler et de l’imprimeur ardéchois Jean Bétinas, avec l’aide financière et éditoriale des éditions Plon. L’affaire n’était pourtant pas évidente: rappelons qu’à cette période, le territoire français est sous le joug nazi, et le papier fait partie des denrées les plus compliquées à trouver. A la Libération, Charles Orengo n’oubliera d’ailleurs pas l’aide apportée par Plon, et il livrera un témoignage écrit qui contribuera à blanchir cette maison d’accusations de collaboration. 

Charles Orengo est né sur le territoire de la principauté le 22août 1913, même s’il était de nationalité française, d’un père croupier au Casino par ailleurs exploitant d’une ligne de cars entre Monaco et Sospel, et d’une mère monégasque — passionnée de livres. Il commence sa carrière au bureau de la principauté du journal Le Petit Niçois, puis il la poursuit au sein de l’agence Havas de Monaco. Il est alors chargé de trouver des annonceurs pour l’annuaire des téléphones. Lorsqu’arrive la Seconde Guerre mondiale, il est enrôlé dans les chasseurs alpins.

 

Mais c’est en tant qu’éditeur qu’il va s’épanouir. «En le voyant s’enthousiasmer pour un manuscrit, vanter un de ses auteurs, raconter avec feu l’ouvrage qu’il allait publier, on sentait bien que, pour lui, le livre n’était nullement un objet inanimé, mais bien un élément essentiel de la vie. Cela au même titre que l’air, l’eau, le soleil, les trois dons du ciel après lesquels ce citoyen de Monaco n’aura cessé de soupirer», écrit ainsi Pierre Viansson-Ponté, éditorialiste au Monde, lors de sa disparition, en 1974.

(C) Monaco-hebdo

 

 

- - - - 

 

VALAISON contre BONNEL (polémique 2)

 

(certains l'appellent "V. La Cloche" !)

 

  *Mme Valaison m'écrit :

 

MESSAGE A BONNEL SUITE A SES PUBLICATIONS

Brouillon ( ?)

 

 Monsieur,

 

Après notre rencontre en 2013, vous m’avez soumis un texte tout à fait correct, et qui ne nécessitait que de petites corrections faites en couleurs sur votre copie.

 

Mais qui êtes-vous donc Monsieur Bonnel ?

-Pour me renvoyer un autre texte qui n’avait rien à voir avec le précédent.  que vous considériez sans doute comme définitif ce dont je ne me suis aperçue que récemment. Vous faisant alors toute confiance, j’avais eu le tort de le classer sans le relire.

 

Plus tard, désapprouvant le fait qu’un président d’association/loi 1901, donc apolitique (vous-même), prenne une position politique dans le cadre des élections municipales de Perpignan, je vous demande de ne pas publier ce texte. Vous avez tout à fait le droit d’exprimer vos opinions politiques, mais quand on est président d’une association apolitique, on reste discret. Du moins est-ce là mon éthique personnelle, et j’avais donc aussi le droit  de vous demander de retirer ce compte-rendu  de votre prochaine publication.

 

 Vous faisant encore toute confiance, je ne vous ai pas demandé de vous y engager par écrit.

Effectivement, le texte que vous avez publié est né sous votre seule plume.

 

Mais qui êtes-vous Monsieur Bonnel ?

Pour vous permettre de publier un texte qui se présente comme un compte-rendu de notre rencontre et de notre échange, mais  qui dénature complètement ce que j’avais dit, et que vous aviez transcrit tout à fait correctement dans un premier envoi ? Le vôtre contient de nombreuses inexactitudes. Or vous aviez tous les renseignements exacts sur le premier texte.

 

Qui vous autorise à dire que Dina et moi-même étions intimes, alors que je vous ai dit que nous étions proches ? Qui vous autorise à dire que Dina Vierny en voulait à mort à Jean-Pierre Barou, éditeur du livre de Hesse « Indignez-vous »? Je vous ai simplement dit que cela s’était mal passé entre eux, et c’est tout. Dina avait mieux à faire que de ressasser sa rancune ; elle se contentait d’oublier très vite la personne.   D’autant que le livre en question a été publié en 2010, soit un an après sa mort !  

 

Pourquoi dire que, lorsqu’il a fallu donner un nom à un lycée de la ville, et choisir entre Maillol, Camus et Lurçat, le nom de Maillol n’a pas eu une seule voix ?Je vous ai simplement dit que ce n’est pas Maillol qui a été choisi, mais Lurçat.

 

Qui vous autorise à changer le prénom de Jacques de Lazerme pour celui de Carlos, son oncle, et d’expliquer l’échec du projet d’un musée Maillol dans les écuries de M. de Lazerme, par une raison que vous seul semblez connaitre et qu’en aucun cas je ne n’ai pu dire puisque je ne la connais pas ?

Vous déformez aussi un échange fructueux et cordial que j’avais eu avec Jean-Paul Alduy. Il ne s’agissait absolument pas d’accepter, ou non, un don important fait en dollars pour le musée. Quel maire aurait pu refuser ?

 

Vous me faites parler de ma confiance envers Claire Muchir : elle est réelle, mais je vous avais parlé d’Elisabeth Doumeyrou, brillante conservatrice et historienne de l’art,  qui en 2013 avait la responsabilité du  musée

Et encore… la filiation abracadabrantesque  que vous inventez entre Martin Vivès et Jacques, le fils du peintre et sculpteur Clavé…

Je rappelle enfin que je n’ai jamais travaillé à Sète, ni au musée, ni dans une autre structure.

 

Mais qui êtes-vous Monsieur Bonnel ?

Pour commencer par dire  au sujet de Teresa Rebull: « Je ne suis en aucun cas autorisé à parler d’elle, mais… », et pour en  parler de la page 8 à la page 34. Je ne suis donc pas la seule dans ce cas, ce qui ne me console pas vraiment…

 

Je dois avouer n’avoir pas tout lu : outre le texte qui me concerne, j’ai lu celui que vous consacrez à Marie- Pierre Baux, dont vous semblez saluer le travail, maisà qui donnez un coup de griffe à la fin, en note « Ils répondent dans l’intimité que Mme Baux a laissé une sacrée ardoise ». Si c’est dans  l’intimité, cela n’offre aucun intérêt, et je ne peux croire que vous cherchiez à lui faire du mal, comme vous semblez vouloir le faire pour moi, en dénaturant mes propos.

 

Au sujet d’Eliane Comelade : elle vous parle d’un adjoint au maire qui l’a encouragée, et vous citez (p. 59) Emile Roudières. Il doit plutôt s’agir d’Emile Roudayre, adjoint de Paul Alduy, homme affable, efficace et à l’écoute.

 

Mais qui êtes-vous Monsieur Bonnel ?

Pour avoir osé mettre en couverture d’un jaune vif de votre dernière publication, la photo de la Venus au collier de Maillol, affligée d’une baretina bien rouge, portant sur son bras gauche, le drapeau catalan, à la façon d’un drap de bain. Vous n’avez donc aucun respect pour les oeuvres d’art et les artistes, même quand il s’agit de Maillol ? Ni d’ailleurs, de respect pour le drapeau de tout un peuple.

 

 Je sais que la liberté d’expression est un droit fondamental, et vous êtes donc libre d’avoir imaginé ce montage photographique. Mais vous n’êtes pas sans ignorer que la diffusion et la reproduction d’œuvres d’art (livres, ou autres moyens) est soumise à des droits d’auteur. Certes l’ouvre de Maillol est tombée dans le domaine public, mais le droit moral est conservé par ses ayants-droits tant qu’il y en a. J’imagine assez mal la Fondation Maillol vous donner l’autorisation de publier cette photo.

 

Je ne dirai rien des textes consacrés à Maillol, sauf que ressasser les fausses informations, les racontars, est très à la mode et n’apporte rien à la recherche de vérité, recherche  qui est la mienne.  Vous me citez en  contradicteur de ces propos (et je ne vais pas m’en plaindre !), mais je pense que cela ne fait qu’embrouiller les pistes puisque les différents auteurs que vous citez ne sont pas prêts à accepter la vérité. Je ne peux donc que vous (et eux !) inciter vivement à acheter les actes du colloque sur la Résistance à Perpignan, dont la sortie est prévue à l’automne. Vous y trouverez mes réponses à ces questions.

 J’ajoute encore, que p. 145, au sujet des dons ou achats d’œuvres de Maillol à Perpignan, vous êtes en désaccord  avec ce que vous écrivez dans notre pseudo entretien. La réponse se trouvait dans le texte non publié…

De plus, cette brochure ayant été imprimée en 2024, il aurait été astucieux de réactualiser l’adresse de l’entrée du musée Rigaud qui se trouve rue Mailly depuis 2017.

 

Mais qui êtes-vous donc  Monsieur Bonnel pour avoir ainsi trahi ma confiance ?

Croyez, Monsieur, en ma grande déception.

Marie-Claude Valaison, 14 septembre 2024.

 

 

PS : vous comprendrez certainement que j’envoie copie à la Fondation Maillol puisque vous m’avez dit vous-même que son directeur a réagi à la publication intitulée « Aristide Maillol, l’éloquent silence des arts ».  

 

 

 

 

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