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Par leblogabonnel
Olivier AMIEL (à droite) avec le CHE, président dhonneur du MRC, mouvement républicain et citoyen.
Amiel, ni stendhalien, ni à miel ni à fiel, mais à la bonne soupe, pour avoir un poste d'adjoint à la mairie de Perpignan. Dommage pour l'avocat des sans-papiers, mais en perdant la tête, il perd la culture (il était secrétaire national à la culture, mais il s'occupera peut-être de celle de Perpignan)...
Dommage pour cet homme intelligent et plein d'avenir, il a préféré, le traître marxiste, la lutte des places à celle des classes...
Il a cru sans doute, face au danger FN dans la cité catalane, rejoindre un grand rassemblement "d'unité municipale", avec l'UDI, le Modem, les catalanistes (qu'il déteste, refusant de signer la charte pour les langues régionales, une promesse de F. Hollande...) mais il s'est mis à dos beaucoup de monde, la gauche, bien sûr, la droite dure de l'UMP et celle de son parti, ce qui est plus dramatique !
Personnellement, ancien militant du "Mouvement des citoyens", puis du MRC (j'ai été suppléant d'Alain Le Dosseur pour les législatives de mai 2002, dans le département - cf. L'Indépendant du 29 mai 2002), j'apprécie la décision nationale du parti chevénementiste, même si je l'ai quitté, déçu, depuis plusieurs années, tout en gardant de l'estime pour l'ancien ministre de F. Mitterrand...
Dommage pour Olivier Amiel, qui avait apprécié un de mes textes sur la peinture et l'avait installé sur son site ! Preuve que ce jeune homme peut, parfois, avoir du goût et ne pas se tromper...
Aujourd'hui, il s'est fourvoyé !
* Lire le communiqué du Président du MRC, mercredi 8/1/2014
Élections municipales à Perpignan: le MRC s'engage à gauche Le Secrétariat national du MRC ayant pris connaissance de la décision d'Olivier Amiel de rallier la liste de droite, a décidé de le suspendre immédiatement de toutes ses responsabilités et de lui retirer ses fonctions locale, départementale, régionale et nationale. Conformément à ses statuts, le Secrétariat national engage une procédure d’exclusion devant les instances nationales du MRC. A partir de ce jour, Olivier Amiel n'engage plus le MRC et ne peut s'exprimer en son nom. Les militants de Perpignan et des Pyrénées Orientales procèderont dans les jours qui viennent à la désignation d'un nouveau responsable. Le ralliement d'Olivier Amiel constitue une trahison à l'égard du MRC qui est une composante de la gauche, et de ses militants de Perpignan et des Pyrénnées Orientales, qui se battent depuis des années pour changer de politique à Perpignan et ouvrir une alternative de progrès. Cette alternative doit se construire dans les semaines qui viennent autour de Jacques Cresta, qui a la responsabilité de constituer une liste de rassemblement de toute la gauche dans laquelle le MRC confirme qu'il est prêt à prendre toute sa place. |
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