On nous cache tout, on nous dit rien... La chanson de Dutronc est encore d'actualité.
Dans ce département gangréné par les affaires d'argent, de corruption, de complotisme de promoteurs immobiliers, etc...
dans ce 66 traversé par l'idéologie post-vichyssoise, algérianiste et post-fasciste, l'information, incomplète, censurée, souffrant de rétention de la part de médias survivant grâce à la pub et le subvention de la Région ou d'une municipalité (les pages entières payées en période de Noël par la ville du Barcarès, dirigée par M. Ferrand), le citoyen est méprisé, n'a pas droit à la parole.
L'affaire Ferrand, encore une autre... On voudrait savoir pourquoi il jouit de la clémence des juges (combien a-t-il donné au juge véreux..?
L'affaire Stéphane Babey : pourquoi L. Aliot s'est-il débarrassé de son directeur de cabinet..? Le maire accuse S.Babey de trahison et de s'intéresser à une affaire juteuse plutôt qu'à la bonne marche de la mairie... Où est la vérité ? Quel journal a enquêté ? Pas la peine d'avoir autant de médias et sites sur le net (L'Archipel contre-attaque, Ouillade, Made in Perpignan, Vails conducteurs, le site catalan, la Semaine...) pou en savoir si peu... Tous ces journalistes ne sont tout de même pas complices et arrosés par la mairie, la Région ou l'agglomération de Perpignan (où Aliot a réussi à pénétrer grâce au soutien de Ferrand)..??
L'affaire du directeur du théâtre : pourquoi l'attaque de l'adjoint à la culture contre Borja Sitja..? Pourquoi le maire a-t-il placé, d'abord son épouse, puis l'avocat Maurice Halimi à la direction du conseil d'administration..? Va-t-il placer un copain à la tête de la scène nationale..? Pourquoi pas une rumeur, rien, depuis des mois.? L'omerta.? Et que disent les intellos ? Ah, c'est vrai, ils déambulent autour du col de Banyuls...
Que disent les journaux ? Nada ! Pas la peine d'avoir tous ces envoyés spéciaux parisiens de Mediapart, et autres reporters qui devraient nous alerter !!!
L'affaire de l'incendie du mess..? Où en est-on .? Vous ne saurez rien, on vous contactera quand ce sera le temps des élections, bande de citoyens à la noix !
Et tant d'autres mystères politico-judiciaires non élucidés, censurés...
JPB
Affaire FERRAND /
Justice, Alain Ferrand, Perpignan
Alain Ferrand a été une nouvelle fois mis en examen ce jeudi 17 novembre par le juge d'instruction de Marseille pour "prise illégale d'intérêt". Il lui est reproché d'avoir facilité l'achat de masques par des collectivités où il était élu, au bénéfice d'une entreprise dont il serait partie prenante. Selon son avocat, le maire du Barcarès "nie tout".
Le feuilleton politico judiciaire autour du maire du Barcarès vient de connaître un nouvel épisode.
Pour mémoire, Alain Ferrand a été interpellé en mai 2021 et d'abord mis en examen par un juge d'instruction marseillais pour "extorsion en bande organisée et concussion" dans le cadre d'une affaire de taxes illégales imposées à des commerçants et gérants de camping de sa commune. Il aurait exigé qu'ils versent des participations financières indues à la municipalité pour des travaux de voirie, la location de parasols ou la mise en place de chalets pour les fêtes de fin d'année. Des sommes qui auraient été justifiées par une participation aux animations de la station balnéaire. ...
A lire aussi : Village de Noël du Barcarès : Alain Ferrand et quatre autres prévenus au tribunal le 22 mars
... il a été mis en examen jeudi 17 novembre pour "prise illégale d'intérêt par dépositaire de l'autorité publique", en tant que maire, mais aussi vice-président de la communauté urbaine Perpignan Méditerranée, concernant l'achat de masques Covid pour lequel il aurait joué le double rôle d'acquéreur et de vendeur.
En pleine crise sanitaire, il aurait mis en relation des entreprises de commercialisation de masques avec les deux collectivités. Les acquisitions auraient été conclues : pour la commune 10 000 pièces réutilisables à 3 euros chacune et pour l'Agglomération 20 000 pièces jetables à 0,60 € chacune. Mais ces deux commandes auraient été payées à une même société ECEMS (Entreprise Conception Entretien Maintenance Services) logée dans les locaux du complexe Le Marina au Barcarès, où auraient été en outre stockées une partie des livraisons de masques. Une entreprise, selon la justice, dont le maire du Barcarès ne serait autre que le gérant de fait.
... "Je suis d'une sérénité absolue", poursuit-il. "Et puis, si on regarde le contrôle judiciaire, on n'en est plus à un paradoxe. On a dit pique pendre sur Alain Ferrand, on l'a envoyé en prison, et là on le laisse revenir cinq jours par semaine au Barcarès (jusque-là les seules autorisations portaient sur les mardis et vendredis NDLR), dans la mairie dont on dit qu'il est le chef de bande. Et ça, tout en l'interdisant à rentrer chez lui depuis presque 2 ans et à l'obliger à aller dormir à 20 km de là, dans l'Aude. Si l'élu est un voyou, un escroc, un falsificateur et il fait épurer la vie politique française. Mais Monsieur Ferrand ne veut pas être l'objet du fantasme que porte son nom depuis 20 ans".
Contacté ce mardi Alain Ferrand n'a pas donné suite à nos appels.
(C) L'Indépendant du 23 nov 2022 (extraits)
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L’élu des Pyrénées-Orientales, qui avait été placé en détention provisoire pour violation de son contrôle judiciaire, va être libéré au bénéfice d’une erreur de procédure….
10.2.2022
(C) Le Parisien
Affaire Borja / ALIOT
Le théâtre de l'Archipel
- Polémique – Théâtre de l’Archipel de Perpignan : M.L’adjoint à la culture répond au directeur du théâtre (non reconduitpar la municipalitré) au sujet de son post (texte sur les réseaux) contre Marine Le Pen :
André Bonet est avec Louis Aliot et
6 autres personnes
11 avril 2022
RÉPONSE AU POST FACEBOOK DU DIRECTEUR DU THÉÂTRE DE L’ARCHIPEL
Rajouté qu il n y a jamais eu la moindre intervention politique dans les choix artistiques du TDA.
A.Bonet
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A Perpignan, remous politiques autour de la direction du Théâtre de l’Archipel
Le contrat de Borja Sitja, directeur depuis 2016, n’a pas été renouvelé. Il se dit victime de l’hostilité de la mairie, dirigée par Louis Aliot.
Borja Sitja, directeur depuis 2016 du Théâtre de l’Archipel, l’équipement culturel phare de la ville de Perpignan (Pyrénées-Orientales), ne verra pas son contrat renouvelé en juin 2022. Ainsi en ont décidé, lundi 29 novembre, les membres du conseil d’administration de ce lieu inauguré en 2011, labellisé « scène nationale », et évoluant sous le statut d’Etablissement public de coopération culturelle (EPCC). Sur sa page Facebook, le Barcelonais d’origine a affirmé qu’« il s’agit d’une attaque menée par le RN contre [sa] personne ». « Je n’ai d’ailleurs même pas pu m’exprimer lors de ce CA. » Pour le Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles (Syndeac), c’est « la tête de Sitja qui a été coupée par la ville et son maire, Louis Aliot. Nous sommes interloqués par cette décision violente et unilatérale. L’esprit du label d’Etat n’a pas été respecté. »
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