Perpignan, ville engagée dans la transition éco - Cinéma allemand - W.Benjamin, théâtre-musique à Toulouse - Journées du patrimoine -

13 septembre 2023 3 13 /09 /septembre /2023 09:45

Perpignan, ville engagée dans la transition éco - Cinéma allemand - W.Benjamin, théâtre-musique à Toulouse - Journées du patrimoine -

Perpignan engagée dans la transition écologique :

Le World Cleanup Day

est une initiative mondiale qui vise à rassembler des millions de personnes à travers le monde pour nettoyer leur environnement local et prendre soin de notre planète. Cet événement est une occasion unique de faire une différence tangible en matière de protection de notre environnement, de notre faune et de notre flore.

L’an dernier 15 millions de personnes se sont rassemblées dans 190 pays pour ramasser des déchets de toute sorte.

Perpignan, en tant que ville dynamique et engagée en faveur de la transition énergétique et écologique, se doit de participer activement à cette cause globale afin de léguer un environnement sain et préservé aux générations futures.

Pour rappel, Perpignan est engagée dans le label européen « Climat Air Energie », porté en France par l’Ademe. Ce label récompense les collectivités qui mettent en oeuvre des politiques exemplaires en faveur de la préservation de notre planète.

L’engagement de Perpignan c’est aussi de continuer à sensibiliser la population à ces enjeux. Cet événement ne se limite donc pas seulement au nettoyage des berges de la Têt. Le World Cleanup Day, à travers le village des animations et le marché de la seconde main est une occasion d’éduquer et d’inspirer les générations présentes et futures sur les petits gestes quotidiens qui peuvent avoir un impact positif sur notre planète.

Vous trouverez, en pièce jointe, de ce courriel le programme complet de cette nouvelle édition du World Cleanup Day à Perpignan.

Cordialement,

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Walter Benjamin

Sylvain Creuzevault / Pierre-Yves Macé / Arthur Igual

Théâtre / Musique

création / résidence et coproduction théâtre Garonne

23MAI>25MAI

Le metteur en scène Sylvain Creuzevault et le compositeur Pierre- Yves Macé poursuivent leur amitié artistique en cheminant dans l'exil parisien de Walter Benjamin, depuis la moitié des années 1930 jusqu'à son suicide le 26 septembre 1940, à Portbou, à la frontière espagnole. Une pièce théâtrale et musicale pour le comédien Arthur Igual qui interprète le philosophe allemand et son contre masque : un clown.

Paris, 1933. Nombre d'intellectuels allemands, artistes, opposants politiques fuient l'Allemagne d'Hitler et trouvent refuge dans la capitale française. Tandis que ce monde de l'immigration organise le combat antifasciste, Walter Benjamin de son côté, prolétarisé et dans un grand silence, sonde la catastrophe en fréquentant les bibliothèques et les livres pour en tracer les origines et ses seuils de visibilité. Il produit des sortes de « contre-autodafés » philosophiques, littéraires et historiques d'une densité rare, d'une beauté en danger, d'une délicatesse rageuse.

Ces ouvrages forgés d'allégories et d'images dialectiques portent un avertissement au monde. Ils sont une issue dans une impasse, un messisanisme sans Messie. Tel le courageux Bartleby d'Herman Melville répétant inlassablement « I would prefer not to », (« je préfèrerais ne pas »), Walter Benjamin – à l'inverse de beaucoup – se confronte à la barbarie qui s'annonce. Dans la pièce créée par Sylvain Creuzevault et Pierre-Yves Macé – auteur déjà d'une œuvre musicale autour de la figure de Benjamin – le comédien Arthur Igual fait éclater le cri lancé au moment du pacte germano-soviétique de 1939 par ce théoricien majeur du XX siècle, longtemps ignoré.

Retrouvez Sylvain Creuzevault du 28 février au 5 mars avec EDELWEISS (France Fascisme)

Pierre-Yves Macé présente également cette saison à Garonne Variations Belvédère avec L’Instant Donné le 7 octobre 2023 , Notes sur les diapasons invisiblesavec l'Ensemble Dedalus le 10 novembre 2023 et The Game of Life avec Liz Santoro, Pierre Godard et L’Instant Donné les 26 et 27 avril 2024.

Recherche :LANCER LA RECHERCHE

Fermeture de la Galerie Le Château d’Eau jusqu’au 10 septembre inclus.

Lundi 11 septembre à 18h : Vernissage des expositions

Raymond DEPARDON – David BURNETT Septembre au Chili, 1971/1973 et Greger Ulf Nilson

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Théo Combes, Noire Méditerannée

Théo Combes, Noire Méditerannée S

Date et heure04/11/2021 au 04/12/2021
13:00 à 19:00
LieuGalerie le Château d'Eau
PublicTout Public

Exposition de photographie de Théo Combes

« Pendant un an, Théo Combes a cherché les lieux, les visages, les traditions qui rendent compte des traces de l’immigration espagnole, russe, maghrébine, sur la côte méditerranéenne française… Un beau voyage en noir et blanc, dans les regards et les décors. » (extrait F. Roussel)

Théo Combes, Prix Laurent Troude 2020, présente son travail autour de l’immigration en Méditerranée, de Port-Bou à Menton, un voyage à travers une photographie sensible en questionnement permanent.
Cette exposition est présentée avec la collaboration du festival ImageSingulières.

UN QUESTIONNEMENT PERMANENT

Si le point de départ est bien un questionnement par rapport à la façon dont la Méditerranée, de tous temps, a été espace de migrations, il ne s’agit pas, ici d’un nième « reportage » ou « documentaire » sur l’actualité dramatique de cette situation qui traverse l’actualité. Théo Combes a décidé, entre Port-Bou et Menton, d’effectuer un voyage qui est un questionnement ouvert, une recherche de signes, une façon d’aller à la rencontre des autres, de se laisser aller aux surprises, de profiter d’un éclat de lumière, d’interroger des espaces.Son voyage n’est pas celui d’un migrant mais celui d’un regardeur attentif qui cherche à percevoir –peut-être même à comprendre – comment le territoire a été marqué par l’histoire, comment elle y a laissé des indices et comment, aujourd’hui, des hommes et des femmes le traversent et l’habitent.

Parcours, mer, architecture, ciels, personnages, aucune hiérarchie entre des genres ou des situations, simplement des notes, des sentiments, des souvenirs d’instants particuliers.
Le choix du noir et blanc, d’une écriture instinctive – avec des cadrages fermes – et d’un grain qui fait vibrer les gris et nous fait partager les émotions.
Une photographie qui ne cherche pas à démontrer ou prouver mais qui, sensible, est en permanent questionnement.

Christian Caujolle, conseiller artistique