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22 décembre 2023 5 22 /12 /décembre /2023 10:25
Un ténor en Roussillon : Maurice Auzeville - Immigration, éclairer le débat -
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Un ténor en Roussillon : Maurice Auzeville - Immigration, éclairer le débat -

Débat - Dossier 

(C) Le Monde

 

L’immigration, ce sujet qui divise la gauche

 

Le drame d’Annecy, le 8 juin, a remis au centre des débats la question de l’immigration – un Syrien cherchant l’asile politique en France avait attaqué et blessé quatre jeunes au couteau. Aussitôt, la cheffe de file du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, a dit son souhait de « rétrécir le droit d’asile » et le président du parti Les Républicains (LR), Eric CIotti, de « rompre avec l’immobilisme » face au « chaos migratoire »

 

La gauche, comme à son habitude et alors qu’elle est souvent accusée d’angélisme par ses adversaires, a mobilisé ses réflexes humanistes et antiracistes pour répondre à la problématique de l’immigration. Toutefois, elle n’est pas allée au-delà : les partis de gauche semblent craindre d’apparaître en décalage avec leur électorat alors que, ces dernières années, l’opinion publique dans son ensemble s’est crispée. 

 

Lire aussi : Sur l’immigration, une opinion de moins en moins crispée

 

Alors que le gouvernement prépare son projet de loi sur l’immigration, le sujet reste ultrasensible dans ses nuances au sein de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes). Les écologistes continuent de revendiquer une ligne « no border » (sans frontière), peu audible dans l’opinion. Du côté de La France insoumise (LFI), la position n’a cessé de fluctuer ces dernières années. En 2017, Jean-Luc Mélenchon s’était attiré de nombreuses critiques à gauche en évoquant le « travailleur détaché qui vole son pain aux travailleurs ». Le triple candidat à la présidentielle a depuis fait machine arrière, tout en réfutant l’expression« no border ». Dans son programme, L’Avenir en commun, LFI propose désormais de régler la question de l’immigration en s’attaquant d’abord à la politique internationale. 

 

Lire aussi : Sur l’immigration, la gauche cherche à faire entendre sa voix

 

 

Soucieux de se distinguer, Fabien Roussel avait fait scandale en parlant de « frontières passoires » lors du congrès du PCF en avril, une expression renvoyant à la rhétorique de la droite et de l’extrême droite. S’il la réfute désormais, le secrétaire général du parti défend l’idée qu’il faut toujours des « frontières » afin d’éviter, comme l’avait théorisé Karl Marx, que les immigrés ne constituent une « armée de réserve du capital », note le politologue Rémi Lefebvre. 

 

Lire l’entretien : « Dire que l’immigration est une chance pour la France n’est pas qu’un slogan de la “gauche morale”, mais une réalité historique »

 

Enfin, la question de l’ « intégration » est tout aussi délicate, qui renvoie parfois à l’« assimilation », autre terminologie de la droite. 

 

Lire aussi la chronique : Immigration : « Pour la gauche qui veut reconquérir les classes populaires, rien n’est pire que le silence gêné sur ce sujet »



https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/06/16/gerard-noiriel-dire-que-l-immigration-est-une-chance-pour-la-france-n-est-pas-qu-un-slogan-de-la-gauche-morale-mais-une-realite-historique_6177909_823448.html

 

Gérard Noiriel : « Dire que l’immigration est une chance pour la France n’est pas qu’un slogan de la “gauche morale”, mais une réalité historique »

L’embarras de la gauche pour articuler la question nationale et l’universalisme n’est pas neuf, rappelle l’historien, mais il y a, selon lui, un déficit récent de réflexion, lié à un basculement vers des questions identitaires. 

Propos recueillis par Julie Carriat et Sandrine Cassini

Publié le 16 juin 2023 à 11h30

 

 

Historien spécialiste de l’Etat-nation, de l’immigration et de la classe ouvrière, Gérard Noiriel, directeur d’études de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), est notamment l’auteur de Vivre et lutter à Longwy (Maspero, 1980), du Creuset françaisHistoire de l’immigration XlXe-XXsiècle (Seuil, 2016) et de Race et sciences sociales(Agone, 2021), avec le sociologue Stéphane Beaud.

 

Quand il s’agit d’immigration, la gauche semble circonspecte, gênée pour bâtir un discours qui ne soit pas qu’une réaction à ceux de la droite et de l’extrême droite. Pourquoi ?

Il n’y a rien de nouveau là-dedans. A la fin du XIXe siècle, la République intègre les classes populaires au sein de l’Etat-nation. La question se pose pour la gauche dès ce moment. Les marxistes sont gênés parce qu’à côté de leur universalisme de classe, (« Prolétaires de tous les pays, unissez-vous »), ils doivent aussi défendre les intérêts des ouvriers français. La ligne de conduite qui tend à s’imposer alors consiste à défendre les intérêts des travailleurs français, d’un côté, et de lutter contre les discriminations dont sont victimes les étrangers, de l’autre, en pointant la responsabilité des patrons dans l’opposition entre Français et étrangers.

 

Parler d’immigration est-il devenu honteux à gauche ?

Il ne s’agit pas de « honte », mais d’embarras car l’immigration est un sujet qui fait partie du discours sur la nation. Or, depuis la fin du XIXe siècle, c’est un sujet de prédilection pour la droite. Dans son dernier article paru dans L’Humanité, en 1914, quelques jours avant son assassinat, Jaurès écrit : « Il n’y a pas de plus grand problème que l’immigration. »Depuis la fin du XIXe siècle, en effet, de nombreuses rixes entre ouvriers français et étrangers avaient éclaté. Les syndicats reprochaient aux patrons d’utiliser les étrangers pour casser les grèves, baisser les salaires. Jaurès déplore cette concurrence, mais il est conscient aussi que la France ne pourra pas rester une grande puissance économique sans recourir massivement à l’immigration.

 

Lire aussi :   Sur l’immigration, la gauche cherche à faire entendre sa voix

La France a eu l’un des taux d’immigration les plus forts du monde à la fin des années 1920. Dire que l’immigration est une chance pour la France n’est donc pas qu’un slogan de la « gauche morale », comme on peut le lire parfois. C’est une réalité historique. D’ailleurs, le vieillissement de notre population et la pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs prouvent que la France aura encore recours à l’immigration dans les années qui viennent.

 

A l’inverse, certains, comme le secrétaire national du Parti communiste (PCF), Fabien Roussel, prônent un besoin de protection des travailleurs français, y compris contre une concurrence immigrée…

Ce type de propos s’inscrit dans le prolongement des contradictions de la gauche face à l’immigration. Dans les années 1920, la politique du PCF était inspirée par les thèses de Lénine. Celui-ci considérait que les travailleurs coloniaux et les immigrés étaient le cœur du prolétariat qu’il fallait mobiliser pour faire la révolution. Mais, en 1936, quand le PCF est devenu un allié de la gauche au pouvoir, son discours sur l’immigration s’est infléchi. On trouve même des articles de l’époque dans L’Humanité reprenant le slogan : « La France aux Français. » Le rôle des militants communistes dans la Résistance va accentuer cette logique nationale. Georges Marchais [secrétaire général du PCF de 1972 à 1994] la prolongera avec le discours « Produisons français ». Slogan repris aujourd’hui par Emmanuel Macron.

 

Lire aussi :   Immigration : « Pour la gauche qui veut reconquérir les classes populaires, rien n’est pire que le silence gêné sur ce sujet »

 

Les discours de la droite et de l’extrême droite ont gagné du terrain…

Oui, surtout depuis les années 1980. Les représentations négatives de l’immigration se sont diffusées dans l’opinion pour différentes raisons. Il faut bien sûr évoquer la crise économique et sociale car c’est toujours un facteur qui favorise les discours xénophobes. Mais il ne faut pas oublier que les luttes pour l’hégémonie politique passent aussi par le langage. Le mot « immigré » s’est imposé dans le discours commun et dans les catégories statistiques, alors qu’auparavant on comptabilisait des travailleurs « étrangers ». On est passé ainsi d’un discours privilégiant la nationalité juridique des personnes à un discours qui fait une place à l’origine de ces personnes (puisque la catégorie d’« immigré » englobe des Français d’origine étrangère)Ce nouveau langage a conforté les discours sur le « grand remplacement », alors que la France n’est plus un grand pays d’immigration.

 

Lire aussi l’enquête :    Depuis le XIXᵉ siècle, l’immigré en « bouc émissaire des crises franco-françaises »

 

Par ailleurs, la « fait diversion » de la politique crée une ambiance anxiogène, donnant le sentiment que l’on vit dans une société de plus en plus violente, ce qui est contredit par toutes les études statistiques sérieuses. Cela a été exploité, sur le plan politique, par la droite et l’extrême droite traditionnellement plus habiles que la gauche pour mobiliser les émotions plutôt que la raison.

 

Comment alors construire un discours de gauche audible ?

Le discours de gauche est devenu hégémonique quand les forces qui la composent se sont rassemblées pour relier sa composante sociale et sa composante humaniste. Ce fut déjà le cas en 1902, au lendemain de l’affaire Dreyfus, avec la victoire du « bloc des gauches ». Puis avec le Front populaire de 1936 et, enfin, en 1981. François Mitterrand a gagné la présidentielle notamment parce qu’il a soutenu la lutte des associations pour la régularisation des sans-papiers. Puis est arrivé le temps des déceptions car la gauche n’a pas réussi à réduire le chômage, et la désindustrialisation du pays s’est poursuivie.

Lire aussi :  Article réservé à nos abonnés  Sur les questions migratoires, une opinion de moins en moins crispée

 

Dans le même temps, ceux qui s’efforçaient de maintenir les valeurs humanistes de la gauche se sont focalisés sur l’antiracisme. D’où un net affaiblissement, y compris chez les intellectuels de gauche, de la réflexion sur la question nationale, souvent confondue avec la question raciale. Cela s’est traduit, notamment, par un désintérêt croissant pour le droit d’asile qui fut pourtant un idéal que la gauche a souvent défendu avec succès dans le passé, en mobilisant aussi les émotions des Français.

 

L’antiracisme a freiné la réflexion des gauches sur l’immigration ?

A partir des années 1980, la droite a imposé son hégémonie en plaçant au centre du discours politique les questions identitaires au détriment du discours social, traditionnellement plus favorable à la gauche. C’est sur ce terrain identitaire que se sont repliés une partie des porte-parole se réclamant de la gauche. La réflexion sur l’articulation entre les discriminations fondées sur la religion ou la couleur de peau et celles qui reposent sur la nationalité des personnes a été marginalisée.

 

Sur le plan intellectuel, il s’agit là d’une régression par rapport à toute l’œuvre du sociologue franco-algérien Abdelmalek Sayad. Elle contribue à occulter le fait que parmi les principales discriminations qui existent dans le monde, il y a celles qui sont construites sur le critère de la nationalité. Malheureusement, la réflexion collective sur ces sujets est devenue très difficile.

 

1902, 1936, 1981. Vous ne mentionnez pas 2012 ? Et 2027 ?

En 2012, la gauche a effectivement gagné les élections, mais le gouvernement de François Hollande s’est aligné sur la droite en matière d’immigration. Le paroxysme de cette droitisation a été atteint quand Manuel Valls est devenu premier ministre, avec le projet d’extension de la déchéance de nationalité à tous les binationaux. Quant à 2027, l’élection est encore loin, cela laisse le temps aux forces de gauche d’entreprendre sérieusement une réflexion pour aboutir à des propositions susceptibles d’être soutenues par la majorité des électeurs, sans renier leurs anciennes valeurs humanistes.

 

Lire aussi :    De la clandestinité à la régularisation, les sans-papiers dans les cantines du pouvoir : « On dépend de la main-d’œuvre étrangère, ça ne sert à rien de faire l’autruche »

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21 décembre 2023 4 21 /12 /décembre /2023 09:18
2 photos de Henri I. (C) Jean Iglesis) - Affiche M. Auzeville
2 photos de Henri I. (C) Jean Iglesis) - Affiche M. Auzeville
2 photos de Henri I. (C) Jean Iglesis) - Affiche M. Auzeville

2 photos de Henri I. (C) Jean Iglesis) - Affiche M. Auzeville

CatalognARTS

 

             

Henri Iglesis, sculpteur sur tôle...

Il ne manque pas de savoir-fer...

 

 

Henri Iglesis, mon jeune frère, s'est hissé aujourd'hui parmi les plus grands des artistes. 

 

Henri cumule tous les succès dans ses créations. Ses œuvres sont reconnues, admirées et louées dans le monde entier...

Henri crée ce qu'il doit créer, comme il exprime  ce qu'il doit exprimer...

Un artiste, comme l'a exprimé Pau Casals - voilà un maître que je révère!... -, ce n'est au bout du compte qu'un homme sincère...

Mon frère a toujours dit la vérité... Sinon, je n'aurais jamais cru en lui...

 

Jean I.

 

 

Henri Iglesis, sculpteur sur tôle...

Il ne manque pas de savoir-fer...

Henri Iglesis, sculpteur sur fer et inventeur du concept de la tôle soufflée, nous invite à la découverte de son univers.

Un monde ferrique et féerique, peuplé de personnages un rien oniriques, un rien ironiques.
Ici et ailleurs, jamais et toujours, en France et un peu partout dans le monde, alors même que les passions et que les idées s'oxydent toute raison gardée et de guerre lasse, les œuvres métalliques, aussi clinquantes qu' étincelantes d'Henri - en autant de témoignages vivants - se confrontent à l'inévitable rouille immanente, inexorable, inéluctable et routinière du temps qui passe, tout en affirmant et leur pertinence et leur pérennité.

 

Ses créations ne manquent aucunement ni d'éclectisme, ni d'inspiration...

Henri Iglesis, artiste catalan d'origine et «catalanement» original, éclaire de son « savoir-fer » le réel de nos illusions et forge sur son imaginaire les rêves de notre quotidien...et ce dans une alchimie intime et savante qui conjugue à satiété le fer et le souffle de la vie : à savoir le vent et le feu, et ce dans une alliance et dans un alliage parfaits...

L'artiste livre à notre soif d'inconnu et à notre intérêt dévorant autant d'icônes infinies et d'idoles indéfinissables.

Enfantés au long d'images entraperçues et de souvenirs transcendés, ses êtres et ses créations de tôle configurent les contours de notre vie de chaque jour... optant de manière optimiste pour les courbes et les arrondis, arrondissant en toutes circonstances les angles, circonscrivant dans ses volumes pudiques mais affirmés les paradigmes de la réalité... et ce face à une existence sécante, parfois brisée, souvent en dents-de-scie, mais incontournablement, subséquemment et inévitablement frangée d'aspérités...

 

Contact Henri Iglesis: 06 05 48 12 94

 

Sur les réseaux sociaux: Facebook: Henri Iglésis - Instagram: henri_iglesis

e-mai: henri.iglesis@gmail.com

 

Légendes photos: Henri Iglesis et ses bonhommes de tôle soufflée.

 

- - - - -

     Epoux d’Hanna ARENDT, le philosophe juif allemand Günther Anders

 

(C) JPB

 

 écrivit en 1956 cette réflexion prémonitoire :

 

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente.

Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus segmenté.

 

On occupera les esprits avec ce qui est futile, ludique et polarisant, question d’alimenter les  réseaux-sociaux. On diffusera massivement, via les médias traditionnels, des divertissements abrutissants, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s’interroger, penser, réfléchir.

On mettra la sexualité sous toutes ses formes au premier rang des intérêts humains. Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux.

 

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation devient le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

 

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est, c’est-à-dire un produit, un veau qui doit être surveillé comme doit l’être un troupeau.

 

- - - -

 **** Réseaux des médiathèques (Actu.fr)

 

Janvier - Février 2024 | Le premier Zoom de l'année est déjà arrivé... 

 

 

Feuilletez-le sans tarder !

Vous y retrouverez de beaux événements à partager dans vos bibliothèques en janvier et février...

La nuit de la lecture |  vendredi 19 et samedi 20 janvier

Le vendredi soir à partir de 18 heures, les bibliothèques de quartier vous ouvriront leurs portes pour vous inviter à vivre, seul, en famille ou entre amis, de multiples expériences autour de la lecture...

Le samedi, dès 16 heures, ce sera au tour de la médiathèque centrale de vous accueillir jusqu'à la nuit dans un parcours aussi ludique que poétique au cœur des mots...

Artistes, poètes, plasticiennes, danseurs, conteuses, brodeuses seront de la partie pour célébrer Le corps. La soirée à la médiathèque se clôturera avec la projection du film de Cédric Klapisch : En corps.

A noter ! 

Afin de préparer au mieux ces soirées festives, ces jours-là, les horaires des bibliothèques seront exceptionnellement modifiés : Le vendredi 19, les bibliothèques de quartier ouvriront à 15h00 (horaires de la médiathèque inchangés). Le samedi 20, la médiathèque ouvrira à 16h00(horaires des bibliothèques de quartiers inchangés).

 

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3 novembre 2023 5 03 /11 /novembre /2023 11:14
Concert Gospel à Vernet-les-Bains - Livres d' André Scotbelzine - Livre de photographies : Pierre-Jean Brassac 
Concert Gospel à Vernet-les-Bains - Livres d' André Scotbelzine - Livre de photographies : Pierre-Jean Brassac 
Concert Gospel à Vernet-les-Bains - Livres d' André Scotbelzine - Livre de photographies : Pierre-Jean Brassac 
Concert Gospel à Vernet-les-Bains - Livres d' André Scotbelzine - Livre de photographies : Pierre-Jean Brassac 

Concert Gospel à Vernet-les-Bains - Livres d' André Scotbelzine - Livre de photographies : Pierre-Jean Brassac 

Conférence 

 

André Scobeltzine

 

CONFÉRENCE

Le 7/11/2023 À 18h 30 À L’AUDITORIUM DE LA MÉDIATHÈQUE DE PERPIGNAN

 

LA BEAUTÉ SAUVERA LE MONDE (Dostoïevski)

 

Au cours de mon exposé j’évoquerai ce thème en  présentant une suite de croquis personnels de Perpignan à travers l’histoire. Et je dirai aussi comment la quête de la beauté (crayon en main) a pu enrichir ma vie.

 

A. S.


André Scobeltzine est l'auteur d'ouvrages de référence, traduits en plusieurs langues, sur la pratique artistique à travers l'histoire. Architecte, il enseigne à l'école nationale supérieure d'architecture de Montpellier et anime le site : www.ledessinplaisir.com  

 

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Vernet-les-Bains

 

Bonjour tous,

Pour votre info perso, pour partage et diffusion, pour allumer la cheminée, pour vous rendre jaloux, pour venir vous réchauffer en groupe, pour vous donner une raison de râler, pour vos oreilles et votre moral, pour être loin de votre belle-mère pendant 2 heures, pour un alibi, pour un cadeau d'anniversaire (parce que les fleurs c'est périssaaaaable), pour simplement bouger....:

Gospel samedi 11 novembre 18h église anglicane. (Les cloches de Bellicampane de 17h à 18h). Entrée libre pour les non-râleurs, chauffage si besoin...

 

 

Daniel CAPDET

 

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Livre de photographies

 

Pierre-Jean Brassac 

 

Une exposition de photographies de Didier Almon, aussi subtiles et bouillonnantes que captivantes, et un livre pour contribuer à vos réflexions et apporter de l'eau à votre propre moulin!

 

Apprenant à distinguer la part douce et potable du total des réserves hydriques du globe, nous découvrons la faiblesse de notre compréhension du phénomène H2O sur Terre.

 

Nous nous conduisons avec l’eau comme si elle était capable à jamais de nous purifier, et d’épurer toutes les conséquences de nos agissements quels qu’ils soient. Nous vérifions maintenant chaque jour en tous lieux que c’est faux...

 

Canet-Village en Roussillon :

 

CONFÉRENCE-DÉBAT
SCIENCES-POLITIQUES


La Gouvernance 
par Franck JUGUET

 

  • Jeudi 9 novembre à 18h30 
  • au Théâtre Jean Piat

    La hausse de l’abstention, l’installation d’un puissant vote protestataire et la crise des partis de gouvernement en sont les symptômes d'une fragilisation de la démocratie.
    Mais d’où vient ce désaccord
    entre le peuple et ses élites ? 

  • Du gouvernement des hommes à l’administration des choses Docteur en Sciences Politiques, Docteur en Littérature Générale et comparée, Franck JUGUET a exercé de nombreuses fonctions opérationnelles au sein d’une firme multinationale. Ses domaines de recherches portent sur la transformation en cours des idéaux modernes de l’Etat national et démocratique. Notamment, il montre comment, sous la poussée d’une idéologie mondialiste cherchant à imposer une gouvernance transnationale, les systèmes politiques représentatifs ont été, de fait, mis en pilotage automatique.
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  • professeur de lettres, écrivain, j'ai publié plusieurs livres dans la région Languedoc-Roussillon, sur la Catalogne, Matisse, Machado, Walter Benjamin (éditions Balzac, Cap Béar, Presses littéraires, Presses du Languedoc...
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