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*Quartiers à Perpignan aussi dangereux que Molenbeck..?
Nous ne le pensons pas (mais le cocktail est là: misère, abandon social, caches de drogues, de produits volés, trafics...communautatisme, quartiers ethniques, identitaires, propagandes religieuses), comme il serait provocateur de parler de "ghettos" à Perpignan...Cependant, qui s'aventure à se promener au coeur de St-Mathieu ou St-Jacques la nuit..? J'y vais souvent le jour : si des efforts ont été faits à St-Mathieu (normal, cette mairie aime les saints, les traditions religieuses, les goigs, la procession du vendredi saint, les airs sacrés...), la saleté règne toujours à St-Jacques...
En outre, pour encadrer les jeunes, oisifs, sans perspective, il faut des animateurs dans les centres sociaux et culturels or la mairie a baissé récemment (voir ce blog) les subventions aux associations qui oeuvrent pour la survie dans les quartiers difficiles: seulement 6 travailleurs sociaux pour animer ces lieux en déshérence...
Il faut rénover, et l'ANRU : agence nationale pour la rénovation urbaine, apporte des crédits considérables; on a constaté que beaucoup d'argent était détourné et que les propriétaires des quartiers "bourgeois" (St-Jean) bénéficiaient pas mal de cette manne (3 échafaudages en même temps, ces semaines dernières dans deux rues voisines).
La mairie détruit beaucoup en ce moment; c'est une façon, radicale, de régler le problème de l'insalubrité... IL faut agir aussi en direction du patrimoine humain et là, c'est plus difficile : il faut de la psychologie, de l'éducation, de l'accompagnement dans tous les domaines; la création d'emplois municipaux est urgent dans ces quartiers sensibles afin de faire reculer la misère, déminer les complots, donner espoir à toute une ville...
JPB
**Voici la liste des quartiers sensibles de France où règnent la délinquance, les dealers, les armes et les islamistes… Les zones de non-droit répertoriées ville par ville, département par département.
Cette liste compile diverses sources dont celle du Ministère de la Ville ici. Toutes les villes ou tous les quartiers indiqués ne sont pas des « zones de non droits » fort heureusement. Mais sont répertoriés comme « sensibles ».
Lire aussi >>> Désinformation: 6 millions d’immigrés « version officielle ». En réalité, il y a sept millions de Français d’origine seulement algérienne.
Délinquance, violences urbaines, règlements de compte, viols, dealers, trafic d’armes, certains de ces quartiers sont un terreau idéal pour le recrutement de terroristes islamistes. Ils ont été parfois le terrain d’émeutes violentes. La Police a souvent ordre de ne pas y entrer pour ne pas créer de troubles et d’émeutes. L’argent de la drogue finance les achats d’armes.
Antisémitisme, haine des « blancs », haine de la France, sentiment « anti-français », y sont répandus…
Le gang des barbares, Merah, Nemouche, Kouachi, Coulibaly, tous venaient de ces quartiers sensibles… Pour les 4 derniers tous y étaient devenus des islamistes radicaux.
Les gouvernements successifs par lâcheté, par peur des émeutes, ont abandonné ces quartiers « sensibles ».
A ceux qui pensent que nous « stigmatisons » des populations entières en désignant ces quartiers, c’est exactement la même lâcheté et la même hypocrisie qui a conduit à laisser perdurer des zones de non droit au sein même de la République.
Lister des quartiers sensibles ce n’est pas stigmatiser des populations mais au contraire dénoncer l’abandon dans lequel on laisse ces populations qui sont les premières à souffrir de ces zones de non droit, de cette délinquance, de cette violence.
Les premières victimes sont les populations qui y vivent et qui n’ont pas les moyens de partir aller vivre ailleurs ! Elles n’ont d’autre choix que de subir le dictât des gangs, des dealers, des extrémistes…
Faut-il rappeler l’émeute de Trappes suite au simple contrôle d’identité d’une femme voilée ?
Faut-il rappeler ces hordes de jeunes qui ont dévalisées les corps lors du déraillement du RER à Juvisy ?
Faut-il rappeler les centaines de voitures brûlées par ces « jeunes des quartiers » lors du jour de l’an ou de diverses « festivités » ?
Enfin faut-il rappeler les émeutes de 2005 où les banlieues se sont enflammées parce que deux délinquants étaient morts suite à un délit de fuite ?
Il est honteux de continuer à se taire sur les quartiers « sensibles », honteux mais surtout dangereux et inconscient de faire comme si ils n’existaient pas et que tout allait pour le mieux dans nos banlieues.
Mais à l’heure de la République des « Juges », qui condamnent Zemmour pour avoir osé dire ce que tous ceux qui connaissent les prisons savent, qui mettent en examen Arno Klarsfeld pour avoir osé pointer du doigt l’antisémitisme des jeunes des banlieues, ce que tous ceux qui connaissent les dites banlieues savent, il n’est plus permis de dire la réalité de ce que vivent les français sans risquer d’être condamné…
Au vu de certains commentaires de « bisounours du politiquement correct » qui poussent des cris hypocrites, nous avons décidé de fermer les commentaires sur cet article.
Définition des quartiers sensibles :
Niveau 1 : QSN (QUARTIERS SENSIBLES DE NON-DROIT): Quartiers où règnent les bandes et la délinquance avec des faits de violences urbaines, fusillades ou règlements de comptes et trafic en tout genre. Ce sont les quartiers les plus chauds de France considérées comme des zones de non droit.
Niveau 2: QSTD: (QUARTIERS SENSIBLES TRÈS DIFFICILES): des faits de délinquance réguliers et de toute sortes. La plupart de ces quartiers ont été auparavant des zones de non droit.
Niveau 3 : QSD (QUARTIERS SENSIBLES DIFFICILES): des faits de délinquance assez réguliers, trafic de drogue et toutes sortent de trafics, des nuits de violences urbaines qui peuvent arriver a la suite d’une petite tension.
Niveau 4 : QSP (QUARTIERS SENSIBLES PROBLEMATIQUEs): petite délinquance qui peut être régulières et qui peut exploser a certains moments mais généralement ces quartiers sont calment et font parler d’eux de temps à autres et posent quelques soucis a la ville mais ne sont pas considérés comme chauds.
Classement des villes dont certains quartiers sont les plus sensibles de France:
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66 PYRENEES ORIENTALES
Niveau 2:
Perpignan: Saint Jacques
Perpignan: le Vernet
Niveau 4:
Perpignan: Baléares
Perpignan: Champ de Mars
Perpignan: Cité Clodion
Perpignan: HLM saint Assiscle
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voir le site de l'ANRU : agence nationale pour la rénovation urbaine :
Programme National pour la Rénovation Urbaine

L’état d’avancement du programme au 14 janvier 2016
lire la suite
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- Quartiers en France aussi dangereux que Molenbeck
- ..?
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Des quartiers en France présentent-ils des similitudes avec Molenbeek, comme l'a affirmé Patrick Kanner sur Europe 1. Pour le sociologue Antoine Jardin, la question est loin d'être aussi simple.
INTERVIEW -
"Il y a aujourd'hui une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec Molenbeek". C'est ce qu'a affirmé Patrick Kanner, le ministre de la Ville sur Europe 1 dimanche matin. Pour le sociologue Antoine Jardin, interrogé lundi matin sur Europe 1, "cette formulation peut poser problème car on ne sait pas sur quels critères on compare les quartiers".
Un raccourci "dangereux". Si "du point de vue socio-économique, du chômage, de la composition socio-démographique, il y a des similarités avec Molenbeek et ce qu’on peut trouver en France", Antoine Jardin a mis en garde contre une association trop rapide entre "ces similarités sociales et un risque terroriste équivalent". "C'est un raccourci extrêmement problématique, c'est très dangereux", a-t-il jugé.
Quant à savoir si la République a reculé dans certains quartiers français, Antoine Jardin voit là encore une distorsion de la réalité. "Il est difficile de se dire que la République s’est retirée de ces quartiers car elle n’y a jamais été vraiment présente", a-t-il constaté.
Pour le sociologue, il existe un "imaginaire doré dans lequel tout fonctionnait bien, dans les années 1950-1960. Ce n'était pas du tout le cas. Il y avait des quartiers extrêmement marginalisés, dans lesquels il y avait certes moins de chômage car la situation économique globale était meilleure". Selon Antoine Jardin, la République est "plus présente aujourd'hui qu'elle ne l'était hier" dans ces quartiers difficiles, bien qu'elle le soit moins que dans d'autres pays européens.
Des djihadistes issus de zones différentes. Se focaliser sur de prétendues similitudes sociales risquerait de se détourner des vrais problèmes, estime le spécialiste. "Il ne pas limiter la question des groupes terroristes aux quartiers les plus marginalisés". A ce propos, Antoine Jardin a rappelé la multiplicité des zones où l'on constatait une radicalisation de certains jeunes. "Si on prend les attentats de janvier, les frères Kouachi venaient des Buttes-Chaumont, Amedy Coulibaly venait de Montrouge, ce ne sont pas exactement les quartiers les plus marginalisés de France", a-t-il souligné. "Il faut rester extrêmement prudent sur le mécanisme".
SUR LE MÊME SUJET :
*Centre Communal d'Action Sociale
de Perpignan
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- Le CCAS intervient sur les Centres Sociaux de la Ville, dans le cadre d’un projet d’animation globale
- Le CCAS met à disposition 6 travailleurs sociaux à raison d’un mi-temps par centre social
- Les objectifs sont de renforcer les actions collectives en direction des familles et des groupes sociaux
Ces référents familles interviennent dans les domaines du soutien à la fonction parentale, du logement et de l’insertion des familles dans leur cadre de vie, du temps libre des familles, en complément des équipes d’animation des centres sociaux.
- Elles interviennent dans les centres sociaux de la ville de Perpignan :
- Maison du Vernet
- Maison du Nouveau Logis – les Pins
- Maison de Vernet Salanque
- Maison du Bas Vernet
- Maison de Saint Martin
- Maison de Mailloles /Saint Assiscle
- Maison de Saint Jacques / Saint Mathieu / La Réal
- Maison de Saint Gaudérique / Champs de Mars
Service des Centres Sociaux DDSJ
Immeuble HOLTZER - 16 bis, rue Emile Zola - 66000 Perpignan
Tél. : 04.68.66.18.38 - Fax : 04.68.66.18.41
c.sociaux-ddsj@mairie-perpignan.com
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Un lieu de synergie
La mairie de quartier impulse un partenariat :
- Institutions présentes sur le quartier
- Acteurs de terrain
- Responsables d'équipement
Un lieu de consultation et de concertation
- Réunions de quartier
- Réunions spécifiques
- Consultations citoyennes
Un lieu de participation des habitants
La mairie de quartier favorise et développe la participation des habitants :
- A l'expression de leurs besoins
- A l'élaboration active de projets
*Maison pour tous
LES FRANCAS des PYRENEES-ORIENTALES : la lecture dans les centres sociaux
( blogabonnel du I.12.2013)
• Sur le quartier St Martin : L’espace bibliothèque ou lecture existe bien sur St Martin mais il n’est
pas doté d’ouvrages comme peut l’être celui de Vernet Salanque. Des expériences multiples ont
été conduites par notre association sur ce quartier dans le cadre du projet « Lis moi des
histoires »associant parents et enfants au sein de la structure centre de loisirs. Une
expérience de mars à juin 2009 nous a permis d’accueillir les enfants des parents qui
fréquentaient les séances de gym ou cours d’alphabétisation.
• Ce qui est fait : Les contacts avec les partenaires associatifs, des expériences tests avec les enfants
et les parents dans le cadre des centres de loisirs St Martin et Majorque, des actions livres lors des fêtes de quartier de St Martin, des animations les lundis après midi...
• Ce qu’il reste à faire : Consolider les expériences et partir sur un projet ambitieux impliquant
davantage les parents et acteurs du livre.
• Sur le quartier Mailloles : Une bibliothèque est en cours d’élaboration sous l’initiative de l’adulte
relais (Fatiah : Culture et lumière) et de la directrice de l’Espace Public Educatif Anna Desplat,
également animatrice d’actions lecture dans le cadre de « Lis moi des histoires ».
* par Isabelle Goupil, 7 mai 2014 : Le bas-Vernet
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Habitants et commerçants sont globalement fiers de leur quartier. Mais tous assurent souffrir de la (mauvaise) réputation - usurpée pour certains, hélas collant à la réalité pour d'autres - de ce quartier, longtemps séparé artificiellement entre Bas et Moyen-Vernet. La plupart y vivent depuis plusieurs générations et l'ont donc vu se modifier au fil des années.
Des évolutions
Depuis 5-6 ans, le Bas-Vernet a bénéficié de la manne financière de l'ANRU (Agence de rénovation urbaine). 50 millions d'euros ont ainsi été investis sur le secteur Clodion-Torcatis-Roudayre : 184 logements sociaux (on ne dit plus HLM) ont été démolis, 148 reconstruits dont 80 maisons en accession à la propriété. L'installation du pôle de formations supérieures sanitaires et sociales (ex-école de soins infirmiers) et du centre de formation de l'USAP a réhabilité l'image du quartier, au moins aux yeux de ses habitants. Le désenclavement routier, l'extension et la rénovation du groupe scolaire Victor-Duruy (1,273 million d'euros), les jardins familiaux, le stade Sbroglia, bientôt une nouvelle Maison des jeunes et un centre commercial flambant neuf visent également cette requalification.
Du côté de l'avenue Joffre pourtant, les commerçants fustigent l'insécurité et l'insalubrité. Tout en louant les atouts du quartier : proximité du centre-ville, densité des petits commerces, clientèle ancienne et fidèle, infrastructures globalement satisfaisantes. Petit tour d'horizon par-dessus la Têt, que la mairie ne veut plus infranchissable.
1 Infrastructures scolaires Le quartier compte 7 groupes scolaires plus la maternelle Debussy. L'ensemble accueille 2 600 élèves, dont un peu plus de 1 000 en maternelle. Le nombre d'inscriptions reste stable. 880 enfants fréquentent les structures périscolaires (garderie et cantine), auxquelles s'ajoutent les centres de loisirs, en partenariat avec la fédération Léo-Lagrange.
Toutes les écoles du quartier (Hugo, Jaurès, Roudayre, Dagneaux, Debussy, Lamartine, Duruy, Pont-Neuf) sont en Réseau d'éducation prioritaire (ex-ZEP). Les clubs coup de pouce sont une réussite. A la rentrée scolaire 2012, l'école maternelle Debussy sera agrandie (nouvelles salles de restauration et d'activités pour un coût estimé de 450 000 € HT). "Le plan de rénovation urbaine a révolutionné le quartier, mais le dispositif est long. Ce n'est que maintenant que les habitants commencent à s'approprier le quartier ; il y a moins de dégradations sur les édifices publics. A confirmer néanmoins dans la durée", constate, prudente, Nathalie Beaufils, adjointe déléguée à l'éducation.
Les collèges Pons et Pagnol accueillent les élèves du Bas et du Moyen-Vernet.
2 Stades et lieux culturels Au Bas-Vernet, le stade Sbroglia flambant neuf fait la joie des jeunes du quartier et de l'ASC (lire notre édition de demain). L'antre de l'USAP, le stade Aimé-Giral, est à la limite avec le Haut-Vernet "mais il fait travailler les commerçants du Bas et du Moyen-Vernet", insiste Richard Puly-Belli, adjoint de quartier Perpignan Nord.
Quatre lieux à vocation culturelle accueillent les nombreuses associations du quartier : la salle polyvalente Al Sol, la plus grande, la mieux équipée et la plus utilisée ; la salle Barande et sa bibliothèque ; la salle mitoyenne de l'annexe-mairie Roudayre et bientôt la Maison pour tous proche du stade Sbroglia. Et puis il y a le palais des expositions. Le théâtre Primavera est quant à lui situé sur le Haut-Vernet.
3 Commerce Le petit commerce est encore très présent dans le quartier, de l'alimentaire aux pharmacies en passant par les coiffeurs ou les bijoutiers. "Le futur centre commercial de Clodion est très attendu, confirme Richard Puly-Belli. Comme les habitants, nous aimerions qu'un bureau de poste, même ouvert partiellement, puisse voir le jour".
Un marché se tient le samedi matin à Clodion et le dimanche matin, se tient le marché aux puces sur le parking du palais des expos.
4 Travaux et projets Le réaménagement de l'avenue Joffre est programmé pour début 2013. Réfection des trottoirs en conservant les places de stationnement, étude sur une voie dédiée au bus dans le sens nord-sud... "Des travaux dans la continuité du rapprochement entre le Vernet et le centre-ville", précise Jean- Michel Henric, élu à la mobilité.
La requalification de l'avenue Roudayre, l'aménagement du jardin Lancaster, la refonte totale du jardin Saint-Louis, le bus tram sur le boulevard Desnoyer par l'avenue du Languedoc, l'achèvement par tranche de l'éclairage public basse tension, le désenclavement de Vernet-Salanque avec l'achèvement du boulevard nord- est sont aussi au programme. Pour que le Vernet dans son ensemble ne soit plus exilé de l'autre côté de la Têt.
****Actions positives à Perpignan :
PASSEURS D’IMAGES
CONCERT ET SEANCES EN PLEIN AIR AU CŒUR DES QUARTIERS – ENTREE LIBRE
Dans le cadre du dispositif national Passeurs d’images, concert et séances en plein air au cœur des quartiers lors d’une soirée conviviale, exceptionnelle et gratuite. Ces séances en plein air font partie d’une opération globale Passeurs d’images qui comprend plusieurs volets : Ateliers vidéo – Formation – séance spéciale.
A Perpignan, le dispositif est coordonné par l’Institut Jean Vigo en collaboration avec la Ville de Perpignan (Centres sociaux., D.A.C.) et avec le soutien de la D.R.A.C. Languedoc-Roussillon – la Préfecture/ l’ACSE – la C.A.F.
L’Association Cinémaginaire coordonne le dispositif au niveau régional.
Ce partenariat étroit entre les centres sociaux de la Ville et la cinémathèque Euro-régionale - Institut Jean VIGO permet, depuis plusieurs années, de proposer aux perpignanais de tous âges des actions d’éducation à l’image de qualité : séances spéciales (en présence du réalisateur), ateliers vidéos (en direction des jeunes) et projection en plein air sur grand écran.
Le succès de l’édition 2012 et 2013 des « arts du Vernet » nous a permis de vérifier la pertinence et l’attractivité de ce type d’action, qui associe à la séance de cinéma des animations culturelles à caractère familial et populaire. En leur qualité de foyers d’initiatives portées par des habitants, appuyés par des professionnels, les centres sociaux de la Ville trouvent là un projet à leur dimension.
En effet, les centres sociaux, implantés sur 9 quartiers prioritaires de la Ville, mènent tout au long de l’année un travail d’écoute, de concertation, d’élaboration et d’accompagnement de projets, d’animation et de soutien aux initiatives.
Forts de la réussite des éditions depuis 2010, nous proposons de regrouper à nouveau l’énergie des 4 centres sociaux « du Nord » (Bas Vernet, Haut Vernet, Vernet Salanque et Nouveau Logis), de l’Institut J. Vigo et de la Casa Musicale, pour investir le parc Maillol les 2 et 3 juillet prochains et les centres sociaux du sud pour investir la place Jean Moulin le vendredi 29 août.
L'Institut Jean Vigo en collaboration avec la Ville de Perpignan et La Casa Musicale propose un concert et deux séances en plein air gratuites autour du film « Bombon el perro » de Carlos Sorin et un deuxième film que les habitants des quartiers Saint-Martin, Saint-Jacques, Saint-Mathieu, Champ de Mars vont choisir très bientôt. Sur un grand écran installé par l’association Cinémaginaire, nous pourrons apprécier ces films destinés à un large public.